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Conseil des ministres : Black-out sur la situation à l’UCAD

Auteur: Seneweb News

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Conseil des ministres : Black-out sur la situation à l’UCAD

La situation à l’UCAD ne fait pas l'actualité au sein du gouvernement. En Conseil des ministres, ce mercredi, les hautes autorités de l'État ont fait un black-out total sur la crise à l'université. Ni le président Bassirou Diomaye Faye ni son Premier ministre Ousmane Sonko n'ont jugé nécessaire d'en parler.

C'est donc de façon très laconique que la question est mentionnée dans le communiqué final du Conseil des ministres. "Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation a fait

une communication sur l’amélioration du système de paiement des allocations d’études". Point final et c'est tout.

Il est vrai que le gouvernement a été à l'Assemblée nationale vendredi. Le ministre Daouda Ngom a apporté une réponse détaillée de la position du gouvernement sur le paiement des bourses objet de la présente crise. Mais cela ne doit pas empêcher le président d'en parler, surtout qu'entre-temps, la situation a dégénéré à l’UCAD, occasionnant le positionnement des forces de l'ordre au sein du campus pédagogique.

Aujourd'hui, la situation était tendue au campus social. Plusieurs personnalités se sont exprimées sur la situation. Mais pas le président et son PM.

Auteur: Seneweb News
Publié le: Mercredi 03 Décembre 2025

Commentaires (13)

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    Pfff il y a 7 heures

    LA situation de l'Enseignement supérieur en général est catastrophique !!!

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    Darkpinguin il y a 4 heures

    C’est une question de temps nous allons vers la réforme des bourses, qui seront désormais octroyées aux étudiants méritant à ceux qui ont le bac avec mention en 1er année et aux résultats des examens à partir du 2ème année et pareille pour les logements universitaires. Comme cela se passe partout dans le reste du monde et d'ailleurs c'était le cas au Sénégal avant le régime des libéraux.

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    Darkpinguin il y a 4 heures

    C’est une question de temps nous allons vers la réforme des bourses, qui seront désormais octroyées aux étudiants méritant à ceux qui ont le bac avec mention en 1er année et aux résultats des examens à partir du 2ème année et pareille pour les logements universitaires. Comme cela se passe partout dans le reste du monde et d'ailleurs c'était le cas au Sénégal avant le régime des libéraux.

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    Anta Fall il y a 4 heures

    That's doesn't make a sense to finance a failing system. Comment comprendre le fait de donner des bourses à des étudiants qui ne peuvent pas parler la langue de base de leurs études qu'ils ont passé des années avec, la primaire, le secondaire 1er cycle et 2ème cycle et le Bac pour se retrouver à l'université dans un système d'éducation à l'agonie où la fuite des sujets d'examens est un fléau. La réforme des bourses pour imposer L'EXCELLENCE est inevitable

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    Maquette Diop il y a 1 heure

    La bourse doit être fondue,reformulée et octroyée en fonction des résultats pour encourager les étudiants à étudier sérieusement. Et non seulement ils vont persévérer pour réussir leursétudes, mais aussi se fesant l'attrait d'obtention d'une bourse au passage par ses résultats va les motiver

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    Sage il y a 7 heures

    hé oui voilà les conséquences de vouloir donner des bourses à tous les étudiants. normalement, les bourses d'études devraient être remises aux bacheliers avec mention très bien, Bien et assez bien et les autres passable juste une aide boursière. Comme pour les redoublants de perdre leur faveur,. Ça permettrait aux élèves de travailler davantage afin que notre pays se dotent des gens de cerveau.maintenant c'est devenu un dû. forcé qu'ils le reçoivent

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    Gorgui il y a 4 heures

    Domikharam yow lolou tey ngako sok khalat et pas hier pastef c l arnaque du siècle walahi azim sonko tu as trahi tt une génération embecile de merde

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    Ndiaye il y a 2 heures

    @Gorgui écrit en français si tu n'est pas un étudiant t'as pas ta place dans ce débat

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    Ndiaye il y a 2 heures

    @Gorgui écrit en français si tu n'est pas un étudiant t'as pas ta place dans ce débat

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    Passant pan il y a 6 heures

    Je ne comprends pas pourquoi sanctionner les pauvres étudiants il faut aller chercher l’argent chez le foncier l’immobilier de luxe et les voitures de luxe ou gelée les milliardaire sénégalais qui font du blanchiment d’argent ou gelé les salaires des fonctionnaires pour payer les bourses .

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    Lol il y a 6 heures

    Un serere qui trahi ce n’est pas une information son grand père Senghor a été le plus grand traitre

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    solutions il y a 6 heures

    1. vendre l'avion présidentiel
    2. supprimer les caisses noires
    3. fermer la moitié des agences
    4. réduire de 50% les salaires des DG
    5. fermer les missions diplomatiques inutiles
    6. régionaliser l'enseignement supérieur
    7. autoriser la création des universités privées

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    Sénégal il y a 6 heures

    Comment en parler s'il n'y a pas de solution ? Que les étudiants se démerdent !

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    fvdfdv il y a 4 heures

    En tous cas , comme vous la majorité des énégalais ont joué avec l'avenir du pays en le donnant à des aventuriers extrémement médiocre.

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    Fallou il y a 4 heures

    La vérité c qu on a joué et on a perdu
    Legui faisons face a nos conneries
    Sonko mom yow dibi sa ndeye rek lay guiss

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    Ngam il y a 4 heures

    Sonko ne pense pas a nous il faut focus sur son projet de prochain ejaculation

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    Darkpinguin il y a 4 heures

    Le niveau des étudiants est très bas, l'université ne sert pratiquement plus à rien du tout que de former des médiocres futurs chômeurs parce qu'ils n'ont pas le plus escompté de leurs études qui devait faire la différence pour le développement du pays. Il faut arrêter ce gaspillage de ressources humaines et financières c'est l'occasion de la refonte du système des bourses. Le nouveau régime fort de son encrage populaire a l'occasion rêvée l'imposer et pour cela le pourrissement de la situation actuelle pourrait permettre d'y arriver si la grève continue la fermeture de l'université doit être envisagée et la prochaine ouverture tout sera remise à zéro et se fera sur de nouvelles règles d'accès et le nombre sera limité par une sélection à définir.

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    Poulo il y a 4 heures

    Le pauvre contribuable senegalis n’a pas à payer des bourse, ça doit être réservé qu’aux étudiants avec mention. Mes parents sont pauvres et ils ont tout fait pour me payer les études. Une bourse n’est pas un salaire tu ne peux pas le réclamer avec la force bien que je comprend qu’on peut les aider pour finir leurs etudes

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    Lucifer il y a 2 heures

    Les crédits de la Côte d’Ivoire sont la sama way ! Ou bien c’est déjà fini ? Ahahahaha

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    Marley Bob il y a 2 heures

    Tant que la dualité au sommet de l’État n’est pas résolu, ce sera toujours comme ça.

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    Julie Glover il y a 1 heure

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    faye il y a 53 secondes

    ANASER : une agence prise en otage par son DG
    1. Un directeur général en contradiction permanente
    L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
    Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
    2. Agents dispersés, missions inexistantes
    La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
    Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
    3. Illégalité et silence complice
    Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
    Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
    Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
    Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
    4. Népotisme et gestion clanique
    Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
    5. Une agence détournée de sa mission
    Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
    Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.

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