Affaire Ngoné Saliou Diop : le Groupe Sans Limites présente ses excuses et condamne les propos tenus
Suite à une controverse impliquant l'une de ses consœurs, le Groupe de presse Sans Limites a publié hier mercredi un communiqué dans lequel il présente ses excuses à la communauté peulh et à l'ensemble de ses compatriotes.
La direction du Groupe de presse Sans Limites a tenu à clarifier sa position suite aux déclarations controversées de Mme Ngoné Saliou Diop, l'une de ses présentatrices.
Des propos jugés "regrettables et offensants"
Le groupe de presse qualifie les déclarations de sa consœur de "regrettables et offensantes" et précise qu'elles ne reflètent en aucun cas la ligne éditoriale de la rédaction. "Ces déclarations ne reflètent en aucun cas la ligne éditoriale de notre rédaction", souligne le communiqué.
La direction reconnaît néanmoins que Mme Ngoné Saliou Diop, connue pour son ouverture d'esprit et son engagement en faveur du débat d'idées, a elle-même admis le caractère inapproprié de ses propos. Selon le groupe, ces déclarations "ne traduisent ni ses convictions profondes ni les valeurs qu'elle défend dans sa pratique professionnelle".
Dans son communiqué, le Groupe Sans Limites réaffirme avec force son attachement à l'unité nationale et au respect de toutes les communautés du Sénégal. "Nous condamnons avec fermeté toute forme de stigmatisation", insiste la direction.
Le groupe de presse réitère également son engagement à promouvoir une presse responsable, inclusive et constructive, des valeurs qu'il considère comme essentielles à la cohésion sociale du pays.
Des mesures internes annoncées
Au nom de toute la rédaction, le Groupe Sans Limites renouvelle ses excuses à toutes les personnes affectées par cette affaire. La direction confirme par ailleurs que "des mesures internes appropriées sont mises en œuvre afin d'éviter que de tels incidents ne se reproduisent".
Commentaires (5)
Il faudra l suspendre sans paie pour 1 mois
Il n' y avait vraiment pas d'excuses à présenter. La dame ne s'est pas adressée à une ethnie. Ci khetou badoolayi Leu bokko veut juste dire qu' il fait partie des badoals. khett ne signifie pas ethnie dans sa phrase. C'est juste que certains Peuls ont les nerfs q Sonko sit mis fin à l'état tribal qu' ils étaient entrain de mettre sur pied. Du coup ils cherchent à atteindre quiconque se rapproche de près ou de loin à Sonko. C'est la gifle donnée par Sonko qui ne passe toujours pas.
Mais, qu’attend le Procureur pour d’auto saisir de cette très grave affaire ?
Macky mom ala athiou rek. Niaff!
Wakh ba marr sa tate yi weur di dieguelou, niak diom!
Demal wouyoudji sa plainte
Elle doit être licenciée et en plus c est 1 mauvaise journaliste.Elle nuit l imagine de la tv .Elle n a pas de place ici.Parler aims montre un certain racisme de sa part
C est tjrs que nos journalistes parlent sur des sujets. Au moment de parler ils sont conscients et .serenes
Et après revenir pour s excuse c est très facile et on sait avec les réseaux sociaux, une parole ou information les conséquences que ça peut entraîner .la remarque et qu elle a une certaine haine vers cette communauté ,elle n à pas pu garder ça. Donc une journalistes parsiale irresponsable et qui cherche le buzz. Par la personne qui dépose la plainte doit aller jusqu'à bout. Un journalistes qui ne sait pas faire la dire entre une personne et une groupe elle vient de quelle école. Pourquoi on parle de son parcours. Certainement des diplômes falsifié ou non diplômes. Montre ns tes diplômes on va vérifier et ton parcours de journaliste.
Les Peulhs sont des complexés épidermiques, gawa guiss senne bop, gawa meere.
Ils font leurs sauvegeries partout et veulent pas que personne n’en parle. Gnoune sérère yii amatinagnou ndam senne kaw
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