Le Chef de l’État, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 12 février 2025, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres, au Palais de la République. A l’entame de sa communication, le Président de la République a adressé ses condoléances les plus attristées au Khalif général et à la Communauté mouride, suite au rappel à Dieu, le samedi 08 février 2025, de Serigne Bassirou Mbacké Anta NIANG, Khalif de Darou Mouhty. Il a demandé au Gouvernement de prendre toutes les dispositions avec les organisateurs en vue du bon déroulement du Magal de Darou Mouhty qui sera célébré le vendredi 14 février 2025. Le Chef de l’État a largement évoqué le rapport d’audit de la Cour des Comptes relatif à la situation des finances publiques de la période de 2019 au 31 mars 2024 que le Premier Président de l’institution supérieure de contrôle des finances publiques lui a transmis. Ce rapport, basé sur des principes de transparence, offre une vue claire et exhaustive de la situation des finances publiques sur cette période et met en lumière plusieurs manquements graves qui nécessitent des actions immédiates. Tout d'abord, des rattachements irréguliers de recettes ont été identifiés. Certaines recettes ont été comptabilisées sur des exercices antérieurs, ce qui a faussé la réalité du déficit budgétaire pour certaines années. Cette situation a contribué à sous-estimer les déficits budgétaires, créant ainsi un déséquilibre dans la présentation des comptes publics. Le déficit budgétaire, déjà préoccupant, a atteint des niveaux critiques au cours des dernières années. Il est passé de 9,85% en 2019 à 9,17% en 2020, 11,47% en 2021, 12,65% en 2022, et 12,30% en 2023. Cette progression rapide du déficit met en évidence la nécessité de réformes structurelles urgentes pour contenir et réduire ce déséquilibre financier historique. Ensuite, il a relevé que des dépenses importantes, notamment celles financées sur ressources extérieures, n'ont pas été correctement retracées dans les documents comptables et budgétaires. Ce manque de traçabilité crée des écarts importants dans le suivi budgétaire et nuit à la transparence des opérations financières de l'État. Le rapport souligne également des utilisations irrégulières des comptes spéciaux du Trésor. Des transferts budgétaires vers des services de l'État ont été réalisés sans justification claire, ce qui pose de sérieux problèmes de traçabilité des fonds publics. De plus, il a été constaté que certaines dépenses importantes ont été effectuées en dehors des procédures budgétaires établies, aggravant ainsi le manque de transparence. Par ailleurs, le rapport note des discordances dans la gestion de l’endettement public. Il a été révélé que des emprunts ont été contractés en excès, entraînant un sur-financement partiellement utilisé pour des dépenses sans couverture budgétaire. Cela expose les finances publiques à des risques considérables et alourdit le fardeau de la dette nationale. Ainsi, le taux d'endettement public a connu une croissance tout aussi alarmante sur la même période. En 2019, l'endettement atteignait déjà 65,59% du PIB, mais il est monté à 75,50% en 2020, 83,58% en 2021, 86,62% en 2022 pour se hisser à 99,67% en 2023. Le Président de la République a indiqué que cette trajectoire d'endettement doit être rapidement inversée pour préserver la soutenabilité des finances publiques et éviter de compromettre les équilibres économiques de long terme. Enfin, un autre point préoccupant est l’absence de rapport exhaustif sur les dépenses fiscales pour les années 2022 et 2023. Ce manquement notable contrevient aux directives de l'UEMOA qui exigent une évaluation régulière des exonérations fiscales accordées par l'État, rendant ainsi difficile une gestion efficace des finances publiques dans ce domaine. Le Chef de l’État a assuré que face à ces constats alarmants, des mesures conservatoires et correctives doivent être prises sans délai. Tout d'abord, il est impératif de mettre fin aux rattachements irréguliers de recettes et d'assurer que toutes les recettes et dépenses soient comptabilisées de manière transparente et régulière. Le Premier Ministre et le Ministre des Finances et du Budget devront prendre les dispositions nécessaires pour garantir que les pratiques budgétaires respectent strictement les règles en vigueur. Ensuite, un audit approfondi sera réalisé pour réconcilier les écarts observés dans la gestion des dépenses financées par des ressources extérieures. Le Président de la République a également souligné la nécessité de réformer la gestion des comptes spéciaux du Trésor afin de garantir que les transferts budgétaires soient effectués de manière conforme et transparente. En outre, il est essentiel de revoir la politique d’endettement de l’État afin d'éviter toute dette contractée en excès et de mieux gérer le surfinancement. Un suivi rigoureux des emprunts devra être mis en place pour s'assurer que les fonds sont utilisés conformément aux besoins budgétaires réels. Enfin, il est impératif de produire et publier les rapports sur les dépenses fiscales dans les délais légaux. Ces rapports doivent permettre une gestion transparente et rigoureuse des exonérations fiscales conformément aux directives de l'UEMOA. Ces réformes visent à renforcer la confiance dans la gestion des finances publiques et à garantir une meilleure transparence au profit de la nation. Il a demandé au Premier Ministre, Chef du Gouvernement, de veiller à la mise en œuvre de ces réformes indispensables pour asseoir une gestion exemplaire des finances publiques et assurer la stabilité économique du pays. Face à la recrudescence des accidents de la route, le Chef de l’État a demandé au Premier Ministre de veiller, avec les Ministres en charge des Transports terrestres, Forces armées, Intérieur et Sécurité publique, à l’application rigoureuse des décisions prises notamment la Circulaire primatoriale de recadrage et d’orientation en vue de prévenir les accidents de la route et d’assurer une meilleure circulation routière pour les usagers, les transporteurs et les Forces de Défense et de Sécurité. Le Président de la République a rappelé l’urgence de renforcer la formation des chauffeurs, d’assurer une réglementation rigoureuse de la circulation des cyclomoteurs, de faire respecter les horaires de circulation des véhicules de transport et de réorganiser le fonctionnement des gares routières, d’accélérer le renouvellement des parcs automobiles de transport et de gros porteurs mais aussi d’évaluer les actions et l’ancrage institutionnel de l’Agence nationale de Sécurité routière (ANASER). Il a demandé au Premier Ministre de placer la sécurité routière au premier rang du Plan d’action du Gouvernement. Dans le même élan, le Chef de l’État a instruit le Premier Ministre et le Ministre chargé des Infrastructures et des Transports terrestres de finaliser, avant fin mars 2025, l’évaluation rapide des projets routiers en vue du lancement prochain du nouveau « Programme national de développement des réseaux routier et autoroutier ». Il a appelé à l’équité dans le déploiement des programmes et projets routiers et autoroutiers et au développement maitrisé de la Société publique « Autoroutes du Sénégal », entité déléguée par l’Etat pour capitaliser et valoriser le patrimoine autoroutier national.
Par ailleurs, le Président de la République a signalé l’urgence, pour l’État, de redéfinir le modèle économique de construction, d’exploitation et d’entretien des routes et autoroutes du Sénégal en actualisant la réglementation portant classement des infrastructures routières nationales et secondaires incluant les ouvrages de franchissement et en réexaminant les modalités de financement des infrastructures routières et de leur entretien. A cet égard, il a demandé au Ministre des Infrastructures et des transports terrestres de proposer une nouvelle politique d’entretien routier, intégrant la réhabilitation d’ouvrages de franchissement qui se sont particulièrement dégradés durant l’hivernage. A ce sujet, il a demandé au Premier Ministre de veiller au renforcement des moyens logistiques d’intervention du génie militaire qui vient toujours en appoint pour assurer avec les structures spécialisées de l’État la continuité de la circulation routière et le désenclavement de certaines zones du pays. Le Chef de l’État a aussi souligné la nécessité d’une revue systématique des interventions du PUDC, du PROMOVILLES, du PUMA, du FERA, de l’AGETIP, de l’ADM et des différentes collectivités territoriales en termes de réalisation de pistes rurales et de la voirie urbaine. Il a indiqué au Gouvernement que le moment est venu de consolider l’ensemble des programmes routiers, autoroutiers, de pistes de désenclavement et de voirie urbaine en vue d’une cohérence d’ensemble et d’une mise en œuvre pragmatique de la politique de l’État en matière de réalisation d’infrastructures routières et autoroutières, selon un chronogramme, des axes, linéaires et financements maitrisés.
Le secteur de l’Élevage et des productions animales demeure un des piliers de l’économie nationale. Le Président de la République salue l’engagement remarquable des éleveurs et autres acteurs du secteur qui doivent être davantage soutenus pour mieux valoriser la contribution de l’Élevage et des productions animales dans la nouvelle politique de souveraineté alimentaire. Il a rappelé au Gouvernement l’urgence de veiller à l’application effective et intégrale des dispositions du Code pastoral en vue d’asseoir une meilleure évolution du secteur de l’élevage dans l’écosystème du secteur primaire et dans la richesse nationale. Il a souligné l’impératif d’accentuer, sur le terrain, les dispositifs préventifs et coercitifs de lutte contre le vol de bétail. Il s’agit aussi et surtout d’assurer un meilleur aménagement des parcours de bétail, de développer la production industrielle d’aliments de bétail, les cultures fourragères et les parcs de vaccination des ruminants ainsi que l’édification des forages pastoraux afin de limiter les conflits récurrents avec les éleveurs notés dans plusieurs localités du pays et au niveau des zones transfrontalières. Le Chef de l’État a souligné également, la nécessité d’intensifier les programmes d’amélioration des races bovines et de promotion à terme de l’autosuffisance du Sénégal en moutons, dans la perspective de la Tabaski, au regard des efforts significatifs déployés par l’État depuis l’année dernière.
Il a, en outre, demandé au Gouvernement de renforcer le sous-secteur de l’aviculture par des dispositifs de financement adaptés aux entrepreneurs locaux. Le Gouvernement veillera à la modernisation des abattoirs et de leurs dispositifs d’exploitation, dans le cadre d’un programme spécial qui sera mis en œuvre à l’échelle nationale.
Pour clore ce chapitre, le Président de la République a invité le Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Élevage et le Secrétaire d’État chargé des coopératives et des organisations paysannes à prendre toutes les dispositions avec l’ensemble des éleveurs, acteurs et opérateurs de l’élevage et des productions animales, en vue du bon déroulement de la Journée nationale de l’Élevage qu’il présidera, le samedi 22 février 2024, à Kaolack.
Évoquant son agenda diplomatique, le Chef de l’État a informé le Conseil de sa participation, à partir du jeudi 13 février 2025, au Sommet de l’Union africaine à Addis Abeba.
Dans sa communication, le Premier Ministre a informé le Conseil de l’impératif de la rationalisation des agences d’exécution. En effet, la philosophie ayant guidé leur mise en place à travers la loi d’orientation en date du 04 mai 2009, a été dévoyée au fil des ans pour aboutir à une pléthore d’agences. Le Premier Ministre a informé qu’il a réactivé la Commission d’Évaluation des Agences d’Exécution (CEAE), dans le but de lui soumettre, dans les meilleurs délais, des propositions de rationalisation des agences d’exécution, conformément à l’engagement de réduction du train de vie de l’État. Le Premier Ministre a ensuite évoqué l’agenda des réunions et conseils interministériels, au nombre de douze (12) qu’il compte présider au cours du premier semestre 2025. Les sujets évoqués porteront notamment sur Air Sénégal, AIBD, l’éducation nationale, le pèlerinage à La Mecque édition 2025, l’économie sociale et solidaire, l’agriculture, le tourisme, le logement social, les programmes civiques et citoyens, les Jeux olympiques de la Jeunesse Dakar 2026 ainsi que la lutte contre le trafic de bois et la déforestation. Cet agenda sera ajusté en fonctions des besoins d’organisation d’autres réunions. Par ailleurs, le Premier Ministre a rappelé aux membres du Gouvernement l’importance à accorder à l’exécution satisfaisante du calendrier législatif qui sera marqué par une activité intense en 2025 dans le cadre de la mise en œuvre de l’Agenda de transformation systémique Sénégal 2050. Il a exhorté les Ministres à veiller scrupuleusement sur la qualité des avant-projets de textes préparés par leurs services juridiques et sur le strict respect du circuit de validation hiérarchique interne. Enfin, le Premier Ministre a demandé aux Ministres en charge des Infrastructures portuaires, de l’Énergie, de l’Intérieur et de l’Environnement de prendre toutes les dispositions utiles pour la finalisation diligente des travaux du Port minéralier et vraquier de Bargny. AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES : • Le Ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines a fait une communication sur le Projet Compact électricité du Sénégal avec le MCC suite à la décision prise par le Gouvernement américain le 03 février 2025 et sur l’Etat de la phase 1 du Programme d’urgence d’électrification rurale (PUELEC) ; • Le Ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération a fait le point sur l’impact de la nouvelle politique étrangère américaine sur l’économie sénégalaise et son financement ; • Le Ministre de l’Industrie et du Commerce a fait la situation des prix du marché du riz, de l’huile et des denrées de première nécessité ; • Le Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture a fait une communication sur le suivi des infrastructures de proximité prévues dans le cadre de l’organisation des JOJ Dakar 2026 ; • Le Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Élevage a fait le point sur la campagne de commercialisation agricole 2025. AU TITRE DES TEXTES LÉGISLATIFS ET RÉGLEMENTAIRES, Le Conseil a examiné et adopté : • Le projet de décret portant création et fixant les règles d’organisation et de fonctionnement du Bureau d’Intelligence et de Prospective économique (BIPE). Le Ministre de la Formation Professionnelle, Porte-Parole du Gouvernement Amadou Moustapha Njekk SARRE
Auteur: Seneweb-News
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Bureau d’Intelligence et de Prospective économique (BIPE) voila dissoudre des institutions pour en créer de nouvelles qui auront les mêmes fonctions.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
ON EST EN FAILLITE
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Il a demandé au Gouvernement de prendre toutes les dispositions avec les organisateurs en vue du bon déroulement du Magal de Darou Mouhty qui sera célébré le vendredi 14 février 2025.
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Un rapport sans signature c'est du papier Q
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Bilaye, loolou amou place en ouverture de Conseil des ministres, sou doon grand Magal sakh à la limite.. Franchement, c'est n'importe quoi.
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Da am loula si méti wala ?
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supppression d'emploi en vue mais ces gens pensent ils qu lls ont ete elus pour envoyer les senegalais au chomage?
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Ce qui est fort intéressant dans cette courbe des dépenses 2020/2024; il faut retenir que Sonko et sa bande nous ont couter plus cher que le Covid et la gurre en Ukraine réuni
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Lolou amoul place si communiqué conseil des ministres. Est ça ka vérité
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En tout cas nous avions décrié les agences pléthoriques ,inutiles et budgétivores sous Macky qui ne servaient qu’à une clientèle politique payée pour dormir..Ces mêmes agences sont toujours là.Nous avons un président de l’assemblée nationale ,qui a les mêmes privilèges que ses prédécesseurs voir plus,les mêmes voitures 4x4 de luxes,les mêmes belles maisons de fonction,des DG et ministres qui reçoivent plusieurs mois comme salaire…Au même moment on nous dit que la situation est difficile qu’il faut serrer la ceinture.L’exemple doit venir d’en haut. Par ailleurs ,Cheikh Diba directeur de la programmation budgétaire sous Macky,doit être démis de ses fonctions si c’est avéré que le budget a été falsifié..Certains veulent lui trouver un excuse soi disant que c’est son patron directeur du budget qui est l’unique responsable.Si on suit cette logique il faudra abandonner la reddition des comptes puisque les DAGE etaient sous l’autorité de leurs ministres qui étaient sous l’autorité de Macky,donc Macky est l’unique responsable ? Il faut être cohérent et logique.
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La série d’immatriculation « EX » est un véritable scandale. Avant la création de cette série, les véhicules exonérés étaient principalement destinés à l’exploitation et aux chantiers, et en cas de revente, les droits suspendus devenaient exigibles. Mais sous la série « EX », les véhicules peuvent être revendus sans aucune régularisation, l’exonération le suit à vie (voir dans Google les règles régissant d’exonération de véhicules au Sénégal). Cette série profite aux entreprises franches d’exportation telles que les sociétés minières, cimenteries, carrières de basalte et bien sûr, certains privilégiés. On y retrouve des voitures de grand luxe alors qu’en principe il devrait s’agir de véhicules d’exploitation, d’utilitaires pour chantiers. En ce qui concerne le transport, on peut voir de gros camions neufs achetés par une carrière en « EX » pour être rétrocédés à des transporteurs privés sur la base du copinage, au détriment d’autres transporteurs qui n’ont pas suffisamment de moyens ou de relations. Donc l’Etat favorise indirectement une rupture d’égalité, une injustice avérée, une concurrence déloyale, une discrimination ignoble, avec des exploitants de carrières de béton qui se comportent en commerçants de voitures exonérées. Or l’exonération est accordée sur l’argent des petits transporteurs éliminés par cette carrière (les impôts appartiennent à tout le monde, donc ceux qui sont exonérés sont supportés de force par les autres qu’ils concurrencent et qui sont des contribuables). Ces carrières préfèrent charger en priorité les camions de leurs complices transporteurs, mettant tous les autres sur la touche. Ainsi, même si vous avez une commande de béton pour un particulier, vous ne serez pas servi par ces carrières qui, pour se donner bonne conscience, rationnent quelques camions privés qui peuvent passer plusieurs jours pour obtenir un chargement. Sans compter l’intrusion de non professionnels, prête-noms et blanchisseurs de tous acabits qui achètent des véhicules neufs pour juste se couvrir dans une activité de façade. S’y ajoute la concurrence des entreprises de travaux routiers qui achètent tous leurs propres camions en exonération, à commencer par les chinois. En plus de leur cœur de métier, ils veulent tout accaparer dans la filière (camions bennes, citernes, pelles mécaniques, ils ne louent plus rien du tout). Seule Eiffage avait contribué au développement des entreprises locales, durant tous leurs travaux ils louent du matériel au sénégalais. Les autres entreprises, y compris les chinois, non seulement ils achètent des camions HDHTVA pour leurs propres chantiers, mais ils les mettent en location s’ils n’ont pas de travaux. Un véritable assassinat dont est victime le transport privé. C’est pour ces raisons que les vrais transporteurs, souvent sans moyens ni débouchés n’auront jamais les moyens de renouveler leur parc C’est du banditisme tout simplement, les plus riches deviennent plus riches et inversement. Or si un camion d’entreprise nourrit un seul chauffeur, le camion privé nourrit et forme plusieurs personnes (chauffeurs, apprentis, garagistes privés, etc.). Il est temps de revoir le secteur des poids lourds : avec des débouchés et une concurrence saine, sans aucune exonération, les vrais transporteurs pourront rapidement renouveler leurs camions et participer à la formation et l’emploi des jeunes.
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A mercredi. A mercredi Toujours à mercredi Peuple du Sénégal, fier et intelligent, à mercredi Bon c est tout. Achetez une nouveau pass pour mercredi
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Pour garantir qu’aucun futur dirigeant sénégalais, en particulier dans une nation classée parmi les 125 pays les moins avancés, ne puisse détourner les biens publics et compromettre le développement du pays, des dispositions légales rigoureuses peuvent être mises en place. Voici quelques idées inspirantes basées sur des principes de gouvernance et de transparence. Les nouveaux dirigeants du pays ont tous les éléments en main pour neutraliser les fossoyeurs de la République: Les 6 priorités majeures Loi pour rendre inéligible pendant 25 ans (voire 40 ans) tous ceux qui ont participé et/ou sont complices des détournements de deniers publics Loi pour les juger et exiger le remboursement jusqu'au dernier centime de tous ceux qui ont participé et/ou complices à ce massacre financier Loi pour la confiscation automatique de tous leurs biens en commençant par feu Moustapha Ba et des autres ministres des finances depuis 2019 Loi pour demander l'extradition de tous les fossoyeurs aujourd'hui exilés sous peine de rompre les relations diplomatiques avec les pays d'accueil Loi pour exiger des peines lourdes 25 et plus pour tous ceux qui ont participé et ou complices de ces faits abhorrent.
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Accueil Afrique Sénégal Sénégal Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière de réécriture de l’histoire 12 février 2025 Depuis son accession au pouvoir, Ousmane Sonko n’a de cesse de chercher à discréditer l’héritage économique laissé par Macky Sall. Son dernier coup de force : tenter de manipuler la présentation des comptes publics pour faire croire qu’il a hérité d’une situation financière catastrophique et marquée par des fraudes. Pourtant, une lecture attentive du rapport de la Cour des Comptes publié en février 2025 montre une tout autre réalité. Si des anomalies comptables mineures ont bien été relevées, elles sont principalement des questions de classification budgétaire, mais en aucun cas des fraudes massives comme le clame Sonko. Pire encore, la Cour des Comptes, que Sonko instrumentalise aujourd’hui, avait elle-même validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans relever de falsifications. En cherchant à réécrire l’histoire, Sonko dévoile ce qu’il est réellement : un manipulateur populiste prêt à tout pour justifier ses propres échecs. Une tentative de dissimulation derrière un écran de fumée Lors de sa conférence de presse, Sonko a martelé l’idée que le Sénégal était en ruine, que les finances publiques avaient été saccagées par le régime précédent et que la dette publique était bien plus élevée que ce qui avait été annoncé. Pourtant, curieusement, le rapport de la Cour des Comptes ne mentionne absolument rien sur la dette extérieure, un sujet pourtant fondamental et scruté de près par le FMI. Pourquoi cette omission ? Tout simplement parce que Sonko sait pertinemment que sur ce terrain, il ne peut pas manipuler les chiffres sans risquer une réaction immédiate des institutions financières internationales. Il se rabat donc sur des anomalies comptables internes, les grossissant jusqu’à les faire passer pour des scandales. Les principales accusations qu’il avance reposent sur trois points : Des « rattachements irréguliers » de recettes, qui ont pu légèrement fausser certains déficits budgétaires, mais qui restent des ajustements comptables courants dans la gestion d’un État. Un sous-enregistrement des dettes et un surfinancement mal géré, point effectivement relevé par la Cour, mais qui n’a jamais été qualifié de frauduleux. Une utilisation opaque des comptes spéciaux du Trésor, notamment le Programme de Défense des Intérêts Économiques et Sécuritaires (PDIES), dont les dépenses manquent de transparence, mais qui relève avant tout d’une gestion perfectible plutôt que d’un détournement massif. L’instrumentalisation de la Cour des Comptes : un dangereux précédent Le plus inquiétant dans cette affaire n’est pas tant le contenu du rapport que la manière dont Sonko tente d’en faire un instrument de propagande. La Cour des Comptes, en tant qu’institution indépendante, avait validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans émettre de réserves majeures. Aujourd’hui, sous la pression du gouvernement Sonko, elle se retrouve contrainte de produire un rapport qui contredit ses propres conclusions antérieures. Plus troublant encore, ce document n’est pas signé, ce qui est une anomalie grave pour une institution de cette importance. Il est plus que probable que le président de la Cour des Comptes a subi des pressions considérables pour valider ce texte, alors que plusieurs membres de l’institution se sont désolidarisés. En manipulant cette institution, Sonko envoie un message clair : il est prêt à tordre la réalité pour asseoir son pouvoir et justifier l’échec de ses premières décisions catastrophiques. Cette instrumentalisation est un précédent dangereux qui fragilise la crédibilité de la Cour des Comptes, et plus largement, l’ensemble des institutions de contrôle au Sénégal. Une Cour des Comptes qui se laisse dicter ses conclusions par le pouvoir en place n’est plus qu’un outil de propagande. Un écran de fumée pour masquer l’incapacité du gouvernement Sonko à gouverner Si Sonko s’acharne autant à noircir le tableau, ce n’est pas seulement par obsession pour Macky Sall. C’est surtout parce que son propre gouvernement s’enfonce chaque jour un peu plus dans la crise. Les premières décisions prises depuis son arrivée au pouvoir ont eu des effets dévastateurs. La confiance des investisseurs s’effrite à vue d’œil, refroidis par une instabilité politique et des décisions économiques incohérentes. Sur le plan budgétaire, les finances du pays sont en grande difficulté, et ce non pas à cause d’un supposé passif laissé par l’ancien régime, mais bien par l’absence totale de gestion efficace depuis l’arrivée de Sonko au pouvoir. Pire encore, le Sénégal subit une dégradation de sa note financière, conséquence directe des discours alarmistes et de l’incertitude économique générée par Sonko lui-même. En cherchant à diaboliser l’ancien régime, il affaiblit la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale et met en péril l’accès aux financements nécessaires au développement du pays. Plutôt que de passer son temps à remuer le passé et à multiplier les polémiques, Ousmane Sonko ferait mieux de prendre enfin ses responsabilités et d’affronter la réalité du pouvoir. Gérer un pays ne se résume pas à organiser des conférences de presse tapageuses ni à ressasser de vieilles rancœurs. Cela exige de la vision, du pragmatisme et surtout du courage politique – trois qualités qui, pour l’instant, semblent cruellement faire défaut au Premier ministre. Sonko, ou l’art du populisme destructeur La stratégie de Sonko repose sur une mécanique bien huilée : créer un ennemi, inventer un scandale et détourner l’attention de son propre échec. Depuis qu’il est au pouvoir, il applique méthodiquement cette recette, cherchant à faire porter à Macky Sall la responsabilité de tous les problèmes actuels du pays. Ce populisme est d’autant plus pernicieux qu’il se nourrit de la colère et de la frustration d’une partie de la population, exploitant leurs inquiétudes pour asseoir son pouvoir. Mais la réalité est têtue : les accusations de Sonko ne reposent que sur du vent. Le plus ironique dans cette affaire, c’est que plus Sonko tente de discréditer l’ancien régime, plus il expose ses propres failles. Son acharnement contre Macky Sall est un aveu d’impuissance : il montre que, six mois après son arrivée au pouvoir, il n’a toujours rien à offrir aux Sénégalais si ce n’est des polémiques stériles. En fin de compte, le véritable scandale n’est pas celui qu’il prétend dénoncer. Le vrai scandale, c’est lui.
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Accueil Afrique Sénégal Sénégal Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière de réécriture de l’histoire 12 février 2025 Depuis son accession au pouvoir, Ousmane Sonko n’a de cesse de chercher à discréditer l’héritage économique laissé par Macky Sall. Son dernier coup de force : tenter de manipuler la présentation des comptes publics pour faire croire qu’il a hérité d’une situation financière catastrophique et marquée par des fraudes. Pourtant, une lecture attentive du rapport de la Cour des Comptes publié en février 2025 montre une tout autre réalité. Si des anomalies comptables mineures ont bien été relevées, elles sont principalement des questions de classification budgétaire, mais en aucun cas des fraudes massives comme le clame Sonko. Pire encore, la Cour des Comptes, que Sonko instrumentalise aujourd’hui, avait elle-même validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans relever de falsifications. En cherchant à réécrire l’histoire, Sonko dévoile ce qu’il est réellement : un manipulateur populiste prêt à tout pour justifier ses propres échecs. Une tentative de dissimulation derrière un écran de fumée Lors de sa conférence de presse, Sonko a martelé l’idée que le Sénégal était en ruine, que les finances publiques avaient été saccagées par le régime précédent et que la dette publique était bien plus élevée que ce qui avait été annoncé. Pourtant, curieusement, le rapport de la Cour des Comptes ne mentionne absolument rien sur la dette extérieure, un sujet pourtant fondamental et scruté de près par le FMI. Pourquoi cette omission ? Tout simplement parce que Sonko sait pertinemment que sur ce terrain, il ne peut pas manipuler les chiffres sans risquer une réaction immédiate des institutions financières internationales. Il se rabat donc sur des anomalies comptables internes, les grossissant jusqu’à les faire passer pour des scandales. Les principales accusations qu’il avance reposent sur trois points : Des « rattachements irréguliers » de recettes, qui ont pu légèrement fausser certains déficits budgétaires, mais qui restent des ajustements comptables courants dans la gestion d’un État. Un sous-enregistrement des dettes et un surfinancement mal géré, point effectivement relevé par la Cour, mais qui n’a jamais été qualifié de frauduleux. Une utilisation opaque des comptes spéciaux du Trésor, notamment le Programme de Défense des Intérêts Économiques et Sécuritaires (PDIES), dont les dépenses manquent de transparence, mais qui relève avant tout d’une gestion perfectible plutôt que d’un détournement massif. L’instrumentalisation de la Cour des Comptes : un dangereux précédent Le plus inquiétant dans cette affaire n’est pas tant le contenu du rapport que la manière dont Sonko tente d’en faire un instrument de propagande. La Cour des Comptes, en tant qu’institution indépendante, avait validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans émettre de réserves majeures. Aujourd’hui, sous la pression du gouvernement Sonko, elle se retrouve contrainte de produire un rapport qui contredit ses propres conclusions antérieures. Plus troublant encore, ce document n’est pas signé, ce qui est une anomalie grave pour une institution de cette importance. Il est plus que probable que le président de la Cour des Comptes a subi des pressions considérables pour valider ce texte, alors que plusieurs membres de l’institution se sont désolidarisés. En manipulant cette institution, Sonko envoie un message clair : il est prêt à tordre la réalité pour asseoir son pouvoir et justifier l’échec de ses premières décisions catastrophiques. Cette instrumentalisation est un précédent dangereux qui fragilise la crédibilité de la Cour des Comptes, et plus largement, l’ensemble des institutions de contrôle au Sénégal. Une Cour des Comptes qui se laisse dicter ses conclusions par le pouvoir en place n’est plus qu’un outil de propagande. Un écran de fumée pour masquer l’incapacité du gouvernement Sonko à gouverner Si Sonko s’acharne autant à noircir le tableau, ce n’est pas seulement par obsession pour Macky Sall. C’est surtout parce que son propre gouvernement s’enfonce chaque jour un peu plus dans la crise. Les premières décisions prises depuis son arrivée au pouvoir ont eu des effets dévastateurs. La confiance des investisseurs s’effrite à vue d’œil, refroidis par une instabilité politique et des décisions économiques incohérentes. Sur le plan budgétaire, les finances du pays sont en grande difficulté, et ce non pas à cause d’un supposé passif laissé par l’ancien régime, mais bien par l’absence totale de gestion efficace depuis l’arrivée de Sonko au pouvoir. Pire encore, le Sénégal subit une dégradation de sa note financière, conséquence directe des discours alarmistes et de l’incertitude économique générée par Sonko lui-même. En cherchant à diaboliser l’ancien régime, il affaiblit la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale et met en péril l’accès aux financements nécessaires au développement du pays. Plutôt que de passer son temps à remuer le passé et à multiplier les polémiques, Ousmane Sonko ferait mieux de prendre enfin ses responsabilités et d’affronter la réalité du pouvoir. Gérer un pays ne se résume pas à organiser des conférences de presse tapageuses ni à ressasser de vieilles rancœurs. Cela exige de la vision, du pragmatisme et surtout du courage politique – trois qualités qui, pour l’instant, semblent cruellement faire défaut au Premier ministre. Sonko, ou l’art du populisme destructeur La stratégie de Sonko repose sur une mécanique bien huilée : créer un ennemi, inventer un scandale et détourner l’attention de son propre échec. Depuis qu’il est au pouvoir, il applique méthodiquement cette recette, cherchant à faire porter à Macky Sall la responsabilité de tous les problèmes actuels du pays. Ce populisme est d’autant plus pernicieux qu’il se nourrit de la colère et de la frustration d’une partie de la population, exploitant leurs inquiétudes pour asseoir son pouvoir. Mais la réalité est têtue : les accusations de Sonko ne reposent que sur du vent. Le plus ironique dans cette affaire, c’est que plus Sonko tente de discréditer l’ancien régime, plus il expose ses propres failles. Son acharnement contre Macky Sall est un aveu d’impuissance : il montre que, six mois après son arrivée au pouvoir, il n’a toujours rien à offrir aux Sénégalais si ce n’est des polémiques stériles. En fin de compte, le véritable scandale n’est pas celui qu’il prétend dénoncer. Le vrai scandale, c’est lui.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Accueil Afrique Sénégal Sénégal Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière de réécriture de l’histoire 12 février 2025 Depuis son accession au pouvoir, Ousmane Sonko n’a de cesse de chercher à discréditer l’héritage économique laissé par Macky Sall. Son dernier coup de force : tenter de manipuler la présentation des comptes publics pour faire croire qu’il a hérité d’une situation financière catastrophique et marquée par des fraudes. Pourtant, une lecture attentive du rapport de la Cour des Comptes publié en février 2025 montre une tout autre réalité. Si des anomalies comptables mineures ont bien été relevées, elles sont principalement des questions de classification budgétaire, mais en aucun cas des fraudes massives comme le clame Sonko. Pire encore, la Cour des Comptes, que Sonko instrumentalise aujourd’hui, avait elle-même validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans relever de falsifications. En cherchant à réécrire l’histoire, Sonko dévoile ce qu’il est réellement : un manipulateur populiste prêt à tout pour justifier ses propres échecs. Une tentative de dissimulation derrière un écran de fumée Lors de sa conférence de presse, Sonko a martelé l’idée que le Sénégal était en ruine, que les finances publiques avaient été saccagées par le régime précédent et que la dette publique était bien plus élevée que ce qui avait été annoncé. Pourtant, curieusement, le rapport de la Cour des Comptes ne mentionne absolument rien sur la dette extérieure, un sujet pourtant fondamental et scruté de près par le FMI. Pourquoi cette omission ? Tout simplement parce que Sonko sait pertinemment que sur ce terrain, il ne peut pas manipuler les chiffres sans risquer une réaction immédiate des institutions financières internationales. Il se rabat donc sur des anomalies comptables internes, les grossissant jusqu’à les faire passer pour des scandales. Les principales accusations qu’il avance reposent sur trois points : Des « rattachements irréguliers » de recettes, qui ont pu légèrement fausser certains déficits budgétaires, mais qui restent des ajustements comptables courants dans la gestion d’un État. Un sous-enregistrement des dettes et un surfinancement mal géré, point effectivement relevé par la Cour, mais qui n’a jamais été qualifié de frauduleux. Une utilisation opaque des comptes spéciaux du Trésor, notamment le Programme de Défense des Intérêts Économiques et Sécuritaires (PDIES), dont les dépenses manquent de transparence, mais qui relève avant tout d’une gestion perfectible plutôt que d’un détournement massif. L’instrumentalisation de la Cour des Comptes : un dangereux précédent Le plus inquiétant dans cette affaire n’est pas tant le contenu du rapport que la manière dont Sonko tente d’en faire un instrument de propagande. La Cour des Comptes, en tant qu’institution indépendante, avait validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans émettre de réserves majeures. Aujourd’hui, sous la pression du gouvernement Sonko, elle se retrouve contrainte de produire un rapport qui contredit ses propres conclusions antérieures. Plus troublant encore, ce document n’est pas signé, ce qui est une anomalie grave pour une institution de cette importance. Il est plus que probable que le président de la Cour des Comptes a subi des pressions considérables pour valider ce texte, alors que plusieurs membres de l’institution se sont désolidarisés. En manipulant cette institution, Sonko envoie un message clair : il est prêt à tordre la réalité pour asseoir son pouvoir et justifier l’échec de ses premières décisions catastrophiques. Cette instrumentalisation est un précédent dangereux qui fragilise la crédibilité de la Cour des Comptes, et plus largement, l’ensemble des institutions de contrôle au Sénégal. Une Cour des Comptes qui se laisse dicter ses conclusions par le pouvoir en place n’est plus qu’un outil de propagande. Un écran de fumée pour masquer l’incapacité du gouvernement Sonko à gouverner Si Sonko s’acharne autant à noircir le tableau, ce n’est pas seulement par obsession pour Macky Sall. C’est surtout parce que son propre gouvernement s’enfonce chaque jour un peu plus dans la crise. Les premières décisions prises depuis son arrivée au pouvoir ont eu des effets dévastateurs. La confiance des investisseurs s’effrite à vue d’œil, refroidis par une instabilité politique et des décisions économiques incohérentes. Sur le plan budgétaire, les finances du pays sont en grande difficulté, et ce non pas à cause d’un supposé passif laissé par l’ancien régime, mais bien par l’absence totale de gestion efficace depuis l’arrivée de Sonko au pouvoir. Pire encore, le Sénégal subit une dégradation de sa note financière, conséquence directe des discours alarmistes et de l’incertitude économique générée par Sonko lui-même. En cherchant à diaboliser l’ancien régime, il affaiblit la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale et met en péril l’accès aux financements nécessaires au développement du pays. Plutôt que de passer son temps à remuer le passé et à multiplier les polémiques, Ousmane Sonko ferait mieux de prendre enfin ses responsabilités et d’affronter la réalité du pouvoir. Gérer un pays ne se résume pas à organiser des conférences de presse tapageuses ni à ressasser de vieilles rancœurs. Cela exige de la vision, du pragmatisme et surtout du courage politique – trois qualités qui, pour l’instant, semblent cruellement faire défaut au Premier ministre. Sonko, ou l’art du populisme destructeur La stratégie de Sonko repose sur une mécanique bien huilée : créer un ennemi, inventer un scandale et détourner l’attention de son propre échec. Depuis qu’il est au pouvoir, il applique méthodiquement cette recette, cherchant à faire porter à Macky Sall la responsabilité de tous les problèmes actuels du pays. Ce populisme est d’autant plus pernicieux qu’il se nourrit de la colère et de la frustration d’une partie de la population, exploitant leurs inquiétudes pour asseoir son pouvoir. Mais la réalité est têtue : les accusations de Sonko ne reposent que sur du vent. Le plus ironique dans cette affaire, c’est que plus Sonko tente de discréditer l’ancien régime, plus il expose ses propres failles. Son acharnement contre Macky Sall est un aveu d’impuissance : il montre que, six mois après son arrivée au pouvoir, il n’a toujours rien à offrir aux Sénégalais si ce n’est des polémiques stériles. En fin de compte, le véritable scandale n’est pas celui qu’il prétend dénoncer. Le vrai scandale, c’est lui.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Dans sa communication, le Premier Ministre a informé le Conseil de l’impératif de la rationalisation des agences d’exécution. En effet, la philosophie ayant guidé leur mise en place à travers la loi d’orientation en date du 04 mai 2009, a été dévoyée au fil des ans pour aboutir à une pléthore d’agences. Le Premier Ministre a informé qu’il a réactivé la Commission d’Évaluation des Agences d’Exécution (CEAE), dans le but de lui soumettre, dans les meilleurs délais, des propositions de rationalisation des agences d’exécution, conformément à l’engagement de réduction du train de vie de l’État.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Mme SECK Prof MATH ET PC , lycée kounoune fait du sabotage Le ministre de l éducation nationale doit prendre ses responsabilités pour sanctionner mme seck prof maths-pc lycée de kounoune qui boycotte les sacrifient les eleves de troisième candidats au BFEM pour ensuite aller faire du khar matt dans le privé Le censeur et le proviseur ne font rien pour corriger
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
BAMBOULA A L’AGENCE NATIONALE DE SECURITE ROUTIERE (ANASER) Monsieur le Ministre, Je fais suite à la lettre que je vous ai envoyée cette semaine pour vous faire part de la situation catastrophique qui prévaut à l’Anaser et dont le principal responsable est Mansour Faye. Cheikh Oumar Gaye a été Directeur des Transports Terrestres de 2016 à 2021. Déjà, son passage à la DTT a été entaché par de nombreux scandales, malversations et de suspicions de corruptions : Détournement des deniers publics avec l’aide de son DAF, Aly Mbaye Thiam. Des marchés fictifs et de la surfacturation à outrance. Des faits présumés de vente de permis de conduire. Des faits présumés de corruptions sur le projet de numérisation et de sécurisation des titres de transport avec Gemalto (permis, cartes grise, licences, agréments et plaques d’immatriculation sécurisés) où Gaye a perçu des pots-de- vin, faits relayés par la presse internationale notamment française. Des faits présumés de corruption, de détournement d’objectif et de détournement de deniers publics sur le projet de renouvellement du parc interurbain sur financement de Exim Bank Inde. Les 542 bus indiens acquis dans ce projet, sont rejetés par les transporteurs sénégalais pour leur non-implication dans le choix des spécifications techniques des véhicules. D’ailleurs, ces bus ont été utilisés en 2019 pour convoyer, sous la coordination de Gaye, des électeurs dans les 4 coins du pays lors de la vaste opération de fraude perpétrée à l'élection présidentielle, assurant ainsi la victoire au premier tour du candidat- président Macky Sall. Par la suite, les bus ont été distribués gracieusement aux différentes administrations et à Dakar Dem Dikk. Cinq (5) ans à peine après la mise en circulation desdits véhicules, la majorité est bonne pour la casse (pannes moteur, châssis déformés, vibrations, insécurité…) ; Le recrutement de personnes proches de son parti (APR) et de son cercle familial (Saint-Louis, Dagana, Matam). Le racket des chefs de services régionaux des transports sous son autorité à qui il demandait mensuellement de fortes sommes d’argent pour les maintenir dans leurs postes. Des soupçons de corruption dans le déploiement des centres de contrôle techniques …. En 2021, malgré ses fautes de gestion à la tête de la Direction des transports terrestres (incompétence, détournements de deniers publics, marchés fictifs, actes et soupçons de corruption entre autres), l’ancien Directeur des Opérations du CETUD a été promu DG de l'ANASER par Mansour Faye, choix sans doute guidé d’une part, par les talents de bandit financier de l’homme et d’autre part, par la faiblesse de sa personnalité d’homme soif de pouvoir et prêt à faire tout ce qu’il lui demande. D’ailleurs en 2022, l'OFNAC et la Cour des Comptes ont mené une enquête sur Monsieur Gaye portant sur son patrimoine foncier et bâti (construction d’une maison gigantesque aux Almadies d’une valeur de de 500 millions de FCFA, des maisons de haut standing à Zac Mbao, à Dagana, des vergers dans le Walo …) et sur des faits de corruptions sur les projets Gemalto pour la numérisation des titres de transports et d’acquisition de 542 bus indiens. En contrepartie de sa nomination, Gaye a été l’homme de main et le bailleur de fonds publics détournés de Mansour Faye pour qui il recrute tout son personnel politique saint-louisien de l’APR composé de jeunes sans aucunes compétences professionnelles en matière de transport ou de sécurité routière. Cheikh Oumar Gaye a une prête-nom en la personne de Madame Aminta Yam âgée de 29 ans, son ancienne secrétaire à la Direction des transports terrestres qu’il a épousé discrètement en 2022 comme deuxième femme. La jeune femme est actuellement Assistante de son collègue DG du FERA Pape Ibrahima Faye. Le DG de l'ANASER loge la jeune femme dans un somptueux appartement grand standing situé à Fann Résidences, non loin de la Direction générale du FERA et de l’Ageroute. Le personnel de l'ANASER, recruté à la carte (politique) et sans appel à candidature, est composé essentiellement de militants de l’APR, de proches de Mansour Faye, de filles et de fils de pontes du pouvoir ou de l’administration. Mansour Faye a préféré renoncer au financement de plusieurs milliards de la banque mondiale (conditionné par le recrutements de tous les postes par appel à candidature) pour recruter la clientèle politique de l'APR et du système. Situation des recrutements à l’Anser : Un fils du général Moussa Fall nommé pour son premier emploi chef de Division. La sœur ou le frère de l'ex Ministre Abdou Karim Fofana est recruté sans aucune compétence. La fille d’un ex Directeur des Transports routiers (M. Ndiaye) a été recruté par le DG. Le fils d’un ancien Directeur des Transports (D. Seck) a été aussi recruté à la Direction de l’Audit. Le fils de l’ancien Directeur adjoint des Transports terrestres et ancien secrétaire général du FDTT (M. Kane Diaw) est recruté à l’Anaser. Un militant de l’APR, protégé du Ministre Abdou Latif Coulibaly, nommé Directeur de la Planification en remplacement d’un proche de Mansour Faye (O. Tall) rentré au Canada après une aventure à l’Anaser. L’agent comptable de l’agence est un militant engagé de l’APR (Conflit d’intérêt). Le secrétaire général de l’Agence, homme de main de Mansour nommé pour avoir une emprise sur le DG Gaye en remplacement de Sophie Diallo (élément de Mansour Faye) actuellement Directrice de 3FPT. Des conseillères et conseillers techniques payés à ne rien faire à coup de millions dont la journaliste Houreye Thiam Preira (RTS), une dentiste du Ministère de la Santé (B. Sène), ... Le chargé du suivi-évaluation (I. Ndao) est un militant engagé de l’APR. Des membres de l’ONG Laser international dont la présidente a été ex-Directrice de la Communication de l’ Agence ( A. Sarr) ont obtenu un CDI à l’Anaser. L’actuel Directeur de la communication de l'ANASER (L. Mané), est un ancien journaliste de walf, ex CT en com et griot de Mansour Faye. Le Directeur de la Coopération habitant de Saint-Louis est un proche collaborateur de Mansour Faye (M. Ba). Le chef de la cellule de passation des marchés (M. Diatta) en détachement de l'ANASER, est l’ancien CPM de Mansour Faye. Des hommes et femmes sans qualifications habitant à Saint-Louis et proches de Mansour Faye (Oul. Diouf, Ndio. Fall, Ib. Senghor, Moh. Tall et d’autres) payées à ne rien faire. Le conseiller juridique du DG (P. A. Sow) habite à Saint-Louis et est un proche collaborateur de Mansour Faye. Le DAF de l’ANASER, Aly Mbaye Thiam (retraité et maintenu à son poste), qui était le DAF et bras financier de Cheikh Omar GAYE à la Direction des Transports Terrestres. Sur la tête de Thiam, plane plusieurs plaintes de fournisseurs mais il est protégé par Mansour Faye. L’informaticienne de l’Anaser (Y. H. Gueye) habite à Saint-Louis et est un proche de Mansour Faye. Le président du Conseil de surveillance (C. Nd. Fall), ponte de l’APR, a fait enter plusieurs de ses lieutenants (dont C. D. Ndiaye et M. sow) a l'ANASER (Conflit d’intérêt). L'ami et griot du Directeur Gaye est chargé de mission à l'ANASER ( P. C. Ndiaye). Le Directeur de l’Audit (O. Ly), un proche du Ministre Mansour Elimane Kane de l’APR. L’adjoint du Directeur de l’Audit (Y. S. Niang), est aussi un proche du Ministre Mansour Elimane Kane. un policier de l'APR du nom de Mansour Faye est détaché à l'ANASER de même qu'un gendarme proche du général Moussa Fall. Le DRH de l’Anaser, inspecteur du travail et homme de confiance de Mansour Faye, habite à Saint-Louis. Le bureau du courrier est géré par ancien démarcheur véreux du service des mines et ami du DG Gaye. L’actuel DG du FERA a des proches recrutés à l’Anaser avec des salaires mirobolants. Des chauffeurs de l’Agence sont des proches du Ministre Abdoulaye Daouda Diallo. Un autre proche de Mansour Faye et habitant de Saint-louis (A. Wane) est dans l’équipe com de l’Agence. Le nervis de Mansour Faye (M. Niang) est aussi recruté par le DG. La plupart des membres du conseil de surveillance sont des proches de Mansour Faye ; Le chef du bureau QSHE (A. Diallo) est un ami intime de Mansour Faye et un ancien de l’ONAS ; Beaucoup de militants de l’APR ont été recruté juste avant la présidentielle de 2024 ; 80 % du budget de l’Agence c’est pour les salaires/fonctionnement. Le Bâtiment qui abrite l’Anaser à la cité keur gorgui derrière l’OFNAC a été loué à coup de millions et appartiendrait à un proche Mansour Faye. les sociétés chargées du nettoyage et du gardiennage des locaux de l’Anaser appartiennent à des proches de Mansour Faye Globalement, l’Anaser compte plus de 100 agents tous filles et fils et des pontes du pouvoir, des militants de l'APR et majoritairement saint-louisiens des protégés de Mansour Faye . Depuis quelques mois le FERA peine à honorer les salaires du personnel politique qui ont largement dépassés la ligne budgétaire prévue à cet effet. Concernant les procédures de passation des marchés, le BAAC (plus de 100 millions de F CFA) a été attribué pratiquement gré à gré à un courtier de Gemalto Sénégal (B Seck) proche du premier ministre feu Boune A. Dione. S’agisant des missions à l'étranger, ce sont généralement des proches de Mansour Faye qui partent en Europe, aux USA, en Afrique du Nord aux frais du contribuable Sénégalais. Dans les procédure d’acquisition de fournitures de bureau, des support de com, d’ordinateur, de matériels et consommables informatiques, de logiciels, la surfacturation est flagrante. La gestion du carburant est gabegique, une bonne partie revenant d’office à Mansour Faye et à ses lieutenants. Un projet de vidéo-verbalisation de l'ANASER pour l’installation de radars de vitesse a été confié à un ami de Mansour Faye (Bamba BA) sans appel d’offres pour racketter les sénégalais. Malgré ces moyens exorbitants mis par l’Etat à la disposition de l’Anaser, les accidents ne cessent d'augmenter car le personnel politique de l’Agence n’a aucune compétence en matière de sécurité routière. D’ailleurs, les accidents les plus sanglants du Sénégal (Sikilo et Sakal avec plus de 100 morts) ont eu lieu après la création l’ Anaser. Les opérations de sensibilisation pour lutter contre les accidents sont juste un moyen de s’enrichir et de consommer des crédits. Le Directeur général de l'Anaser a des comptes bancaires dans presque toutes les banques du Sénégal. Pour un simple fonctionnaire, ses patrimoines fonciers et bâtis dépassent l’entendement. Tout en restant à votre entière disposition, je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre l’expression de mes sincères salutations. Gas El Salvador, Activiste - Reporter et Lanceur d’Alerte Paris Le 18 Avril 2024.
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Ces responsables APR bénéficient toujours de décret 1. Amadou Diarra APR (Maire de Pikine Nord) et Président du Conseil d'Orientation du Fonds de Solidarité Nationale. 2. Pape Gorgui Ndong APR Pikine Ouest est Président du Conseil d'Administration de la Sen Eau. 3. Monsieur Coumba Ndoffene Fall APR Diamaguène Sicap Mbao est Président du Conseil de Surveillance de l'anaser 4. Oumar Amadou Sow APR, Adjoint au Maire de Djiddah Thiaroye Kao est Directeur Général des Grands Trains du Sénégal. 5. Abou Abel Thiam APR Tivaouane Diacksao et *Président du Conseil de Surveillance de l'artp 6. Malick Gaye, Maire et Dg de l'Agetip, un sous-fifre de Farba Ngom est l'un des plus grands pourfendeurs de Pastef, un dinosaure du défunt régime, bien qu'il ait subtilement battu campagne pour Pastef. 7 Amar Lo Gaydel ARD PCA WARF et Maire de la Commune de Sagatta Gueth 8 Cheikh ngourane seck sg cdc et maire de la Commune de Ngourane 9 Mamadou Lamine Keita ex Maire de la commune de bignona DG ONI observatoire National investissements 10 Saliou Samb president conseil départemental de Mbour Dg de la SIRN 11. Badra Ndiaye maire de Thiaré ndialgui, régisseur des bourses 12. Pape Abdou Dia, protégé de cheikh oumar hanne, DG de la direction des constructions scolaires... 13 Mme khoudia mbaye ex maire de Gandon, responsable de la LDMPT et BBY, PCA de la BHS 14 Amadou dawa Diallo comptable de l'ageroute 15 Djiby dieng directeur de l'équipement de la senelec 16 Mamoudou deme PCA BNDE 17 Amadou François Gaye, APR, Saint louis, directeur des sénégalais de l'extérieur 18 Abdoulaye NOBA directeur de la Protection Civile au Sénégal au Ministère de l'Intérieur 19. Omar Sall Poulin de Farba ngom et adjoint au maire. DG ANEC 20. Abdou khadre Ndiaye Ndiaye Maire de Gaya et ( tête de liste de Amadou Ba département Dagana) DG du centre national de la fonction publique locale 21. Djibril thiaw Maire de refane tête de liste Amadou Ba Directeur du centre technique au ministère des transports, 22. Babacar Ndiaye président du conseil départemental de Bambey représentant de l'OMVS pour le compte du Sénégal 23. Moise Sarr PCA du TER 24. Moussa Sam Daff APR Kanel, Dg hopital Dalal Jam 25.Aliou Ousmane Sall DG agence nationale de l état civil, ministère de l'urbanisme des collectivités territoriales et de l'aménagement des territoires, APR, protégé de Farba Ngom. 25. Mahamadou Diaw PCO DGPSN 26. Samba Sall, maire APR de Dabaly , President du Conseil de surveillance de l'Agence nationale de l'etat civil. 27. Hamath NDIAYE DG de l’OFOR militant socialiste élément de Serigne Mbaye THIAM. 28. Abdou Aziz Diop DG Miferso protègé de Omar sarr Dagana 29. Oumar Ba, Maire de Ndiob, élu Président de l’Association des Maires du Sénégal PCA de la SENTER. 30. Cheikh Tidiane Diop Directeur général de la comptabilité publique et du tresor. 31. Malang Séni Faty, maire de la commune de Madina Wandifa, PCA Service Géologique National du Sénégal au ministère de l'énergie du pétrole et des mines 33 Djibril THIAW CFPTP Ministere transports
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Avec Le président Macky Sall les salaires des le 25 du mois je parle des petits travailleurs comme moi mais Depuis l'année du petit mec c'est le 10 du mois ?
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