Début décembre 2010, la justice française, sur une plainte de l'Ong Transparency international, ouvre une enquête sur ce qui est devenu l'affaire des " biens mal acquis " contre trois chefs d'Etat africains et leurs proches : Denis Sassou Ngessou, feu Omar Bongo et Téodoro Obiang Nguema. En février, les deux juges d'instruction français chargés de l'enquête, perquisitionnent l'hôtel particulier du fils de ce dernier, Toedoro Obiang Nguema Mangue, Theodorin pour ses compatriotes. L'hôtel est situé dans le XVI arrondissement parisien, sur l'avenue Foch. Une saisie record y est alors effectuée : 200 mètres cube d'objets de valeur (sic !). Selon Charlie Hebdo, repris par Libération, un mandat d'arrêt international avait été lancé par les juges d'instruction, à charge pour le parquet parisien de le valider ou non, devant le refus des autorités équato-guinéénnes de laisser Theodorin répondre à la convocation de la justice française.
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