Les femmes de Malika en banlieue dakaroise sont confrontées à d'énormes difficultés pour booster leurs activités économiques. Et pour cause, l'accès aux financements relève du véritable parcours d'un combattant. En effet, c’est par le biais des groupements Groupements d’intérêt économiques (GIE), que les femmes obtiennent des droits formels.
Mais le faible niveau du volume de crédit que perçoivent ces dernières, à cause de la nature et de la taille de leurs activités, ne leur permet pas de générer des bénéfices suffisants leur permettant de franchir durablement le seuil de la pauvreté.
Pour éradiquer ce fléau, elles exhortent le ministère de la Femme de prendre en compte leurs préoccupations en les impliquant dans ses programmes. Elles réclament, en particulier, des formations dans divers secteur.
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