Forum Invest 2025 : Diomaye Faye prône souveraineté et fin de la corruption
Lors de l’ouverture du Forum Invest in Sénégal 2025, sous les yeux du Premier ministre Ousmane Sonko et de plusieurs chefs d’État africains, le président Bassirou Diomaye Faye a prononcé un discours d’une grande maîtrise, incarnant un leadership apaisé et visionnaire. Il a posé les fondations d’un projet national ancré dans la souveraineté, la transparence et l’unité.
Devant un parterre d’investisseurs, de partenaires et de dirigeants africains, Diomaye Faye, dans un ton calme, a déroulé une vision claire : celle d’un Sénégal qui veut désormais « transformer les promesses en engagements », en construisant son avenir sur des bases endogènes et partagées.
Le chef de l’État a mis l’accent sur la continuité de la stabilité institutionnelle du pays, tout en marquant une rupture avec certaines pratiques du passé. « La gouvernance transparente et la lutte contre la corruption sont au cœur de notre agenda national », a-t-il martelé, signant ainsi une rupture nette avec la complaisance administrative et la rente politique.
Commentaires (17)
Un vendeur de ndombo qui passe ses heures à parler sur les plateaux de télé se paie une telle voiture et vous venez nous parlez de fin de la corruption ?
Bref, 2029 n'est pas loin
Jub
Jubal
Jubanti
En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.
Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.
Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.
Le cochon Hitler Sonko et les chiens nazis de pastef sont dans la médiocrité et le tâtonnement total.
L homme Sonko, pour ne dire le bouc du troupeau de chèvres pastef va etre la plus grande honte de l histoire politique du sénégal et ses brebis égarés vont etre les véritables témoins de l échec de leur héros de pacotille prophetisé
La souveraineté est un slogan vide d'autant plus que vous courrez derrière le FMI pour recevoir un financement.
Pour quelle raison on donne 11 milliards de fonds politiques à Diomaye, le plus nul des présidents que le Sénégal a connu ?
donc la cooruption a de beaux jours devant lui
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