Maké Dagnokho : « Une presse libre ne se réduit pas au silence »
In a firm and unwavering statement, journalist Maké Dagnokho reiterated that in any democratic system, no power, however strong, can silence the press. He affirmed his commitment to cleaning up the media sector, while rejecting any form of unjustifiable suppression.
According to him, the Pastef regime, once supported by many media professionals, is gradually losing these allies. Faced with this situation, he calls for strengthening regulatory bodies like CORED to prevent abuses and guarantee the balance essential for a free and responsible press.
In his preface to the first novel by his colleague Samba Oumar Fall, a journalist at the daily newspaper Le Soleil, Maké Dagnokho quotes a phrase that deeply affected him: "Even the misery of the times has an end." A way of reminding us that the trials faced by the Senegalese press are not eternal.
Despite the difficulties, he expressed his conviction that journalists would demonstrate resilience and dignity, never abandoning their mission or succumbing to silence. "In this life, everything has a beginning and an end," he concluded, reaffirming his full and unwavering solidarity with the entire Senegalese press.
Commentaires (10)
Libre ne veut pas dire transgresseur
Iibre ne veut pas dire anarchie
Iibre ne veut pas dire desordre..........
Elle était au service de Maky Sall.
On ne peut travestir l'histoire politique récente du Sénégal
Des groupes comme GFM Sentv 7tv et Emedia ont tout fait pour saborder le Pastef
Heureusement qu'il yavait les réseaux sociaux
Rappel des faits. Madiambal est accusé d'avoir reçu 21 milliards de ristourne d'une entreprise étrangère payée par l'état d'un marché sans appel d'offre. Convoqué pour explications, il fuit vers la France. Mandat d'arrêt, il annonce préparer sa défense et sera de retour avant exécution du mandat. En fait de défense il fait du "porter presse " soutenu par les médias de celui qui dénonçait le même "porter presse ". Et quel "porter presse " ? Il transforme son accusation d'avoir reçu 21 milliards en accusation d'être un journaliste qui dérange le pouvoir. Et il active des corporations de journalistes. Vous pensez qu'ils sont trompés ? Du tout. Ils manipulent, pensant que la densité de l'occupation de l'espace médiatique fera triompher le mensonge sur la vérité, les bandits sur la république. Quid du mensonge de revenir avant l'exécution du mandat d'arrêt.
Où sont-ils allés trouver une question de liberté d'expression dans le dossier Madiambal Diagne ? De ridicules manipulateurs.
Mais quand j'attends sur RFI Mamadou I Kane dire que le régime veut exterminer la presse pour des interpellations qui n'ont rien à voir avec le métier. Madiambal est entrain de vous utiliser et a bien réussi
Ne déplaçons pas le debat les nafekh sont ceux qui défendent le plus grand voleur, menteur, receleur, maitre chanteur de la republique du SENEGAL ARGUANT UNE soit disant LIBERTE DE PRESSE.
JE REVE OU SONT NOS VALEUR
J J J REK KEP KOU SATH SOUNIOU ALAL DIGUA DELO
Ne déplaçons pas le debat les nafekh sont ceux qui défendent le plus grand voleur, menteur, receleur, maitre chanteur de la republique du SENEGAL ARGUANT UNE soit disant LIBERTE DE PRESSE.
JE REVE OU SONT NOS VALEUR
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