j'ai quitté les études en droit car il n'y pas de logique tout le monde a sa manière d'interpréter. ce que tu étudies n'a parfois rien a voir à la réalité. tu vois un avocat défendre un criminel ou trafiquants pris en flagrant délit et que le juge le libère. et puis la justice n'est jamais parfaite pour un pauvre . tu voles de quoi acheter du pain pour ta famille on t'oublie en prison tu voles des milliards de toute les familles tu es libre. Dieu vous jugera Tous
Humilité Daouda !il y a 12 heures
Regarde tout les grands juristes de l'ombre. Ils savent quand parler. Et puis Pourquoi tu ne parles que de Madiambal ces temps ci ?
Madiambalil y a 8 heures
Ce Daouda mine il n’est pas sérieux il essaye de défendre ce voleur parce qu’il est soit disant journaliste mais tout le monde sait qu’il est un Escros
Répondre à Sage
Le véridiqueil y a 11 heures
Daoudia mine mom min na gnou ay wakham legui
Répondre à Le véridique
DIOUFDIOUFil y a 10 heures
Ce type de daouda je ne sis quoi mine est un vrai imbécile de kuluna en cachette
Répondre à DIOUFDIOUF
Xemeil y a 10 heures
Et pourtant, Madiambal Diagne, il est la preuve humaine de l'humiliation du monde du journalisme au Sénégal.
- Il est radié du corps des greffiers pour faute lourde. Les greffiers ont donc des valeurs à préserver dans leur métier.
- Sans aucune autorisation à exiger d'une quelconque organisation de journalistes, le chassé des greffiers entre dans le journalisme comme dans une porte de bordel. Et il devient journaliste. Vous noterez la facilité.
- Première humiliation des journalistes: ils avaient leur CRED, chargé de surveiller le respect de l'éthique et la déontologie dans le métier de journaliste, le greffier chassé, Madiambal, les viole. Le CRED lui notifie une mise en garde. Madiambal réplique qu'il n'a de leçon à recevoir de personne. Cette sortie que j'avais considéré comme une insulte aux journalistes, je l'ai beaucoup commenté depuis que Madiambal s'était prononcé. J'avais donné une grille de comparaison. Imaginez un boucher radié du métier par les autres bouchers, et qui va ouvrir une clinique de chirurgie esthétique. Imaginez que ayant causé des dommages à une cliente (en réalité la clinique ne serait jamais ouverte), l'ordre des médecins le convoque et il leur réplique qu'il n'a pas de leçon à recevoir d'eux, sur leur métier, et qu'il ne répondra pas. Il fermera la clinique de force, que cela lui plaise ou pas. Mais chez les journalistes un Madiambal Diagne s'est permis la pareille. Et les journalistes à qui il a manqué de respect ont ajouté eux-mêmes à leur propre humiliation en mettant en place un machin de journalistes de la francophonie et en le mettant à la tête.
C'est normal qu'après cela, quand le CRED devient CORED, et que lui aussi l'épingle lors de sa hargne contre le juge Teliko, il s'en tamponne aussi. Madiambal avait poussé la bassesse jusqu'à rappeler que Téliko est d'origine guinéenne. Toujours sa hargne à nuire, contre vents et marées. Il n'en eut encore cure. Il récidiva, en écrivant encore qu'en Casamance seuls les peuls, mankagnes, et mandingues s'opposent à Sonko. Là, le CORED lui sort encore une condamnation. Il réplique qu'il n'a d'excuses à présenter à personne, parce que ceux qui dirigent le CORED ont un contentieux contre lui, et lui font un mauvais procès. Donc, pas de regrets, pas d'excuses, rejet de la décision du tribunal des paires. Un Madiambal au dessus de tout et de tous. Même dans un métier où il est entré par effraction, il les toise de haut.
Si ce même Madiambal, cette fois dans l'immobilier, est épinglé par la CENTIF, et que tous les journalistes qu'il a tant humiliés font corps derrière lui pour le soutenir, comment s'empêcher de penser qu'il avait raison de dire qu'il n'a pas de leçon à recevoir d'eux ? Ce sont eux qui prennent des leçons de lui. Et ce ne sont pas des leçons de journalisme. Même si le journalisme reste le masque.
Répondre à Xeme
Kheuchil y a 9 heures
Le CRED n'avait aucune valeur juridique, auto-crée par des gens certes de bonne foi mais sans aucune légitimité
Le Cored dispose de deux procédures et toute personne poursuivi ou condamnée par le tribunal des pairs peut contester la décision.
La seule armédu Cored c'est de te retirer ta carte de presse et pour cela jamais une procédure dans ce sens n'a été admise contre Madiambal
Répondre à Kheuch
Mags Maguetteil y a 8 heures
Disculper entièrement Babacar Fall et Maïmouna Ndour Faye dans ce dossier ne me paraît pas très responsable; surtout que le premier savait très bien que sa collègue avait des soucis pour avoir interrogé Madiambal mais a quand même décidé d'interviewer le fugitif.
Daouda aurait dû, à mon avis, relever la provocation de son confrère pour la regretter, à moins qu'il cherche sciemment à lui manifester sa solidarité sans se préoccuper du reste.
Répondre à Mags Maguette
Citoyenil y a 6 heures
On analyse avec la raison ,sans qu’on se laisse emporter par les émotions.
Le droit de base sur des faits par sur des d’états d’âme
Répondre à Citoyen
Xemeil y a 6 heures
@Kheuch
CRED ou CORED, que leurs décisions soient symboliques ou prises à simple titre d'indication, ce sont des journalistes qui ont décidé de réguler leur profession. Et ils ne le font pas en appelant des pharmaciens s'y prononcer, et ils ne décident rien envers les mécaniciens. Mais alors qu'est qu'on voit ? Un Madiambal intrus dans leur profession et qui dit merde à toute décision contre lui. "Vous n'avez pas respecté la profession", il leur répond "vous ne me la ferez pas respecter. Et ils lui réservent pourtant les plus belles fleurs de la profession. Ce qu'il dit compte, il est souvent leur représentant ailleurs, il dirige leurs instances. Dans tous les métiers, et partout dans le monde, on peut y trouver des intrus qui en vivent sans être des gens du métier. Mais on me trouvera difficilement un exemple d'intrus dans un métier qui n'a que mépris et irrespect envers les gens du métier. Madiambal, c'est le cas. Et ceux qu'ils méprisent le porte au pinacle. Est ce du masochisme ? Les journalistes refusent de regarder la vérité en face, mais il est évident, vraiment évident, que Madiambal Diagne les tient par autre chose que le journalisme. Ceci est facile à comprendre même par un petit enfant.
Commentaires (8)
j'ai quitté les études en droit car il n'y pas de logique tout le monde a sa manière d'interpréter. ce que tu étudies n'a parfois rien a voir à la réalité. tu vois un avocat défendre un criminel ou trafiquants pris en flagrant délit et que le juge le libère. et puis la justice n'est jamais parfaite pour un pauvre . tu voles de quoi acheter du pain pour ta famille on t'oublie en prison tu voles des milliards de toute les familles tu es libre. Dieu vous jugera Tous
Regarde tout les grands juristes de l'ombre. Ils savent quand parler. Et puis Pourquoi tu ne parles que de Madiambal ces temps ci ?
Ce Daouda mine il n’est pas sérieux il essaye de défendre ce voleur parce qu’il est soit disant journaliste mais tout le monde sait qu’il est un Escros
Daoudia mine mom min na gnou ay wakham legui
Ce type de daouda je ne sis quoi mine est un vrai imbécile de kuluna en cachette
Et pourtant, Madiambal Diagne, il est la preuve humaine de l'humiliation du monde du journalisme au Sénégal.
- Il est radié du corps des greffiers pour faute lourde. Les greffiers ont donc des valeurs à préserver dans leur métier.
- Sans aucune autorisation à exiger d'une quelconque organisation de journalistes, le chassé des greffiers entre dans le journalisme comme dans une porte de bordel. Et il devient journaliste. Vous noterez la facilité.
- Première humiliation des journalistes: ils avaient leur CRED, chargé de surveiller le respect de l'éthique et la déontologie dans le métier de journaliste, le greffier chassé, Madiambal, les viole. Le CRED lui notifie une mise en garde. Madiambal réplique qu'il n'a de leçon à recevoir de personne. Cette sortie que j'avais considéré comme une insulte aux journalistes, je l'ai beaucoup commenté depuis que Madiambal s'était prononcé. J'avais donné une grille de comparaison. Imaginez un boucher radié du métier par les autres bouchers, et qui va ouvrir une clinique de chirurgie esthétique. Imaginez que ayant causé des dommages à une cliente (en réalité la clinique ne serait jamais ouverte), l'ordre des médecins le convoque et il leur réplique qu'il n'a pas de leçon à recevoir d'eux, sur leur métier, et qu'il ne répondra pas. Il fermera la clinique de force, que cela lui plaise ou pas. Mais chez les journalistes un Madiambal Diagne s'est permis la pareille. Et les journalistes à qui il a manqué de respect ont ajouté eux-mêmes à leur propre humiliation en mettant en place un machin de journalistes de la francophonie et en le mettant à la tête.
C'est normal qu'après cela, quand le CRED devient CORED, et que lui aussi l'épingle lors de sa hargne contre le juge Teliko, il s'en tamponne aussi. Madiambal avait poussé la bassesse jusqu'à rappeler que Téliko est d'origine guinéenne. Toujours sa hargne à nuire, contre vents et marées. Il n'en eut encore cure. Il récidiva, en écrivant encore qu'en Casamance seuls les peuls, mankagnes, et mandingues s'opposent à Sonko. Là, le CORED lui sort encore une condamnation. Il réplique qu'il n'a d'excuses à présenter à personne, parce que ceux qui dirigent le CORED ont un contentieux contre lui, et lui font un mauvais procès. Donc, pas de regrets, pas d'excuses, rejet de la décision du tribunal des paires. Un Madiambal au dessus de tout et de tous. Même dans un métier où il est entré par effraction, il les toise de haut.
Si ce même Madiambal, cette fois dans l'immobilier, est épinglé par la CENTIF, et que tous les journalistes qu'il a tant humiliés font corps derrière lui pour le soutenir, comment s'empêcher de penser qu'il avait raison de dire qu'il n'a pas de leçon à recevoir d'eux ? Ce sont eux qui prennent des leçons de lui. Et ce ne sont pas des leçons de journalisme. Même si le journalisme reste le masque.
Le CRED n'avait aucune valeur juridique, auto-crée par des gens certes de bonne foi mais sans aucune légitimité
Le Cored dispose de deux procédures et toute personne poursuivi ou condamnée par le tribunal des pairs peut contester la décision.
La seule armédu Cored c'est de te retirer ta carte de presse et pour cela jamais une procédure dans ce sens n'a été admise contre Madiambal
Disculper entièrement Babacar Fall et Maïmouna Ndour Faye dans ce dossier ne me paraît pas très responsable; surtout que le premier savait très bien que sa collègue avait des soucis pour avoir interrogé Madiambal mais a quand même décidé d'interviewer le fugitif.
Daouda aurait dû, à mon avis, relever la provocation de son confrère pour la regretter, à moins qu'il cherche sciemment à lui manifester sa solidarité sans se préoccuper du reste.
On analyse avec la raison ,sans qu’on se laisse emporter par les émotions.
Le droit de base sur des faits par sur des d’états d’âme
@Kheuch
CRED ou CORED, que leurs décisions soient symboliques ou prises à simple titre d'indication, ce sont des journalistes qui ont décidé de réguler leur profession. Et ils ne le font pas en appelant des pharmaciens s'y prononcer, et ils ne décident rien envers les mécaniciens. Mais alors qu'est qu'on voit ? Un Madiambal intrus dans leur profession et qui dit merde à toute décision contre lui. "Vous n'avez pas respecté la profession", il leur répond "vous ne me la ferez pas respecter. Et ils lui réservent pourtant les plus belles fleurs de la profession. Ce qu'il dit compte, il est souvent leur représentant ailleurs, il dirige leurs instances. Dans tous les métiers, et partout dans le monde, on peut y trouver des intrus qui en vivent sans être des gens du métier. Mais on me trouvera difficilement un exemple d'intrus dans un métier qui n'a que mépris et irrespect envers les gens du métier. Madiambal, c'est le cas. Et ceux qu'ils méprisent le porte au pinacle. Est ce du masochisme ? Les journalistes refusent de regarder la vérité en face, mais il est évident, vraiment évident, que Madiambal Diagne les tient par autre chose que le journalisme. Ceci est facile à comprendre même par un petit enfant.
Participer à la Discussion