Bataille numérique : Diomaye Faye “perd” des milliers de militants de Pastef en 24 h
Entre le président Bassirou Diomaye Faye et une bonne partie des militants de Pastef, ce n’est plus le grand amour. En effet, la bataille politique, amplifiée par une crise profonde née de la nomination de Mimi Touré comme coordonnatrice de la coalition « Diomaye Président », s’est aujourd’hui transformée en bataille numérique.
Les militants et sympathisants d’Ousmane Sonko ont décrété un désabonnement massif des plateformes digitales du chef de l’État.
En moins de 24 heures, des milliers de followers se sont, par exemple, retirés du compte Facebook de Bassirou
Diomaye Faye.
Sur les réseaux sociaux, le challenge est apparemment bien suivi. Les participants capturent leur acte de désabonnement et le partagent avec comme message "Sonko 2029".
Jusqu'à 13h 40, ce samedi, les désabonnements se poursuivaient.
Commentaires (111)
Affichage des 50 commentaires les plus récents.
Koo daloo dassi fof maa adou hayé tèpéré diomoume
Waate djiita koo goolèma
Chacun récoltera ce qu’il a semé
La majorité silencieuse l'appuie.
Seulement, Diomaye est aussi nul que Waadji, ou presque.
20 mois au pouvoir, zéro réalisation. ... Vous tympannisez les gens avec LE PROJET. On vous remet tous les pouvoirs possibles, vous continuez à nous casser les oreilles avec vos "histoires de personnes " stériles.
Vous vous rendez compte ou sakh pas ?
Nullards !
C'était la maladresse de l'an 2025.
Je pense qu'il s'est tiré une balle dans le pays.
Et mimi, ne devrait elle pas avoir la décence de quitter Bassirou ?
Qu'on l'aime ou pas Ousmane Sonko est un béni de DIEU. C'est pour cela que les sénégalais le portent dans leurs cœurs.
L'ivresse du pouvoir a emporté Macky Sall et Bassirou semble déjà oublier la leçon de l'histoire.
Point besoin d'être analyste politique pour s'en apercevoir.
Il avait l'air d'un garçon intelligent mais au finish on se rend compte qu'il est tout le contraire.
Sonko le gentleman lui a tout donné
Il a trahi et le projet et Sonko
Il paye
Votre problème c'est que ce sont vos gueules qui vous fatiguent, mais nullards, ratés
C est la racaille qui s est désabonnée
Bon débarras et sans regrets
L abonnement des sénégalais qui tiennent à l orthodoxie de la république obéira à la loi des rendements croissants
Sonko est l alpha et l oméga de la politique sénégalaise
Kou meune na wooté
- 2012 Macky Sall arrive au pouvoir. Contrairement à tous les discours de campagne, il se trouve être celui par qui la France va expérimenter au Sénégal un pouvoir par et pour le mensonge pur, pour retrouver, étendre et conserver ses intérêts au Sénégal. Et les intérêts de la France ne sont plus certainement protégés que par le maintien d'un Macky Sall au pouvoir. La solution retenue a été de mettre hors d'état d'être candidat aux élections présidentielles tout opposant que l'on trouverait menaçant le pouvoir de Macky. La première cible a été Karim Wade. Tout un montage mensonger pour arriver à la fameuse « autorité de la chose jugée » chère à Macky Sall. Malgré toutes les précautions prises : corruption des médias, sélections des magistrats de service, la majorité du peuple comprend le modus operandi. C'est ce qui continue de se passer dans tous les pays sous contrôle français, Tchad, Cameroun, Côte d'Ivoire, Bénin, Togo. Un opposant doit être pro intérêts français ou il sera éliminé par des accusations de terrorisme, de complot contre l'État, de détournement, de viol, de djihadisme, d'islamisme, voir de complot avec la Russie ou la Chine.
La 2e cible a été Khalifa Sall. Pour avoir vécu le cas Karim, le peuple avait déjà vu venir le cas Khalifa Sall, dès que les services de l'État et les médias ont commencé à être instrumentalisés contre lui. Le peuple avait encore bien lu le modus operandi de Macky Sall. L'objectif était de mettre Khalifa Sall hors d'état d'être candidat.
Et lorsque, après Khalifa Sall, est apparu un Ousmane Sonko, et que Macky Sall l'a encore pris pour cible pour le mettre hors d'état d'être candidat, c'est tous ceux qui ont compris que se sont levés pour s'interposer, en disant : "non, ça suffit", à Macky Sall. C'est donc une vague de sénégalais qui a dit à Macky Sall que ce sera ici le dernier exemple de tes méthodes. Il s'est trouvé que c'était Sonko et son Pastef. Tant mieux pour eux. Tant mieux tant qu'ils comprendront la vague qui les porte, qu'ils comprendront que cela n'a absolument rien à voir avec leurs personnes, rien à voir avec leurs quelconques qualités. La vague ne déviera pas. Elle doit atteindre la fin absolue de tout ce qui symbolise le système Macky Sall, le système de la France en Afrique. Cela n’est pas propre au Sénégal. C'est désormais toute l'Afrique. La France et ses pions africains ne réussiront qu'à retarder par-ci, par-là, mais jamais arrêter. Ce n'est pas pour rien que la France parle de sentiment anti français.
La faiblesse de ce système français en Afrique, justement son besoin de sûreté. La France veut s'assurer de la loyauté de ses pions. Elle ne peut s'en assurer qu'en les locataires par au moins un point de chantage. C'est ce qui fait que la France ne voudra jamais d'un africain propre, un patriote, parce qu'elle ne le tiendra nulle part pour le faire chanter. Pour se l'assurer, la France sera obligée de le salir et garder le secret. Cette salissure pourra servir au cas où. C'est ce principe là pourtant que Farba Ngom exposait publiquement, sûrement en toute ignorance, à cause de son attitude boute au feu et sa protection assurée. A ceux qui osaient quitter l'APR, il disait toujours : « Tu as été avec nous, tu as quitté, tu es libre de t'opposer, mais tu n'as pas le droit de le faire sur le thème de la propreté ou de la justesse. Tu as été avec nous, tu es aussi sale que nous, tu ne peux donc pas prétendre que tu es propre, que tu es juste. oses nier, je vais tout étaler devant le public". C'est parce qu'une fois, que tu es avec eux, on commence par te salir. Et une fois que tu es sale, tu es obligé de rester sage. Sali, tu n'es plus libre. C'est le principe de la France en Afrique pour faire porter ses intérêts à des africains. C'est aussi ce que Farba Ngom un exposé comme principe de l'APR.
Maintenant, ce sont toutes ces choses là qu'une grande partie des africains a compris. Ce réveil est irréversible. Il y a deux idioties qu'un politique africain peut avoir : c'est de penser avoir une intelligence pour dévier ou arrêter ce réveil, ou de penser que c'est à cause de sa propre personne qu'il ya ce réveil.
Des likes des vues des abonnés pendant que ce monde développe comme pas possible
Il sera l'artisan de sa propre perte.
Comme il ne sait pas distinguer la bonne graine de l'ivraie, tant pis pour lui..
Sonko et pastef ont fait moult tentatives de le ramener à la raison et à la maison il ne veut toujours pas. Il préfère le camp des égarés de la politique.
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