Abass Jaber a reçu 20 milliards Fcfa en guise d’indemnités, suite à la liquidation de la société ferroviaire Transrail.
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Abass Jaber a reçu 20 milliards Fcfa en guise d’indemnités, suite à la liquidation de la société ferroviaire Transrail.
C'est le quotidien Tribune qui vend la mèche dans sa parution de ce lundi.
Abass Jaber a reçu 20 milliards Fcfa en guise d’indemnités, suite à la liquidation de la société ferroviaire Transrail.
C'est le quotidien Tribune qui vend la mèche dans sa parution de ce lundi.
Rebondissement dans l’affaire de l’ex-régie des chemins de fer de Thiès (Transrail depuis 2010). L’Etat du Sénégal a engagé des poursuites contre Abass Jaber. Il lui réclame le remboursement de la dette de 45 milliards de francs Cfa l’entreprise dont il tenait les rênes.
L'État réclame à Abass Jaber la somme de 45 milliards de francs Cfa pour le dossier Transrail.
Le ministre délégué en charge du Développement du réseau ferroviaire, Abdou Ndéné Sall, signale aux cheminots retraités de Dakar-Bamako ferroviaire que le gouvernement n'est pas responsable du retard dans le versement de leurs indemnités de départ.
L'ancien Premier Ministre, Aminata Touré, persiste et signe. Elle dit maintenir ses déclarations, ajoutant que la reddition des comptes a même rapporté plus de 200 milliards au Trésor public.
200 milliards FCFA. C’est la somme recouvrée par l’Etat du Sénégal dans la traque des biens mal acquis, si l’on en croit Aminata Touré, ancien ministre de la Justice.
C’est parti pour la relance des chemins de fer. Désormais, il ne faut plus dire Transrail mais plutôt dire Dakar Bamako Ferroviaire, une nouvelle société en charge de la gestion des chemins de fer.
Depuis hier, Abbas Jaber n’est plus le patron de la société ferroviaire Transrail. Une nouvelle équipe chargée de gérer la phase transitoire a été installée à Bamako. Elle est dirigée par Joseph Gabriel Sambou, patron du Petit Train de banlieue (Ptb).
Exit Jaber ! Joseph Gabriel Sambou s’installe à la tête de Transrail, l’entreprise ferroviaire qui traverse une mauvaise passe depuis la résiliation du contrat de concession ferroviaire, en décembre dernier.
L'Etat du Sénégal vient de donner un chèque de sept (7) milliards à l’industriel franco-libanais, Abbas Jaber, président du holding Advens et actionnaire majoritaire de Suneor. Les deux parties ont décidé de se séparer à l'amiable. Abass Jaber encaisse son chèque et le Sénégal reprend la Suneor, (ex-Sonacos). Selon le magazine “Les Afriques”, c'est à travers une convention de financement avec la Société Générale que l'argent a été décaissé.
Ils ont tenu un sit-in hier sur leur lieu de travail à Thiès, pour réclamer deux mois d’arriérés de salaire. Les cheminots, membres du Syndicat unique des travailleurs du rail (Sutrail) ne décolèrent pas après leur directeur général Thiery Martenety et son beau-frère Abass Jaber, qu’ils accusent de vouloir saboter l’entreprise, avant le délai de 90 jours qui leur a été notifié. Mambaye Tounkara et Cie haussent le ton. Ils veulent accélérer le départ de leur directeur général, Thiery Martenety et l’ont fait savoir hier face à la presse. «Il n’y a plus d’eau dans la société ferroviaire.
Le divorce entre le Sénégal et Abbas Jabber sera confirmé d’ici la fin de la l’année. C’est en tout cas ce qu’a annoncé le ministre des infrastructures. Pour Cheikh Diop, SG de la CNTS-FC, c’est le combat contre les mauvaises privatisations au Sénégal qui commence à porter ses fruits. Mais pour le secrétaire général de SUTRAIL, il est difficile de croire à cette annonce. Parce que c’est la deuxième fois que le départ d’Abass Jabber est évoqué sans suite.
Dans l’affaire Suneor, Abass Jaber réclame 40 milliards à l’État du Sénégal, informe « Enquête ». Mais, selon des sources du journal, « ce que l’État donnera ne devrait pas dépasser les 10 milliards CFA » », car « ce bijou acquis dans des conditions pourtant troubles à 5,3 milliards de francs CFA » a « cumulé des pertes qui avoisinent les 60 milliards de francs CFA, sur la période 2005-2014 ». Certains se demandent bien si ce n’est pas Abass Jaber qui devrait payer à l’État du Sénégal, au lieu de tendre ainsi la main, note « Enquête ».
Abass Jaber est toujours "huilé" dans le dossier de la Suneor. Selon Jeune Afrique repris par Le Populaire, l'homme d'affaires a admis soutenir la candidature du français Avril avec qui sa société Advens avait signé un protocole, bloqué par l'Etat sénégalais. Jaber estime que l'huilier français qui possède déjà Copéol ( une entreprise avec Castel), le numéro 2 de l'arachide au Sénégal, est le seul candidat actuel qui soit capable de structurer réellement la filière arachidière. Pour sa part, Avril a rappelé son intérêt pour "la filière oléagineuse africaine en général" et a affirmé être positionné pour la reprise de Suneor.
L’Etat veut régler les problèmes de la Suneor, de Transrail, l’Aéroport internationale Blaise Diagne (Aibd) et de Sénégal Airlines. Amadou Ba, le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan venu présider, ce mardi 27 octobre 2015, la cérémonie de lancement du rapport portant sur les perspectives économiques régionales pour l’Afrique subsaharienne fait par le Fmi (Fonds monétaire internationale), a assuré que la décision a été prise par le Président Macky Sall de prendre en charge le dossier de certaines entreprises aujourd’hui confrontées à des difficultés.
C’est la fin du bras de fer entre l’État du Sénégal et l’actionnaire majoritaire de la Suneor, Abass Jaber. Les deux parties se sont séparées à « l’amiable ». Au sortir d’une réunion entre le Premier ministre, Abdallah Dionne, le ministre des Finances, Amadou Ba, il a été annoncé que l’ex-actionnaire majoritaire (85 % des actions contre 15 % pour l’État)
L’Etat a décidé de se séparer de SUNEOR, en vue de jeter les bases d’une nouvelle politique de restructuration de la culture arachidière, a appris l’APS de source officielle. ’’Nous avons convenu de nous séparer à l’amiable. Le compagnonnage avec SUNEOR s’est achevé. Des discussions sont en cours pour déterminer les modalités pratiques de séparation’’, a expliqué le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan Amadou Ba.