ANASER : il critique la gestion du DG et récolte une convocation à la police
Le président de l’Association nationale des personnes accidentées vivant avec handicap (ANPAVH), Ousmane Ndoye, est convoqué ce jeudi 11 septembre à 11 heures à la Division spéciale de cybersécurité (DSC). Il va répondre à une plainte du directeur général de l’Agence nationale de sécurité routière (ANASER), Atoumane Sy. Selon Les Échos, qui relaie l'information dans son édition du mercredi, cette plainte fait suite aux critiques publiques formulées par Ndoye à l’encontre de la gestion du Dg de l’ANASER.
Commentaires (76)
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Ils oublient que ce sont ces sénégalais qui les paient !!!
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
En tout cas les agents sont à la merci d’un grand minable. Et c’est extrêmement grave l’état doit prendre ses responsabilités pendant ce temps les accidents continuent à tuer les sénégalais
Plus rien ne sera plus comme avant.
Aujourd’hui, elle sauve seulement les proches de son DG.
Népotisme, illégalité, salaires coupés : une agence prise en otage pendant que les Sénégalais meurent sur la route.
#ANASER #Trahison #SécuritéRoutière
Pendant que les routes tuent, lui place sa famille, coupe des salaires et viole les règles.
Une trahison envers le peuple sénégalais.
...plainte du directeur général de l’Agence nationale de sécurité routière (ANASER) ???
la victime:
le président de l’Association nationale des personnes accidentées vivant avec handicap (ANPAVH),
Au Sénégal même une personne normale a beaucoup de difficultés pour traverser la route ou marcher....
trottoires inexistants car encombrés par les marchands ou habitants, charettes, chariots, Conducteurs de mottos taxis jakarta sans aucune connaissance des régles du code de la route, abscence de feux de signalisation, de passages cloutés....
Dans un pays normal, même les aveugles peuvent traverser seuls la rue. Les feux de signalisation sont équipés d´un système sonore qui les informe sur la nature ou couleur du feu...
Les campagnes de sensibilisation à la sécurité routière se sont multipliées, les partenariats avec les collectivités locales et les transporteurs se sont renforcés, et les statistiques d’accidents montrent déjà une amélioration.
Avant de juger, regardons les résultats : la mission de protéger les usagers de la route est bien au cœur de son action.
Je me demande comment il a atterri ici et pourtant il a de très grands collaborateurs
M. Sy dirige une institution clé pour la sécurité de tous et a le devoir de défendre la réputation de l’ANASER lorsque celle-ci est mise en cause.
Respectons la présomption d’innocence et observons la transparence des procédures avant de porter des jugements hâtifs.
– renforcement des contrôles routiers,
– campagnes régulières de prévention dans les écoles et gares routières,
– modernisation de l’équipement pour la sécurité.
Ces actions concrètes parlent bien plus fort que les polémiques.
M. Sy a su mobiliser les équipes et partenaires pour réduire les risques d’accident et instaurer une culture de prévention.
Soutenons les efforts qui vont dans le sens de la sécurité collective plutôt que de nous laisser entraîner dans des accusations sans preuves.
Sous la direction d’Atoumane Sy, des résultats tangibles sont visibles : formations des conducteurs, amélioration de la signalisation et campagnes de sensibilisation nationales.
C’est en poursuivant ces initiatives que nous protégerons des vies, pas en alimentant des querelles.
C’est cela qui compte pour les familles sénégalaises, pas les rumeurs.
Le DG de l’ANASER a mobilisé des équipes sur tout le territoire, modernisé les équipements de contrôle routier et lancé des programmes éducatifs.
Qui peut nier ces avancées visibles
La sécurité routière a fait un bond en avant grâce au travail du DG Sy et de ses équipes.
Critiquer sans faits, c’est refuser de voir la réalité.
Cela montre que l’ANASER prend au sérieux la vérité et la transparence.
Les faits sont clairs : le pays avance grâce à ces initiatives.
Sous la direction de M. Atoumane Sy, l’ANASER a lancé des projets structurants, renforcé la prévention et engagé des réformes ambitieuses.
Défendre son honneur devant la justice n’est pas une attaque contre la liberté d’expression mais une démarche de transparence.
Il faut que ces genres de pratique cessent
Inonder les plateformes de mensonges
l'Anaser une agence nouvelle avec un Directeur dévoué qui ne cesse de multiplier la sensibilisation des acteurs de la route pour réduire les accidents
Continuez dans cette lancée Atoumane
Les autorités savent reconnaître les bosseurs
Depuis sa nomination, M. Atoumane Sy a lancé plusieurs réformes structurantes : création du Bulletin d’analyse des accidents corporels (BAAC) pour mieux cibler les zones à risques, préparation du contrôle-sanction automatisé afin de réduire l’impunité sur nos routes, multiplication des campagnes de sensibilisation dans les gares routières, les écoles et les médias.
Ces efforts s’inscrivent dans une vision claire : réduire de 50 % les décès et blessures graves d’ici 2030, en accord avec la Décennie d’action pour la sécurité routière des Nations Unies.
Les chiffres qu’il rend publics montrent son engagement à la transparence : environ 5 200 accidents, 745 décès et 8 500 blessés graves sont enregistrés chaque année, pour un coût de près de 163 milliards FCFA, soit 4 à 5 % du PIB national.
Reconnaître ces réalités, tout en mettant en place des solutions concrètes, prouve que le DG ne se contente pas de discours mais agit.
Défendre la réputation de l’ANASER devant la justice n’est pas une attaque contre la liberté d’expression ; c’est le droit et même le devoir de protéger une institution qui travaille pour sauver des vies.
Il est temps de soutenir les efforts entrepris, de renforcer la responsabilité de chaque usager de la route et de travailler ensemble, plutôt que de discréditer ceux qui s’engagent au service de la sécurité de tous.
Allez vérifier
Atoumane est entrain d'abattre un travail titanesque et surtout sur tout le territoire national
Un expert de la sécurité routière débauché par les nouvelles autorités.
Écoeuré par les anciennes pratiques décident de réaliser la vision du projet en matière de sécurité routière... cette rupture vous fait mal et la diabolisation commence
Ce chantage est voué à l'échec
L’article de SENEWEB intitulé « ANASER : une agence prise en otage par son DG » se présente comme une critique virulente du Directeur général de l’ANASER. Pourtant, derrière le ton accusateur et les formules à sensation, ce texte révèle surtout une volonté manifeste de détourner l’opinion publique des véritables enjeux : la réforme profonde et nécessaire d’une agence longtemps sclérosée par l’inefficacité, les passe-droits et l’incompétence.
1. Redresser l’agence ou l’entretenir dans l’inefficacité ?
À son arrivée, le Directeur général a trouvé une structure gangrenée par des pratiques opaques, un organigramme obsolète, des ressources humaines mal réparties et une absence criante de résultats sur le terrain. Son action vise précisément à remettre de l’ordre, à recentrer l’ANASER sur sa mission première : la sécurité routière au service des Sénégalais.
Oui, cela implique des décisions difficiles : audit des effectifs, redéploiement des agents, suspension de certains recrutements douteux, et recentrage des missions. Il ne s’agit pas de « règlements de compte », mais d’un nettoyage nécessaire, douloureux pour ceux qui étaient confortablement installés dans l’inaction.
2. Optimiser les ressources humaines : une obligation, pas un choix
L’affectation des agents dans les régions ne signifie pas leur abandon, mais une volonté claire de décentraliser l’action de l’agence et de la rapprocher des populations. Ce processus est en cours, avec des plans de mise en place progressive de bureaux régionaux et d’équipements de travail. Il est malhonnête de juger une réforme structurelle en cours d’exécution comme un échec.
Quant aux prétendues contradictions sur les effectifs, elles relèvent d’une mauvaise foi évidente : on ne peut maintenir des postes improductifs sous prétexte de CDI et refuser en même temps d’intégrer des compétences mieux alignées avec les nouveaux objectifs de performance. Le pays a besoin d’efficacité, pas de clientélisme déguisé.
3. Gouvernance : respect du cadre légal et réforme en cours
Accuser le DG de recruter sans autorisation relève soit d’une méconnaissance des procédures internes, soit d’une manipulation. Tous les recrutements en cours sont encadrés par les textes et s’inscrivent dans un plan de redéploiement validé en amont. Le Conseil de surveillance est informé régulièrement, et ses membres sont invités à faire part de leurs remarques dans les formes prévues.
Quant à la baisse de certains avantages, elle est justifiée par des ajustements budgétaires temporaires en phase avec la situation économique du pays. Il ne s’agit pas d’un mépris des droits du travail, mais d’une gestion responsable des deniers publics.
4. La fausse polémique du népotisme
Utiliser le terme « entreprise familiale » parce que deux personnes de la même famille auraient été recrutées est non seulement exagéré, mais relève d’un procès d’intention. Ces personnes ont des profils compétents et une expérience avérée dans la fonction publique. Faut-il désormais interdire à tout Sénégalais ayant un lien familial avec un cadre de postuler dans une administration ? Ce raccourci est dangereux et malhonnête.
5. Une vision claire pour une ANASER nouvelle
Le DG actuel est engagé dans une transformation de fond, avec une vision : faire de l’ANASER un véritable outil de lutte contre les accidents, de formation des conducteurs et de modernisation du transport routier. Cela ne peut se faire sans heurter les habitudes et les intérêts acquis. C’est cette résistance au changement qui s’exprime aujourd’hui à travers les attaques personnelles.
Au lieu de multiplier les tribunes haineuses, il serait plus utile de juger l’action du DG sur la base des résultats à moyen terme. Et surtout, d’apporter des propositions concrètes plutôt que des invectives.
Conclusion :
Réformer une institution n’a jamais été populaire auprès de ceux qui bénéficiaient du statu quo. Mais le Sénégal a besoin d’administrations efficaces, responsables, tournées vers l’intérêt général. L’ANASER est sur cette voie. Ceux qui tentent de détourner ce processus par des attaques ad hominem ne servent ni le pays, ni la cause de la sécurité routière.
L'ŒIL DU PATRIOTE
Ce n'est pas un incident isolé, mais le reflet d'une indiscipline généralisée et d'une insouciance criminelle qui règnent sur nos routes. Où sont les panneaux de signalisation ? Où sont les balises pour alerter les usagers d'un danger imminent ? Nos routes sont devenues un champ de mines, et la peur est notre compagne de route.
Un peu plus loin, à Rufisque, au niveau du pont de Thiokho, la situation n'est guère meilleure. Des travaux ont été mis en place, signalés par des séparateurs en béton posés directement sur la chaussée, sans aucun éclairage ni signalisation visible. Dans cette zone déjà mal éclairée, le danger est omniprésent.
Nos vies sont en jeu. L'inaction des autorités est consternante. L'absence de l'Agence Nationale de la Sécurité Routière (ANASER) sur le terrain est troublante. À quoi sert une agence dédiée à la sécurité si elle ne remplit pas sa mission la plus essentielle : garantir la sécurité des usagers ?
Cette situation ne peut plus durer. Il est grand temps d'agir, de manière ferme et concertée. J'appelle l'ANASER à prendre ses responsabilités, à se déployer sur nos routes, à sensibiliser, à sanctionner les comportements irresponsables, et surtout, à mettre en place une signalisation routière digne de ce nom. Faisons de la sécurité routière une priorité nationale. C'est un devoir envers chaque citoyen, car chaque vie compte
« La sécurité routière n’est pas un jeu. »
« Des vies avant les ego ! »
C’est le même DG qui avait proposé des départs volontaires un vrai comédien c’est un idiot je connais des gens qui souffrent à cause de lui un véritable malade il menace tout le monde même ses partenaires comment un DG peut porter plainte à un victime d’accident
La sécurité routière, c'est pour tout le Sénégal, pas seulement la capitale ! #Concret"
DG Sy l'a fait. Maintenant, les contrôles et la sensibilisation sont plus proches des usagers. On ne peut que saluer cette initiative.
Comment peut-on voir ces agissements sous notre régime.
Mais Sonko avait avertis vivement le changement de bcp de DG faut auditionner les cv de ces gens là ils ne sont pas de bon ménager franchement être du projet c’est aussi dénoncer quand ça ne va pas
Une belle avancée.
C'est du solide.
Arrêtons de critiquer et ouvrons les yeux.
Les sensibilisations dans les écoles, les gares?
C'est l'œuvre du nouveau management.
Continuons comme ça."
Atoumane Sy AGIT et montre des résultats concrets : décentralisation, synergies, sensibilisation.
La compétence parle d'elle-même.
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