Sidiki Kaba coopté par une fondation basée à Londres
L’ancien Premier ministre du Sénégal, Me Sidiki Kaba, a été coopté au sein du Conseil consultatif de la Fondation Brazzaville, annonce l’institution sur son site officiel.
Avocat de formation, plusieurs fois ministre (Justice, Affaires étrangères, Forces armées, Intérieur), M. Kaba est reconnu pour son engagement de longue date en faveur de la démocratie, de la justice et des droits humains. Il a notamment dirigé la Fédération internationale des droits humains (FIDH) et présidé l’Assemblée des États parties à la Cour pénale internationale, avant de recevoir diverses distinctions internationales.
La Fondation Brazzaville, qui a son siège à Londres et a été fondée par Jean-Yves Ollivier, se félicite de cette nomination et salue l’apport attendu de l’expérience de l’ancien chef du gouvernement sénégalais. L’organisation, active dans les domaines de la paix, de la santé publique, de l’environnement et de la bonne gouvernance, voit en cette cooptation un renforcement de son expertise et de son rayonnement.
Commentaires (16)
Félicitations, seul la compétence et le travail paie
Le livre de Macky n’est pas du plagiat. Les titres coïncident seulement: Comme il l’a expliqué lors de son interview, son cheminement repose sur une logique claire et cohérente : partir du local, s’affirmer au niveau régional, avant de s’ouvrir au monde. Le Sénégal a d’abord été placé au cœur de son engagement et de ses actions, comme un socle solide et indispensable. Ensuite, il a élargi sa vision à l’Afrique, dans une volonté de construire une dynamique collective et continentale. Enfin, cette trajectoire trouve naturellement son prolongement à l’échelle globale, avec l’ambition d’inscrire sa démarche dans une perspective universelle. C’est pourquoi il écrit Sénégal au cœur pour le local, Afrique au cœur pour le régional, et prévoit plus tard un livre intitulé Le monde au cœur ou La planète au cœur pour le global. Trois livres, trois étapes, trois échelles de réflexion et d’action, qui illustrent parfaitement l’idée qu’avant de rayonner dans le monde, il faut d’abord puiser ses forces dans ses racines locales et régionales. »
Le livre de Macky n’est pas du plagiat. Les titres coïncident seulement: Comme il l’a expliqué lors de son interview, son cheminement repose sur une logique claire et cohérente : partir du local, s’affirmer au niveau régional, avant de s’ouvrir au monde. Le Sénégal a d’abord été placé au cœur de son engagement et de ses actions, comme un socle solide et indispensable. Ensuite, il a élargi sa vision à l’Afrique, dans une volonté de construire une dynamique collective et continentale. Enfin, cette trajectoire trouve naturellement son prolongement à l’échelle globale, avec l’ambition d’inscrire sa démarche dans une perspective universelle. C’est pourquoi il écrit Sénégal au cœur pour le local, Afrique au cœur pour le régional, et prévoit plus tard un livre intitulé Le monde au cœur ou La planète au cœur pour le global. Trois livres, trois étapes, trois échelles de réflexion et d’action, qui illustrent parfaitement l’idée qu’avant de rayonner dans le monde, il faut d’abord puiser ses forces dans ses racines locales et régionales.
Le livre de Macky n’est pas du plagiat. Les titres coïncident seulement: Comme il l’a expliqué lors de son interview, son cheminement repose sur une logique claire et cohérente : partir du local, s’affirmer au niveau régional, avant de s’ouvrir au monde. Le Sénégal a d’abord été placé au cœur de son engagement et de ses actions, comme un socle solide et indispensable. Ensuite, il a élargi sa vision à l’Afrique, dans une volonté de construire une dynamique collective et continentale. Enfin, cette trajectoire trouve naturellement son prolongement à l’échelle globale, avec l’ambition d’inscrire sa démarche dans une perspective universelle. C’est pourquoi il écrit Sénégal au cœur pour le local, Afrique au cœur pour le régional, et prévoit plus tard un livre intitulé Le monde au cœur ou La planète au cœur pour le global. Trois livres, trois étapes, trois échelles de réflexion et d’action, qui illustrent parfaitement l’idée qu’avant de rayonner dans le monde, il faut d’abord puiser ses forces dans ses racines locales et régionales.
Celui-la,est le plus grand fayot de la republique.
Beaucoup évoquent la possibilité que Macky Sall devienne un jour Secrétaire général des Nations Unies. C’est un poste prestigieux sur le plan symbolique, mais il faut rappeler que le véritable pouvoir de décision au sein de l’ONU est détenu par les membres permanents du Conseil de sécurité. Le Secrétaire général, malgré son importance diplomatique, reste contraint par des équilibres politiques internationaux qui réduisent considérablement sa marge de manœuvre.
Pour ma part, je pense que l’expérience et la stature de Macky Sall pourraient avoir un impact plus concret au Sénégal qu’au sein d’une organisation où le rôle est surtout celui d’un médiateur et d’un facilitateur. En 2029, si le contexte le permet et si le peuple sénégalais en exprime la volonté, son retour à la présidence pourrait être une occasion de consolider les acquis démocratiques et de poursuivre les chantiers de développement engagés.
En somme, le leadership de Macky Sall me semble plus précieux sur le terrain national, au service direct du Sénégal, que dans une fonction internationale où son action serait forcément limitée par les grandes puissances.
Beaucoup évoquent la possibilité que Macky Sall devienne un jour Secrétaire général des Nations Unies. C’est un poste prestigieux sur le plan symbolique, mais il faut rappeler que le véritable pouvoir de décision au sein de l’ONU est détenu par les membres permanents du Conseil de sécurité. Le Secrétaire général, malgré son importance diplomatique, reste contraint par des équilibres politiques internationaux qui réduisent considérablement sa marge de manœuvre.
Pour ma part, je pense que l’expérience et la stature de Macky Sall pourraient avoir un impact plus concret au Sénégal qu’au sein d’une organisation où le rôle est surtout celui d’un médiateur et d’un facilitateur. En 2029, si le contexte le permet et si le peuple sénégalais en exprime la volonté, son retour à la présidence pourrait être une occasion de consolider les acquis démocratiques et de poursuivre les chantiers de développement engagés.
En somme, le leadership de Macky Sall me semble plus précieux sur le terrain national, au service direct du Sénégal, que dans une fonction internationale où son action serait forcément limitée par les grandes puissances.
Yaw ma nognou dbali akk macky sale qui vivra vera sous peu de il sera traduit en justice ce vaurien i' pillé le pays accompagné de sa bande et tué beaucoup de sénégalais
Beaucoup évoquent la possibilité que Macky Sall devienne un jour Secrétaire général des Nations Unies. C’est un poste prestigieux sur le plan symbolique, mais il faut rappeler que le véritable pouvoir de décision au sein de l’ONU est détenu par les membres permanents du Conseil de sécurité. Le Secrétaire général, malgré son importance diplomatique, reste contraint par des équilibres politiques internationaux qui réduisent considérablement sa marge de manœuvre.
Pour ma part, je pense que l’expérience et la stature de Macky Sall pourraient avoir un impact plus concret au Sénégal qu’au sein d’une organisation où le rôle est surtout celui d’un médiateur et d’un facilitateur. En 2029, si le contexte le permet et si le peuple sénégalais en exprime la volonté, son retour à la présidence pourrait être une occasion de consolider les acquis démocratiques et de poursuivre les chantiers de développement engagés.
En somme, le leadership de Macky Sall me semble plus précieux sur le terrain national, au service direct du Sénégal, que dans une fonction internationale où son action serait forcément limitée par les grandes puissances.
Il y’a beaucoup d’idiots dans ce pays :
1) l’ONU c’est 193 États et vous croyez que l’ONU appartient au Sénégal
2) le poste de SG s’obtient par rotation, si ce n’est pas le tour de l’Afrique aucun africain ne sera la bas
3) un candidat au Sg qui n’a pas l’appui de son pays échoue lamentablement. Ce n’est même pas réaliste
Maky dit des inepties et les idiots embrayent
Il veut juste se donner de l’importance et vous le croyez
Sidiki n’a aucune dignité
C’est un carriériste et un homme dépourvu de principes
Dou nitou dara ce gars
LE DEFENSEUR DES BRAS CASSES
ANCIEN AVOCAT DE KARIM WADE QUI L A QUITTE POUR UN POSTE DE MINISTRE DONC NITTU INTERET LA
SIDIKI N EST PAS CLEAN. SES ENFANTS ONT SEME LA MERDE DANS CE PAYS….OU SONT ILS MAINTENANT????
SIDIKI N EST RIEN QU UN REJETON DE MAKY DECHET HUMAIN
Ah bambouli.................Jean-Yves Ollivier, né le 8 octobre 1944 à Alger, est un homme d’affaires français qui a fait fortune dans le négoce de matières premières extraites en Afrique.
Jean-Yves Ollivier, l’“éminence grise” française au cœur des négociations africaines sur l’Ukraine
Ancien homme d’affaires, le Français Jean-Yves Ollivier conseille plusieurs pays africains dans une initiative pour ouvrir un dialogue entre Kiev et Moscou. Un projet au résultat incertain, selon “La Repubblica”.
Le Français de 78 ans, homme d’affaires, se consacre désormais à la Fondation Brazzaville, son ONG, qui “coordonne les efforts diplomatiques annoncés par le président sud-africain, Cyril Ramaphosa”, pour œuvrer à l’ouverture d’un dialogue entre Moscou et Kiev. Le Sénégal, la Zambie, le Congo, l’Ouganda et l’Égypte font aussi partie de cette initiative annoncée en mai.
“La prudence est de mise”
“La mission qu’Ollivier veut organiser dans les deux capitales ennemies baigne dans l’incertitude, et rares sont ceux qui parient sur son succès”, commente La Repubblica, qui précise également que l’homme n’a reçu aucun mandat ni assentiment de la part de l’Élysée pour la tâche qu’il s’est lui-même confiée. “Les temps sont loin où cette éminence grise, emblème de la Françafrique, se vantait de son amitié avec le président Jacques Chirac.”
le PRIMITIF inculte et paresseux restera un miséreux pendant des siècles et sera toujours un mouton avec 3 neurones !!
.....la negraille est foutue !!
Une brillante formation, un parcours professionnel sans faute au plan national et international, une riche et intense activité qui lui a permis d’acquérir de nombreux titres honorifiques et de distinctions de par le monde, il mérite nos vives et sincères félicitations. Le Sénégal et l’Afrique sont honorés par cette haute distinction d’un homme de mérite et d’expérience.
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