Parcelles-Assainies: un chauffeur de l’Ambassade de Guinée au Sénégal arrêté
A network trafficking counterfeit Guinean consular cards has been dismantled in the Parcelles-Assainies district. Libération reveals that the case came to light after a Guinean national, having paid 11,000 CFA francs for a consular card, discovered the document was fake and alerted the police.
Investigators first arrested D. Sylla (a delivery driver), who admitted to passing the complainant's information to M. Kh. Camara (also a delivery driver). Arrested in Grand-Yoff, Camara revealed that the cards were manufactured by A. Sakho, a driver at the Guinean embassy in Senegal.
Arrested in Derklé, Sakho confessed to having made the cards with the help of a certain O. Camara. A search of his room led to the seizure of a batch of fake consular cards and various documents.
The three suspects were brought before the prosecutor's office for criminal association, forgery and use of forged public and administrative documents, the same source said.
Commentaires (9)
Sénégal dou Guinée
Tu sais que le faussaire est probablement un Senegalais? Les racistes pensent que la faut c'est toujours les autres
Non et non... Diomaye dou Sonko
Kilifeu PCA honnête tu veut parler de sonko ou bien ????
nous avons eu , nous avons des politiciens qui donnent des passeports diplomatiques à tout le monde....
Les guinéen seront majoritaires bientôt
Les guinéens nous fatiguent. Avec la crise au Sénégal il est temps de les foutre dehors !
Dans la majorité des pays africains, le principe du droit du sol n'est pas appliqué. En effet, l'acquisition de la nationalité au Sénégal se fait généralement soit par parenté, soit par le biais d'une demande de naturalisation pour les étrangers nés au Sénégal.
Quand tu les fou dehors en même temps tu ramasse nos compatriotes qui sont chez eux aussi.
C'est Kilifa PCA le faussaire. Les guinéens n'ont fait qu'imiter.
Tout ce que les étrangers osent faire dans notre pays c'est parce qu'ils ont vu les sénegalais le faire ou Ils sont en connivence avec un sénegalais.
Si les marchands sénégalais baol baol et saloum saloum n'occupaient pas les trottoirs et espaces publics aucun guinéen n'oserait le faire.
Si nous ne respectons pas notre pays, les étrangers vont nous suivre à foutre le bordel.
L'heure est grave. Les dirigeants doivent anticiper sur la problématique des migrations sous-régionales. Autrement, avec la précarité ambiante, le repli identitaire fera que les étrangers ne seront plus les bienvenus.
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