Mutilations génitales féminines : Avec un taux de prévalence de 83%, Matam organise sa riposte
With a prevalence rate of 83%, the Matam department is among the most affected areas in terms of female genital mutilation (FGM), according to Adama Diop. He is the institutional focal point of the Cdpe of Matam and head of the regional service of the Open Environment Educational Action (Aemo), which highlights the statistical data of the Demographic Health Surveys with Multiple Indicators (2019-2023).
Faced with this worrying situation, the Departmental Committee for Child Protection (Cdpe) is working to reverse the trend. This is done through the Gender Transformative Approach (GTA). This is a strategy that addresses the root causes, following a critical analysis...
To build the response to the scourge, a three-day training session was devoted to the issues and challenges related to female genital mutilation (FGM) and GBV, with a focus on child protection, Atg and behavior change strategies.
The session was organized for professionals in the justice, education, health, and civil society sectors. This followed the sensitization of community actors, religious leaders, and traditional chiefs on the abandonment of practices deemed harmful.
During the meetings which brought together these actors considered to be close to children, particular emphasis was placed on strengthening the capacities of seminarians, on listening to children, detecting signs of violence, strategies for social change and international legal instruments.
In addition to teachers who work closely with children, healthcare workers were the main focus of this session. It served as a forum to discuss "the importance of being able to detect signs that indicate that a child has been a victim of violence, and the appropriate management of the case to ensure the victim's protection, their rights, and the restoration of their physical and psychological well-being."
"Usually, evidence such as medical certificates is sometimes missing. Parents are asked to pay for a medical certificate, while forgetting that children have rights, which are inalienable from their right to health," the child protection officer condemns.
He believes that the acquisition of medical evidence is not a right that can be sold; the child must be able to fully enjoy it. This is why, "we have targeted health, which is a very important link in the detection and management of cases. Once the victim presents himself at the hospital, there is a way to listen to him, a way to preserve the evidence for legal action, so that the right is upheld," he says.
Commentaires (7)
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Lexcision c’est une barbarie qu’il faut combattre. On détruit la vie des femmes sans raison. Mon cousin a épousé une femme excisée mais elle ne ressent rien et ne mouille pas, elle ne fait jamais le premier pas pour s’accoupler et cela l’a poussé à prendre une deuxième femme alors que c’était pas dans ses projets.
Ton cousin et toi doivent éviter de parler de ce qui se passe sur le lit conjugal. La lubrification du vagin n'a rien à voir avec l'ablation de la partie externe du clitoris; c'est un phénomène plus complexe que ce que tu veux nous faire croire. Même, le savoir anatomique qu'on avait du clitoris à beaucoup évolué. Aucun système ablatoire traditionnel (excision, infabulation, etc.) n' enleve tout l'organe. Pour terminer, éviter d'utiliser des termes réservés aux animaux (accouplement) en parlant des humains.
Il faut les décapiter ces sorcières assoiffées de sang .Comment peut on encore pratiquer cette sauvagerie en 2025. C'est honteux pour l'état du Sénégal et pour les sénégalais.. J'ai honte et j'ai mal pour ces enfants mutilés.
Je suis d'accord. Je le répète mais vraiment, avec ces abominations cruelles commises sur ces pauvres fillettes, ils nous montrent que toutes les pratiques des ethnies ne se valent pas. Envoyez l'armée, identifiez les individus responsables des ces atrocité et réglez le problème.
c'est surtout qu'une majorité de ce pays est littéralement horrifiée a l'idée d'imaginer des folles decouper avec des femmes le clitoris de fillettes innocentes. ça suscite un rejet violent alors que pour les groupes arriérés chez qui ça a toujours été pratiqué ça suscite moins de rejet.
Il faut faire passer un examen médical avec une infirmière à toutes les fillettes et condamner les parents des fillettes excisées. Il n'y a pas d'autres solutions. Sinon cette barbarie va toucher l'intégralité du pays. Car ces bouchers de sexes de fillettes viennent s'installer même dans les zones du pays où l'excision est rejetée.
Ce n'est même pas une histoire d'ethnies car les Peuls originaires de l'ancien Djolof ne ont aussi refusé l'excision depuis toujours. Je pense que c'est davantage lié à nos anciens royaume. Matam c'était dans un royaume vassal de l'ancien Djolof, ils avaient une autonomie et les lois du Djolof ne s'y appliquaient pas. Il nous faut résister contre ces atrocités et je suis aussi d'accord que la seule solution c'est uen visite médicale pour chaque fillette.
Dans l'ancien Djolof cette barbarie n'a jamais existé alors que c'est au contraire 83% dans les régions reculées. J'aimerais comprendre la raison de cette différence culturelle. C'est lié à certaines ethnies ? Je ne savais même pas que ça existait encore dans de telles proportions au Sénégal surtout en 2025. Je suis contente d'être née près de la côte. L'état doit sévir avec toute la force possible. La loi doit être appliquée sans aucune tolérance. Nous devons protéger nos sœurs qui vivent dans ces région.
Nos ancêtres ont dit non à cette abomination depuis des temps immémoriaux. Mais bientôt avec les migrations internes et l'immigration, notamment de certains Ndrings qui ne s'intègrent pas, il y aura des femmes wolofes et sérères excisées. Nous perdons notre identité. Prenez une carte des mutilations génitales et vous verrez que nous sommes isolés dans la sous-région.
L'exision est pratiqué par les peuls - mandingues Bambaras , diola sous influence mandingue , en Egypte au Soudan , Malaisie inde Pakistan perou colombie, Selon un rapport de l'UNICEF en 2013 le Nigeria l'Égypte et l'Éthiopie étaient les pays plus les plus touchés. Donc évitons les stigmatisations ethniques, c'est une culture très ancienne, avec le temps ça va disparaitre
Quelle horreur !!
Il suffit juste de ne pas choisir "mutilation génitale ", et de prendre "lifting sexuel " ou "parking ", par exemple, pour que tout change. Les mêmes choses sur le sexe des femmes se font en Occident, dans leur monde dit moderne, jusque dans le monde de Hollywood et du showbiz. Seulement, ils ne l'appellent pas "mutilations ". La principale par laquelle ils arrivent à pousser l'africain à se détester, c'est le fait de lui choisir un vocabulaire pour parler de sa vie, et un autre vocabulaire de mots plus embellis pour nommer la même chose chez eux.
Des précisions pour les insulteurs automatiques.
J'avais hésiter à terminer mon texte par préciser que je ne m'adresse pas aux idiots. Je ne l'ai pas fait, mais je devais. Voilà que vous venez être les preuves de ce j'écris. J'ai pas écrit que je suis pour ou contre. J'ai affiché qu'on vous impose de condamner une pratique africaine, une pratique de noir, alors que la même pratique, et d'autres pires, se fait actuellement en Occident, sans qu'on impose là-bas, et régulièrement, ce sujet en débat. Être intelligent, c'est se demander pourquoi.
On demande aux africains de condamner des pratiques de d'autres africains pour prouver qu'ils sont modernes, assimilés, évolués. Les mêmes pratiques, voir pires, existent en Occident, mais le débat n'est jamais posé de cette façon. 99% des occidentaux détestent les mutilations génitales pratiquées par certaines femmes occidentales pour une certaine mode, mais jamais vous ne verrez un seul de ces 99% les traiter de barbares, rétrogrades, surtout pas ancestrales honteuses. La raison est toute simple, c'est que par un soucis d'une communication maîtrisée, d'une communication qui laisse une fierté à sa jeunesse, un blanc fera tout pour qu'une pratique mauvaise, ou présentée comme mauvaise, ne soit pas étalée à sa race, il ne la présentera jamais comme une pratique de blancs, même s'il a l'absolue certitude que ses aïeux l'ont toujours fait. C'est l'exact contraire qu'on demande aux idiots africains de faire, les complexes, pour prouver qu'ils sont évolués, quoi.
Je n'ai que mépris pour votre idiotie. Et je répète encore que je ne m'adresse qu'aux gens doués d'intelligence, ceux qui savent saisir les non dits.
L'excision est une sauvagerie qui ne fait pas partie de notre culture même si ça reste pratiqué dans la sous-région et les régions reculées. Nos ancêtres au Djolof ont clairement condamné et dit non à cette pratique. Ce sont les autres qui veulent nous l'imposer ! Ne raconte pas n'importe quoi.
Des études ont démontré que les personnes victimes de traumatismes sexuels développe une hypersexualité , pas parce qu’elles ont envie mais parce que leur cerveaux associent l,amour, la personnalité et la sexualité. Quand tu grandis avec l’idée que ton corps n’est pas à toi, parce qu’un autre lui a fait subir des traumatismes sans ton consentement, tu ne penses qu’à le donner pour être aimée et à séduire pour exister.
C’est pourquoi certaines femmes excisées se retrouvent frivoles et se donnent à tout le monde. Ce sont également ces femmes que l’ont voit le plus dans les réseaux sociaux entrain de s’exhiber pour se la jouer désirables. L’hypersexulité qu’elles vivent ce n’est pas du plaisir mais une tentative de régulation émotionnelle. C’est comme ça qu’elles se retrouvent dans les attachements désorganisés qui oscillent entre le besoin d’amour et la peur d’intimité , en conséquence elles cherchent inlassablement le besoin d’attention mais chaque nouvelle relation constitue une répétition de la précédente. Toutes les victimes ne tombent pas dans l’hypersexualité, d’autres au contraire vont l’évitement relationnel et l’anesthésie émotionnelle.
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