La Commission de protection des données personnelles (Cdp) a, dans son dernier avis trimestriel de l’année 2019, et conformément à son programme annuel d’activités, traité une affaire de collecte de données personnelles relative à l’appartenance ethnique impliquant le Centre national de transfusion sanguine (Cnts).
La Cdp a reçu un signalement mettant en cause ledit centre pour «faiblesse des mesures de sécurité et collecte de données personnelles relative à l’appartenance ethnique», lit-on dans ce rapport. Qui relève que les commissaires ont, en application des articles 4-6, 4-8, 35-2, 71 et 40 de la loi n°2008-12 du 25 janvier 2008 portant sur la protection des données à caractère personnel, requis des explications au Cnts dirigé par le professeur Saliou Diop.
Lesquelles explications portent, selon eux, «sur la pertinence de la collecte de l’information relative à l’appartenance ethnique dans le formulaire à remplir par un donneur de sang» et «sur les mesures prises pour garantir la sécurité et la confidentialité des dossiers médicaux».
Mais, s’inquiète la Cdp, depuis lors, la direction du Cnts n’a pas voulu broncher. «La Cdp est dans l’attente de la réponse du Cnts», ont écrit les services d’Awa Ndiaye.
Auteur: Salla GUEYE
Publié le: Vendredi 27 Décembre 2019
Commentaires (7)
Eh bien le cnts doit répondre à cette question essentielle. La médecine doit être encadré par la loi !
Yaw khana tu te crois en 1940 .
La loi !
Dans un pays qui ne dispose de code de la santé publique .
Faut que le ministre de la santé nous dise le pourquoi ?
c'est normal de déclarer des données personnelles sur la base de l'ethnie car il y a des ethnies qui pratiquent les mariages consanguins qui sont à l'origine de maladies génétiques. je suis un pur ancien étudiant de la faculté de médecine et de pharmacie au temps du Pr José Marie Afoutou biologiste et du Pr Doudou Thiam hématologue alors directeur du CNTS.
Avec le manque de sang on a pas le luxe de fairre la fine bouche
La pertinence est trop faible de nos jours
Mais c'était bien pertinent
De nos jours c'est juste de la routine
les données sur la race sont pertinents a cause certaines ac
mais pas les données ethniques
les profs titulaire de chaires ne travaillent pas xalis rek
ya beaucoup de choses a changer dans la politique sanguine du Sénégal
on gâche la vie de beaucoup de transfusés Sénégal
C'est cette histoire ethnique dans le sang? Meme si le sang est caste mieux vaut le prebdre que de mourir. Senegal mo tarder rek ay futilité kesselaniouy topato
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Ok pendant qu'on y est il faut aussi demande la race et la caste !!
Les manipulateurs de données personnelles feraient mieux de leur demander un bilan de santé pour accepter les dons de sang
le plus important est de savoir si ce sang n'est pas porteur du VIH ou le sonneur du sida.
mais nous avons la grande mauvaise habitude de mettre la charrue avant les bœufs quitte à transmettre de graves maladies .
Yaw khana tu te crois en 1940 .
Macky sall est en train de jouer avec le feu qui risque de faire basculer le senegal dans une guerre inter ethnique si l'on n'y prend pas garde.
Les senegalais ont toujours vécu pacifiquement car les ethnies ont toujours éviter la stigmatisation et la séparation.
Que diable vient faire l'appartenenza ethnique dans une prise de sang ?
Ce mec est nul et inconscient à la merci de conseillers aventuriers qui cherchent tous les jours un moyen de se venger contre les wolofs.
Depuis son accession au pouvoir, il ne cesse de promouvoir les halpoulars et les sereres contre tous les autres.
Et ceux qui devraient lui dire de s'arrêter sont ennivres par l'argent et les prebendes.
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