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Un drame évitable s'est produit vendredi dernier à Diourbel, où une femme enceinte a été contrainte d'accoucher devant les portes du Centre Hospitalier Régional Heinrich Lübke.
Accusée d’avoir étranglé son nouveau-né, M. D., veuve et déjà mère d’un enfant, a juré que le bébé était mort-né
![[Focus] Infanticide : Tuer pour l’honneur](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//8f81dcce2b495b4cb813b0a2974c5173b9da957e.png)
Chaque année, beaucoup de cas d’infanticide sont enregistrés au Sénégal.
![[Portrait] Ndella Madior Diouf : Tranche de vie d’une insoumise](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//6d135a0ad2ba02abd0ea9d00ff3e1db7196dd11c.png)
Ndella Madior Diouf est réfractaire aux tâches ménagères dévolues aux femmes au sein d’un couple. C’est ce qui explique en grande partie ses divorces.
Ndella Madior Diouf est réfractaire aux tâches ménagères dévolues aux femmes au sein d’un couple.
La vérité ne doit pas être entachée, le monde ne doit pas être trompé et le récit sur le Xinjiang ne doit pas être déformé.
Awa Ndao risque 7 ans de travaux forcés: elle accouche, étrangle son bébé avec un morceau de tissu, le met dans un sachet et le donne à la famille de celui qui l’a engrossé
Awa Ndao, 31 ans, est apparue effondrée, ce mercredi, devant la Chambre criminelle. La dame est visiblement frappée non plus au cœur, mais dans son orgueil et sa dignité. Elle a eu un enfant dans une relation hors mariage.
Il se pourrait bien que Meghan n'aurait finalement pas accouché à domicile mais bien dans un hôpital londonien.
A l’Armstrong County Memorial Hospital de Pennsylvanie, la naissance d’Addyson Gale Cessna a été accueillie comme un petit événement. En effet, la petite fille est le plus gros bébé à avoir vu le jour dans l’établissement, avec ses 6,2 kilos.
Ce jour-là, les va-et-vient incessants de voisins au domicile du couple renseignent sur la triste nouvelle. «Oumou Ly a perdu son bébé», serine-t-on dans le voisinage. Oumou, une jeune femme de 32 ans, est attristée, fatiguée, lasse d'avoir combattu en vain «l'erreur médicale» qui a fini par emporter son Bocar.
Gratuité des césariennes, initiative « Badianou Gokhe », stratégie « Médecins sans blouse », « Plan sésame »... Voilà, entre autres, les mesures prises par l’Etat du Sénégal, durant cette décennie, pour faciliter l’accès des populations aux soins. Evidemment, en plus d’une politique de construction, de réhabilitation et d’équipements sanitaires visant à rapprocher les citoyens des structures de santé. « Rendre les soins accessibles à tous les Sénégalais, qu’ils vivent en zone rurale ou en zone urbaine ». Telle est la vision du chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade qui se conforme à la Constitution de la République du Sénégal qui érige au rang de droit, l’accès aux services de santé et au bien être.
Le choix de plus en plus de femmes étrangères d’aller accoucher au Canada pour obtenir la nationalité et le passeport canadiens pour leur enfant a soulevé récemment un débat au Canada. Le phénomène a pris une grande ampleur ces dernières années. Radio Canada a consacré un reportage sur la question. Seulement, les positions divergent en fonction des intérêts. Sous le prétexte de s’y rendre pour passer des vacances, des femmes venant pour la plupart de l’Afrique du Nord, notamment le Maghreb, profitent de leur séjour pour accoucher dans les services hospitaliers de Montréal. Le reportage de radio-Canada ne fait pas mention de femmes venant de l’Afrique sub-saharienne.
Mes Chers Compatriotes, Au seuil du nouvel an, j’aimerais d’abord, en votre nom et au mien propre, rendre grâce à Dieu, Maître absolu de l’univers et du temps, pour la faveur qu’il nous accorde de vivre ensemble ce moment unique qui est à la fois une fin et un commencement. L’instant est donc à un retour sur soi, à la méditation et à la contrition pour tout le bien que nous aurions pu faire pour nos semblables et que nous n’avons pas fait...
L’infanticide (action de tuer volontairement un enfant et plus spécialement un nouveau-né) est un phénomène qui prend de plus en plus de l’ampleur au Sénégal. Selon certains juristes, la ville de Kaolack (avec 10 cas par jour) se taillerait la part du lion. Généralement attribué aux femmes, ce crime trouve, de l’avis de spécialistes, son origine dans certains us et coutumes. Par peur d’être excommuniées, bannies, réprimandées par leurs proches, les femmes dont la grossesse est le produit de relations hors normes, accouchent dans l’anonymat total, dans un pays où l’interruption volontaire de grossesse (Ivg) est punie par la loi. Pour la justice, les femmes qui franchissent le rubicond sont les seules coupables, leurs partenaires mâles sont souvent ignorés.
