Un « téra meeting » pour nourrir les Sénégalais ?
Les Sénégalais attendaient un souffle, ils ont eu un slogan. Ils espéraient des annonces, ils ont eu un "Téra meeting". Dans un pays où la patience sociale s’épuise, le Premier ministre et chef de Pastef a choisi de s’adresser non pas à la Nation, mais à son parti. Un détail ? Non. Un symbole fort. Peut-on, en même temps, gouverner et reconquérir la rue ?
Dans sa déclaration dite « importante », dix minutes ont suffi à montrer que le chef du gouvernement a troqué, l’espace d’un instant, la posture de Premier ministre contre celle de leader politique. « Il est temps que je parle à mes militants », a-t-il lancé, comme s’il découvrait qu’après dix-huit mois de gestion, l’urgence n’était pas d’apaiser une société fragilisée, mais de galvaniser une base impatiente.
Le problème n’est pas qu’il parle. Le problème est qu’il parle au mauvais public. Car, pendant qu’il soigne sa rhétorique militante, les foyers sénégalais, eux, soignent leurs fins de mois. Le riz coûte cher, le loyer pèse, le travail manque. La fiscalité étouffe les revenus modestes et les factures d’électricité rappellent chaque soir que les promesses électorales ne paient ni le courant ni le pain.
Le peuple n’a plus besoin de discours. Il réclame des actes, des mesures concrètes, des décisions qui soulagent le quotidien. Le Sénégal traverse une zone de turbulences : morosité économique, soupçons de dettes cachées, fièvre de la vallée du Rift, inondations persistantes de Touba à Dakar. Face à cela, la parole politique ne suffit plus.
Gouverner, ce n’est pas occuper la scène ; c’est soulager la souffrance. Ce n’est pas parler fort ; c’est agir juste. La communication ne remplacera jamais la gouvernance, pas plus que les meetings ne nourriront les familles.
Ousmane Sonko, l’homme du verbe, doit redevenir l’homme de l’action. Car à force de parler à ses militants, il risque d’oublier à qui il doit répondre : au peuple tout entier. Et ce peuple-là n’attend plus des mots. Il attend des solutions.
Commentaires (40)
SI LA PAROLE NOURISSAIT avec ousmane sonko .on sera rassasié
C'est ce qu'il sait faire (avec ses mensonges)
Bande de kuluna ! Occupez-vous de vos meeting avec 2 ou 3 personnes et les autres qui sont payés 3000 pour venir bayer devant vos discours de kuluna.
Moi je suis loin car, je ne peux être bien dans ma peau en voyant cette mesquinerie de tout bord sans exception.
Bref, qu'ALLAH nous évite ces gens mauvais de mauvais.
Vous etes aux foules de Sonko
Il est l homme de la situation et l espoir de toute une generation.
Mashallah il n ya pas de famille au Senegal malgre les Gabegies des kulunas
Il passe son temps à faire de la politique à la place du terrain.
Inondations, rentrée des classes, reprises des Chantiers etc sont noss préoccupations
Que fera le nouveau venu face à la situation économique du pays? Et sur quelle majorité le PR va t’il s’appuyer pour gouverner en attendant 2029?
Diomaye PR est il assez structuré pour submerger pastef? A vous messieurs les science politiciens.
Comment peut-on oser pondre une telle poubelle éditoriale et l’exposer sans honte à un peuple en quête d’espoir et de dignité ? Ce texte n’est pas une analyse, c’est un pamphlet déguisé, truffé d’ironie mal placée, de sous-entendus malveillants et de raccourcis intellectuels indignes d’un débat sérieux.
« Les Sénégalais attendaient un souffle, ils ont eu un slogan » .Non. Les Sénégalais ont eu un cap, une vision, une parole directe. Ce n’est pas un slogan, c’est un engagement. Ce genre de phrase creuse ne fait qu’alimenter le cynisme ambiant.
« Il a choisi de s’adresser à son parti, pas à la Nation ». Et alors ? Depuis quand parler à sa base est un crime ? Le Premier ministre est aussi un leader politique. Faut-il qu’il renie son ancrage pour plaire à des éditorialistes en mal de piques faciles ?
« Il parle au mauvais public ». Faux. Il parle à ceux qui l’ont porté, à ceux qui ont souffert, résisté, espéré. Ce sont eux, le cœur battant de la Nation. Les ignorer serait une trahison.
« Le riz coûte cher, le loyer pèse… » Merci pour le scoop ! Mais que proposez-vous ? Rien. Juste des phrases toutes faites, des constats mille fois répétés, sans une once de solution. C’est facile de critiquer depuis un clavier, plus difficile de gouverner dans un pays miné par des décennies de mauvaise gestion.
« Gouverner, ce n’est pas occuper la scène » . Ironique, venant d’un texte qui cherche précisément à occuper la scène médiatique avec du venin. Gouverner, c’est aussi parler, expliquer, mobiliser. Ce que le Premier ministre a fait.
« Il risque d’oublier à qui il doit répondre » . Non. Ce texte, lui, oublie à qui il s’adresse. Aux Sénégalais-e-s qui veulent avancer, pas se vautrer dans la critique stérile. Ce peuple mérite mieux que des éditos qui attisent la division et sabotent l’espoir.
Ce n’est pas un article. C’est un règlement de comptes personnel, déguisé en chronique. Un torchon.
Le Sénégal a besoin de lucidité, de solidarité, de perspectives. Pas de sarcasmes malveillants. Pas de jugements à l’emporte-pièce. Pas de mépris déguisé en prose.
Assez de ces éditos qui veulent faire croire que tout va mal dès qu’un leader parle à son peuple. Le pays mérite mieux. Le peuple mérite mieux. Et la presse aussi.
🧘♀️ Masseur / Masseuse bien-être
Formation : souvent privée, non médicale (quelques mois à un an selon l’école).
Objectif : détente, relaxation, bien-être général.
Techniques : massage californien, suédois, aux pierres chaudes, etc.
Pas de diagnostic médical ni de rééducation.
Ne peut pas être remboursé par la sécurité sociale.
🩺 Kinésithérapeute (ou physiothérapeute)
Formation : diplôme d’État (5 ans d’études après le bac).
Objectif : rééducation, récupération fonctionnelle après blessure, opération, ou pathologie.
Travail sur ordonnance médicale.
Actes remboursés par la sécurité sociale.
👉 En résumé :
Le kinésithérapeute soigne et rééduque,
Le masseur bien-être détend et relaxe.
Comment peut-on oser pondre une telle poubelle éditoriale et l’exposer sans honte à un peuple en quête d’espoir et de dignité ? Ce texte n’est pas une analyse, c’est un pamphlet déguisé, truffé d’ironie mal placée, de sous-entendus malveillants et de raccourcis intellectuels indignes d’un débat sérieux.
« Les Sénégalais attendaient un souffle, ils ont eu un slogan » .Non. Les Sénégalais ont eu un cap, une vision, une parole directe. Ce n’est pas un slogan, c’est un engagement. Ce genre de phrase creuse ne fait qu’alimenter le cynisme ambiant.
« Il a choisi de s’adresser à son parti, pas à la Nation ». Et alors ? Depuis quand parler à sa base est un crime ? Le Premier ministre est aussi un leader politique. Faut-il qu’il renie son ancrage pour plaire à des éditorialistes en mal de piques faciles ?
« Il parle au mauvais public ». Faux. Il parle à ceux qui l’ont porté, à ceux qui ont souffert, résisté, espéré. Ce sont eux, le cœur battant de la Nation. Les ignorer serait une trahison.
« Le riz coûte cher, le loyer pèse… » Merci pour le scoop ! Mais que proposez-vous ? Rien. Juste des phrases toutes faites, des constats mille fois répétés, sans une once de solution. C’est facile de critiquer depuis un clavier, plus difficile de gouverner dans un pays miné par des décennies de mauvaise gestion.
« Gouverner, ce n’est pas occuper la scène » . Ironique, venant d’un texte qui cherche précisément à occuper la scène médiatique avec du venin. Gouverner, c’est aussi parler, expliquer, mobiliser. Ce que le Premier ministre a fait.
« Il risque d’oublier à qui il doit répondre » . Non. Ce texte, lui, oublie à qui il s’adresse. Aux Sénégalais-e-s qui veulent avancer, pas se vautrer dans la critique stérile. Ce peuple mérite mieux que des éditos qui attisent la division et sabotent l’espoir.
Ce n’est pas un article. C’est un règlement de comptes personnel, déguisé en chronique. Un torchon.
Le Sénégal a besoin de lucidité, de solidarité, de perspectives. Pas de sarcasmes malveillants. Pas de jugements à l’emporte-pièce. Pas de mépris déguisé en prose.
Assez de ces éditos qui veulent faire croire que tout va mal dès qu’un leader parle à son peuple. Le pays mérite mieux. Le peuple mérite mieux. Et la presse aussi.
Nous répondrons toujours avec la même rigueur que nous attendons de ceux qui prétendent informer ou analyser.
Avec positivité, parce que le pays a besoin d’espoir.
Avec correction, parce que la dignité ne se négocie pas.
Avec responsabilité, parce que chaque mot compte.
Et avec respect, même envers ceux qui l’oublient parfois.
Les Sénégalais méritent mieux que les règlements de comptes déguisés.
Ils méritent des idées, pas des attaques.
Des propositions, pas des insinuations. Des perspectives, pas des sarcasmes.
Comment peut-on oser pondre une telle poubelle éditoriale et l’exposer sans honte à un peuple en quête d’espoir et de dignité ? Ce texte n’est pas une analyse, c’est un pamphlet déguisé, truffé d’ironie mal placée, de sous-entendus malveillants et de raccourcis intellectuels indignes d’un débat sérieux.
« Les Sénégalais attendaient un souffle, ils ont eu un slogan » .Non. Les Sénégalais ont eu un cap, une vision, une parole directe. Ce n’est pas un slogan, c’est un engagement. Ce genre de phrase creuse ne fait qu’alimenter le cynisme ambiant.
« Il a choisi de s’adresser à son parti, pas à la Nation ». Et alors ? Depuis quand parler à sa base est un crime ? Le Premier ministre est aussi un leader politique. Faut-il qu’il renie son ancrage pour plaire à des éditorialistes en mal de piques faciles ?
« Il parle au mauvais public ». Faux. Il parle à ceux qui l’ont porté, à ceux qui ont souffert, résisté, espéré. Ce sont eux, le cœur battant de la Nation. Les ignorer serait une trahison.
« Le riz coûte cher, le loyer pèse… » Merci pour le scoop ! Mais que proposez-vous ? Rien. Juste des phrases toutes faites, des constats mille fois répétés, sans une once de solution. C’est facile de critiquer depuis un clavier, plus difficile de gouverner dans un pays miné par des décennies de mauvaise gestion.
« Gouverner, ce n’est pas occuper la scène » . Ironique, venant d’un texte qui cherche précisément à occuper la scène médiatique avec du venin. Gouverner, c’est aussi parler, expliquer, mobiliser. Ce que le Premier ministre a fait.
« Il risque d’oublier à qui il doit répondre » . Non. Ce texte, lui, oublie à qui il s’adresse. Aux Sénégalais-e-s qui veulent avancer, pas se vautrer dans la critique stérile. Ce peuple mérite mieux que des éditos qui attisent la division et sabotent l’espoir.
Ce n’est pas un article. C’est un règlement de comptes personnel, déguisé en chronique. Un torchon.
Le Sénégal a besoin de lucidité, de solidarité, de perspectives. Pas de sarcasmes malveillants. Pas de jugements à l’emporte-pièce. Pas de mépris déguisé en prose.
Assez de ces éditos qui veulent faire croire que tout va mal dès qu’un leader parle à son peuple. Le pays mérite mieux. Le peuple mérite mieux. Et la presse aussi.
Comment peut-on oser pondre une telle poubelle éditoriale et l’exposer sans honte à un peuple en quête d’espoir et de dignité ? Ce texte n’est pas une analyse, c’est un pamphlet déguisé, truffé d’ironie mal placée, de sous-entendus malveillants et de raccourcis intellectuels indignes d’un débat sérieux.
« Les Sénégalais attendaient un souffle, ils ont eu un slogan » .Non. Les Sénégalais ont eu un cap, une vision, une parole directe. Ce n’est pas un slogan, c’est un engagement. Ce genre de phrase creuse ne fait qu’alimenter le cynisme ambiant.
« Il a choisi de s’adresser à son parti, pas à la Nation ». Et alors ? Depuis quand parler à sa base est un crime ? Le Premier ministre est aussi un leader politique. Faut-il qu’il renie son ancrage pour plaire à des éditorialistes en mal de piques faciles ?
« Il parle au mauvais public ». Faux. Il parle à ceux qui l’ont porté, à ceux qui ont souffert, résisté, espéré. Ce sont eux, le cœur battant de la Nation. Les ignorer serait une trahison.
« Le riz coûte cher, le loyer pèse… » Merci pour le scoop ! Mais que proposez-vous ? Rien. Juste des phrases toutes faites, des constats mille fois répétés, sans une once de solution. C’est facile de critiquer depuis un clavier, plus difficile de gouverner dans un pays miné par des décennies de mauvaise gestion.
« Gouverner, ce n’est pas occuper la scène » . Ironique, venant d’un texte qui cherche précisément à occuper la scène médiatique avec du venin. Gouverner, c’est aussi parler, expliquer, mobiliser. Ce que le Premier ministre a fait.
« Il risque d’oublier à qui il doit répondre » . Non. Ce texte, lui, oublie à qui il s’adresse. Aux Sénégalais-e-s qui veulent avancer, pas se vautrer dans la critique stérile. Ce peuple mérite mieux que des éditos qui attisent la division et sabotent l’espoir.
Ce n’est pas un article. C’est un règlement de comptes personnel, déguisé en chronique. Un torchon.
Le Sénégal a besoin de lucidité, de solidarité, de perspectives. Pas de sarcasmes malveillants. Pas de jugements à l’emporte-pièce. Pas de mépris déguisé en prose.
Assez de ces éditos qui veulent faire croire que tout va mal dès qu’un leader parle à son peuple. Le pays mérite mieux. Le peuple mérite mieux. Et la presse aussi.
Effacer des publications ne changera rien à la vérité. Ce qui compte, c’est de dire ce qui est juste, ce qui est bon pour le Sénégal, ce qui élève le débat et sert le peuple.
Nous ne demandons pas l’unanimité. Nous demandons l’honnêteté. Nous ne fuyons pas la critique. Nous refusons la malveillance. Nous ne cherchons pas la confrontation. Mais nous ne laisserons aucune attaque sans réponse, si elle est injuste ou mal intentionnée.
Wassalam.
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