Afrobasket basket masculin 2025: Le Sénégal éliminé en demi-finale par le Mali
Le Sénégal a été battu ce samedi en demi-finale de l'Afro basketball masculin par le Mali. Les Lions perdu sur le score de 88-80 l'issue d'un match très serré.
Le Sénégal a dominé le premier quart-temps (19-22), mais un deuxième catastrophe avec 13 points contre 22 pour le Mali. Ce qui permet aux Maliens d'aller à pause avec l'avantage du score (43-36). Ils gardent la main au retour des vestiaires et marque 24 points contre 23 pour les Lions (67-58 à la fin du troisième quart-temps).
Les hommes de Desagana Diop réagissent dans le quatrième quart-temps mais les Maliens ne lâchent pas prise et remporte la partie partie par 8 points d'écart (88-80).
Commentaires (56)
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Mais bravo
Je la voyais venir cette défaite cette équipe du mali à montrer un visage séduisant face à la CI.
J’avais intervenu lors du ¼ de finale contre le Nigéria et un internaute n’était pas d’accord avec mon post. Pour lui, il fallait tout simplement savourer la victoire contre le Nigéria et éviter de sortir les sujets qui fâchent. Peut-être que je ne devrais pas évoquer l’armée d’accompagnateurs envoyés à cet Afrobasket mais pour moi, un succès se construit et il faut tenir en compte et en amont tous les paramètres qui doivent nous y conduire.
Lors de la victoire contre le Nigéria, tous les internautes, les journalistes et commentateurs ne parlaient que de Badji, Branco et Boissy comme si le basket était un sport individuel. On oublie que le basket, c’est 4 partenaires qui fixent 5 adversaires pour le 5ème partenaire puissent shooter ou aller au panier. Lors du match contre le Nigéria, on a plus vu des exploits individuels sur certains tirs extérieurs de Branco et Boissy mais personne n’avait vu que le match a commencé à être en notre faveur quand nos intérieurs ont pris le dessus sur ceux du Nigéria qui étaient pourtant costauds. On a presque pris tous les rebonds offensifs, ce qui leur a fait douter et on avait une sorte de ligne Maginot qui empêchait toute pénétration des joueurs de champs Nigérians dans notre raquette.
Depuis ce ¼ de finale, tout le monde voyait que les exploits de Branco, Badji et Boissy contre le Mali.
J’avais vu nos lions attaquer maladroitement à plus de 3 reprises la nouvelle défense mise en place par le Nigéria et c’est pour ça que j’ai alerté. Les joueurs de champ devaient le voir tout de suite et surtout le coach.
Malheureusement, le Sénégal ne dispose que deux joueurs de champ (Branco et Boissy), ils sont arrières et ailiers à la fois mais cela ne doit surprendre personne. Nous avons un coach qui a été pivot toute sa vie et je regrette un peu de n’avoir pas eu le temps de faire un post hier parce que je voulais parler du fait que si le Mali arrive à isoler Branco et Boissy, nous sommes sûrs de rentrer bredouilles de ce match. Nous avions pris des initiatives sur les deux meilleurs joueurs du Nigéria qui étaient le meneur et l’arrière qui joue en NBA et la Mali nous a fait la même chose aujourd’hui.
Dessagana joue au mieux avec 2 joueurs de champs et 3 intérieurs et au pire avec un meneur et 4 intérieurs. On ne peut pas lui en vouloir parce que c’est ce qu’il connait et même à Dallas, c’était pareil puisque Jason Kid traçait tout le terrain avec la confiance de son coach et c’est Nowitski qui avait le droit de shooter et les 3 intérieurs allaient tous au rebond.
Ceux qu’on appelle ailiers chez les lions ne le sont pas parce qu’ils ne sont pas outillés pour être polyvalents. Un ailier qui n’est pas capable de jouer comme un meneur n’est pas un ailier et vous pouvez demander à Adidas 2 du Djaraf. Il montait la balle comme Serigne DER et il allait dunker comme Biro ou Joseph LOPEZ.
On voit nettement que l’équipe des lions manque de joueurs de champ. On l’a trop américanisée avec des grandes tailles qui n’ont aucune technique individuelle et de vision tactique et ils sont un peu à l’image du coach Dessagana. Je ne dis pas qu’il est nul mais il lui manque les secrets qu’avaient les Pa SOW, BUSNEL, LUNE DIOP et qu’ils transmettaient aux POUYE FAYE, MATHIEU, Pape Moussa TOURE, Yamar SAMB, Grand Lamine DIOP ASFA, Mass du Dial DIOP, ZOUMÉ, Moussa MBENGUE et j’en passe tellement je peux encore citer une centaine de talentueux Ex lions.
Au fait, il manque du ROFFE au coach Dessagana comme le THIOF et ce n’est qu’au Sénégal qu’il peut l’avoir. Il faut commencer à désaméricaniser notre basket puisqu’on n’est pas en NBA et nous n’avons pas les mêmes enjeux. On a déjà ce BAL mais il est grand temps de s’occuper des nationaux avec des terrains de basket en bon état et des coachs disponibles afin de reprendre les fondamentaux sans lesquels, on ne continuera qu’à former des robots.
On voit bien que le Mali avec un peu plus de discipline et de lecture de jeu a réussi à nous battre. Ils sont physiques, engagés et avec un bon TAU (foufou), on voit bien la différence.
Je ne sais pas comment la Fédération est organisée mais quand on passe son temps à être recalé en demi-finale depuis plus de 10 ans chez les filles comme chez les garçons, il est temps de se poser les vraies questions et surtout mettre en place les États Généraux du Basket puisque personne ne détient la science infuse.
Il faut voir là où ça bloque et relever les disfonctionnement rapidement.
Je pense qu’on Sénégal, on n’a pas la même compréhension du Basket. J’ai vu en vitesse un interview du président de la Fédé après la défaite des lionnes en Côte d(Ivoire où il disait ceci :
« Nous avons notre meneuse américaine naturalisée sénégalaise (formée aux USA) qui figure dans le 5 majeur et cela prouve que le basket sénégalais se porte bien »
Quelle appréciation ???
Je me suis dis que si on en avait deux dans ce 5 majeur, il allait demander une audience directe à Diomaye et à Sonko pour s’en vanter.
C’est pareil pour Dessagana qui nous explique que Babacar SANÉ est encore jeune et qu’il aura sa chance à l’avenir. On a vu aujourd’hui qu’il nous manquait au moins un ailier, voire deux pour faire bouger les grands maliens. On a jamais réussi à faire 4 passes avant de shooter, on ne sait pas jouer au Passing Game.
Nos intérieurs n’ont pas la technique de démarquage à l’extérieur, ni les appuis qui suivent et qui permettent de garder l’avantage sur son adversaire direct. De plus, à l’extérieur, il n’ont pas les techniques de passes, ni les partenaires intérieurs dans la raquette puisque le Mali a tout verrouillé. Ce qui veut dire qu’ils peuvent avoir le ballon à l’extérieur mas sans créer de danger et ils finissent par remettre la balle à Branco ou à Boissy qui sont obligés de jouer au loto.
Je pense que Dessagana a été drafté alors qu’il était lycéen, il n’a pas fait l’université. Ma fille était dans un autre lycée à côté de Dallas.
Est-ce que Dallas a attendu pour lui dire qu’il est encore jeune ?
Il faudrait que le Sénégalais ose dire la vérité, il ne faut pas travestir notre communication, ce n’est bien.
Le Sénégalais a beaucoup de valeurs et il faudrait que l’on se repose dessus pour avancer ensemble.
KOU NECK NIANAL SA MOROM LOU BAKH
Ex: Afro-Basket en AfSud Sept.2024, ou les + 17 au Niger...
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Il fallait l’orienter sur sa main gauche avec une grande ouverture, il ne pourra pas aller loin vers le panier et s’il s’arrête, ce sera sur de mauvais appuis simultanées ou alternatifs.
Kanouté est fort quand il fait un arrêt alternatif gauche-droite et qu’il mette sa main de shoot dans l’axe.
Ce sont de petites choses que le coach et les assistants doivent voir. Toutes les forces et faiblesses des adversaires doivent être connues afin de mettre des stratégies individuelles et collectives.
Je n’ai pas vu un seul assistant souffler dans les oreilles du coachs Dessagana. Les assistants ne sont pas en mission pour distribuer les bouteilles de la Casamançaise, SÉO ou Kirène.
Le mali n’est pas un pays à nous battre si nous sommes un peu disciplinés. On a joué aujourd’hui comme on joue au loto.
On lance les boules et on dit Inchallah.
Il faudrait plus d’objectivité et de sérieux.
Nous avions des éducateurs que vous connaissiez depuis le mini basket . L’’UASSU est morte depuis . Nous ne formons plus de meneurs alors que nous en avions une tonne pendant des décennies avec un renouvellement extraordinaire
Tra cheih fall Constantinople POUYE faye SAMMY Matcel SAGNA Zoumé Der Ndieumbeth DAFFE Bomane BOYE DIAGNE et tant d’autres . Des gens à qui on n’a jamais rendu l’hommage qu’il leur a fallu .
Des états généraux du basket 🏀 s’imposent mais dans un pays où l’intérêt général fait défaut le fossé va continuer à se creuser . Nous sommes rentrés dans le rang avec plus de 20 ans de retard . Nous n’avons plus d’arrière banc ces vieux sages qui rectifient du bas des tribunes par des petits bouts de papier au coach pour suppléer. Ni ces meneurs projections de l’entraîneur sur le terrain et qui réfléchissaient pourlèche groupe.
Vous me semble disposer d'une reelle expertise et vivre le basket. Mais je ne suis pas d'accord avec vous. Je ne connais rien pas grand chose a ce sport. Je ne parviens meme pas a distinguer un marcher d'un deplacement normal. Vous me paraissez neanmoins tres nostalgique d'un passé glorieux. Vous evoquez Serigne Der, Pouye Faye et autres tres grands talents d''il y a peut-être 40 ans et qui meritent respect et eloges. Mais cela ne vous a pas echappé que ce sport a certainement beaucoup évolué. Comme toutes les autres disciplines, il est devenu beaucoup plus physique et on etudie bien plus miniitieusement les adversaires avec en plus tous les outils statistiques modernes desormais a disposition. Sauf le respect dû donc à ces talents d'hier, je ne crois pas que leur facon de faire auraient pu apporter quoi que ce soit à l'equipe actuelle. Vous etes un peu comme les gens du foot qui parfois aussi raisonnent un peu comme vous. Les plus anciens nous disant par exemple que Cheikh Seck est le meilleur gardien senegalais de tous les temps, ce qui est absolument faux. Quand on regarde sur YouTube le match Engype vs Senegal, de la CAN de 1986, par exemple (j'y suis tombé par hasard), on se rend bien compte qu'il n'a même pas eu le niveau d'un gardien U20 du Senegal actuel. J'invite ceux qui en doute d'aller visionner. Cheikh Seck n'a jamais croisé des Ronaldo, Messi, Yamal, Drogba, Lukaku, Mané, Salah et autres. Il prendrait 18 buts par match devant de tels monstres techniques, tactiques et physiques, qui en plus dissequent son jeu par video avant chaque rencontre. Les arrets que Edouard Mendy faisaient à Rennes et lors de sa premiere saison à Chelsea avec des tirs à bout portant, si le Cheikh Seck de 1986 en faisait 3, il finirait à l'hôpital. Mais revenons au sujet. Vous dites qu'il faut : "désaméricaniser notre basket". Si on suit votre raisonnement, la Team USA ne battrait donc pas le Mali, parce qu'elle ne joue pas à l'Africaine. Sur un match, cela peut etre miraculeusement possible. Mais je doute que sur 10 matchs une équipe africaine quelle qu'elle soit parvienne à battre les USA plus d'une fois.
La defaite d'aujourd'hui m'a rendu amère. Je me suis dit que le Mali avec toutes ses difficultés politiques (militaires et economiques) exacerbées a un point tel que rien ne puisse se faire dans ce pays avec la securité et la serenité requises, ce Mali, qui n'a pas nos moyens, n'aurait jamais dû nous battre. Je n'ai pu suivre le match que via le score affiché en Live par le site de la Fiba, mais je suis surtout peiné et triste pour nos joueurs qui se sont regroupés si longtemps pour jouer dans des gradins désespéremment vides, indigne d'une CAN et du pays de basket qu'est l'Angola, et faire donc fasse à l'ennui apres tant de sacrifices pour finalement rien. Je suis surtout triste pour eux. Je n'en connais aucun. Mais je suis sûr qu'ils ont fait ce qu'ils ont pu et sont plus tristes que n'importe qui d'autres.
Je partage également ta vision et nous aimons tous le Sénégal. Nous devons tous lutter contre les égos et ne penser qu’à l’intérêt général. Je vais en profiter pour répondre également à Pap.
Merci PAP,
Je ne suis pas du tout nostalgique du passé que j’ai vécu en tant que joueur mais si tu me le permets, je vais tout de même garder l’anonymat parce que je ne suis aucunement intéressé par un quelconque faveur. Je peux te dire qu’à notre époque, on était plus préparés physiquement mais qu’avec du naturel. Non seulement, on s’entraînait tous les jours et on pouvait se permettre de rajouter des séances supplémentaires la nuit à la plage sans compter les séances de musculation dans les dunes où on passait le temps à courir dans le sable. On avait zéro graisse et ce n’est pas comme actuellement avec de la gonflette et des protéines.
Quand je fais référence à nos ainés, c’est parce qu’ils nous ont accompagnés de la meilleure façon. Nous avions appris beaucoup de choses auprès de nos ainés et souvent autour du thé.
Il y a un slogan de la lutte qui dit que : « Ragual dou diégui rail… »
C’était pareil chez nous, on était de vrais guerriers avec une bonne connaissance du basket. A l’époque, la meilleure équipe d’Afrique était le Côte d’Ivoire du Dr Alphonse BILLÉ, actuel président de la FIBA Afrique et des Dié DRISSA. Il faudrait juste demander à nos ainés comment ils faisaient pour les battre en finale à chaque fois.
On se comparait à Feu Mbaye GUEYE, Tigre de Fass, il n’avait jamais peur. Cet état d’esprit, on peut l’avoir qu’en se rapprochant des anciens et c’est pourquoi, on allait tous les voir sans distinction de club.
SAFLOXO l’a dit en ces termes :
Nous n’avons plus d’arrière banc ces vieux sages qui rectifient du bas des tribunes par des petits bouts de papier au coach pour suppléer. Ni ces meneurs projections de l’entraîneur sur le terrain et qui réfléchissaient pourlèche groupe.
Il a raison et pourquoi les anciens ne viennent plus ?
On leur a montré qu’ils n’avaient pas leur place dans le basket même si le message n’a pas été dit clairement.
Du coup, ils font ce qu’on appelle en langue nationale : « Kouma neubou ma raire la »
Pap ! tu écris ceci :
je suis surtout peiné et triste pour nos joueurs qui se sont regroupés si longtemps pour jouer dans des gradins désespéremment vides, indigne d'une CAN et du pays de basket qu'est l'Angola, et faire donc fasse à l'ennui apres tant de sacrifices pour finalement rien.
Tu as raison mais tu poses un problème très important qu’on remarque même en géopolitique et il y a une sorte de bipolarisation où on a les puissants et les faibles. Si on ne se rend pas puissants, personne ne le fera à notre place. Ce qui nous interroge sur notre solidarité africaine et surtout notre originalité axée sur nos valeurs. Aujourd’hui, tout le monde pense qu’au basket, il n’y a que la NBA et notre fédération est en première ligne. Si Sonko n’avait pas annulé le stage des filles aux USA, combien il allait nous coûter. Le coach des filles n’était pas capable contre le Nigéria de comprendre que tout leur jeu était axé sur leur pivot, la forte. Elle recevait la balle de l’ailière pour la lui redonner. Ensuite, elle fait un 2ème appel et dès qu’elle recevait le ballon, elle faisait une feinte intérieure pour embarquer sa défenseuse et ensuite, elle s’ouvrait la ligne de fond qui lui donnait un panier et souvent avec la faute en plus. Pourquoi le coach n’a pas dit à la lionne sur l’ailière faisant la passe d’aller aider en Trapping avec rotation des autres joueuses.
Vous pouvez revoir le match, le coach n’a rien vu. J’aimerais vraiment voir combien de dizaines de milliers de dollars il a reçu.
En gros, je vois dans le basket de nos jours des incohérences qu’on imaginait même pas en cadets. Dans cette catégorie, on avait assimilé presque toutes les formes de défense et surtout la tactique d’attaque axée sur la défense adverse. On avait une grande faculté de lecture de jeu qui dépasse largement la connaissance de certains séniors d’aujourd’hui.
Merci pour vos interventions !
Nekhoul ba Nekhoul, mais tu sembles etre nostalgique. Le basket en Afrique a évolué et tout le monde s’y est mis. Par exemple, l’Angola des temps oû tu parles n’est plus l’Angola d’aujourd'hui en matière de basket bien sûr. Les anciens dont vous parlez sont bien là avec l’équipe. Matar Ndiaye et Assane Ndiaye champions d’Afrique 97 sont là. Maleye Ndoye est la. Tapha gaye etc... C’est juste que ça n’a pas marché. Les maliens travaillent forts ainsi que les angolais et les sénégalais etc...
Je ne suis aucunement nostalgique et je sais bien que le basket a évolué mais toujours avec les fondamentaux qui n’ont jamais changé.
Je relativise beaucoup sur cette évolution du basket parce qu’elle s’accompagne avec un dérèglement. On ne peut plus travailler les appuis parce tout le monde marche. Il faut justement regarder les américains au championnat du monde ou aux JO pour se rendre compte de leurs difficultés techniques. Aujourd’hui, presque toutes les équipes de la NBA disposent d’un assistant européen et qui dit basket européen, dit forcément basket africain.
J’accepterai d’être nostalgique uniquement si les jeunes pouvaient se rapprocher de ceux qui ont gagné à plusieurs reprises l’Afrobasket. C’est ce qu’on appelle bénéficier d’un retour d’expérience de nos anciens.
Je connais bien tous ces internationaux que tu as cités, je les ai devancé dans la maison nationale et nous avions foulé beaucoup de parquets ensemble même si on n’était pas dans le même club et je ne peux pas en parler plus. Nous avons besoin de leur concours mais également de celui du reste des anciens.
Nous avions fait du sans faute dans notre carrière de basket en se rapprochant des anciens qui nous ont tout donné. C’est dans ce sens que je parle. Et dans ces anciens, il y avait du Jordan, Maggic, Ishia THOMAS, K.A. JABBAR, Larry BIRD, James WORTHY, etc.
Il fallait regarder Ibou NIANG de l’ASFA jouer avec ses changements de rythmes, c’était du James WORTHY.
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