💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Le procureur de la République devrait s’auto-saisir après les propos jugés blasphématoires de Ahmeth Cissé...
Les 19 présumés manifestants et les 2 étudiants obtiennent tous une liberté provisoire
Le procureur de la République devrait s’auto-saisir après les propos jugés blasphématoires de Ahmeth Cissé...
La gestion et la maintenance des infrastructures sportives sont de vrais défis pour les autorités sportives au Sénégal.
Le Conseil supérieur de la Magistrature (CSM) s’est réuni ce vendredi 16 octobre 2015, sous la présidence du chef de l’État, Macky Sall, Président dudit Conseil. Le Conseil a adopté plusieurs mesures individuelles El Hadji Malick Sow, précédemment Président de Chambre par intérim à la Cour d’appel de Dakar, est affecté à l’administration centrale du ministère de la Justice.
Entre 1960 et 1980, le Sénégal, dirigé par celui que Sékou Touré appelait « Le garde suisse de l’impérialisme français », son premier président, Léopold Sédar Senghor, a vu passer 78 ministres. De 1980 à 2000, sous Abdou Diouf, le pays connut 109 ministres et quatre Premiers ministres – au terme de 20 remaniements et réaménagements, précise Le Populaire. Depuis la sopique élection du divin chauve Abdoulaye « Gorgui » Wade, en mars 2000, les Sénégalais ont pu rigoler en écoutant les sornettes de… 122 ministres !
Le coordonnateur de l'APR à Saint-Louis, Mansour FAYE, a invité Alioune Badara Cissé à mettre fin à ses tournées internationales et revenir dans l’animation politique de ce parti à Saint-Louis.
Les techniciens mise sur une armada offensive pour venir à bout de l’adversaire du samedi 13 octobre. Et partant de leur « complicité affective » et de leur complémentarité, le duo Papiss Cissé-Demba Bâ, de Newcastle est pressenti.
Les langues se délient sur la composition des listes de Benno Bokk Yaakaar et les mains invisibles qui ont tiré les ficelles. Il s’agit surtout du grand financier de Macky Sall, Harouna Dia qui, selon des sources de Wal Fadjri, a pesé de tout son poids sur la composition des listes de Benno Bokk Yaakaar.
Le Guide des « Thiantacoune », Cheikh Béthio Thioune a mobilisé cet après-midi plus de 2 millions de personnes selon ses talibés à la Place de l’Obélisque. Cette place qu’il a baptisée « Eutou Serigne Saliou ». Devant des membres du Gouvernement et des proches du président Wade, Cheikh Béthio Thioune a déclaré : « Me Abdoulaye Wade ne m’a donné aucun franc. S’il l’avait fait, je l’aurais accepté ».Au cours de ce meeting, Cheikh Béthio Thioune a demandé au chanteur Youssou Ndour de venir à ses côtés pour réélire le président Wade. « Il est mon talibé. Il a fait ses actes d’allégeance devant Cheikh Amar.
Malgré la scission, l’Unacois a tenu samedi dernier son assemblée générale ordinaire. Et c’est l’opérateur économique Idy Thiam qui a été réélu pour un mandat de 4 ans. Occasion saisie par le Ministre de la Famille Aïda Mbodj pour réitérer le soutient et l’engagement de l’Etat en faveur du nouvel élu.
- Listes des ministres Sous Wade -Il n'y a eu que 78 ministres durant le magistère de Senghor - Flagrant délit continue de remaniement sous Souleymane Ndéné Ndiaye Cent vingt-deux (122) personnes ont défilé autour de la table du Conseil des ministres en dix années d'exercice du pouvoir par Abdoulaye Wade sanctionnées par 17 modifications au niveau du gouvernement - principalement des ministres détenant des portefeuilles.
Lors de l’inauguration des nouveaux locaux du Groupe de presse Wal fadjri, Me Wade a laissé entendre « j’ai été triste de n’avoir pas été compris par les journalistes ».Entre Wade et la presse nationale écrite sénégalaise, c’est une vieille histoire. Panorama sur trente cinq ans de relation entre Me Wade et la presse écrite sénégalaise. Durant les vingt six ans (1974 à 2000) qu’il a passé dans l’opposition, Me Wade, fut un sujet très vendeur pour la presse écrite.
Sale temps pour les homosexuels Sénégalais qui se la coulaient douce en Gambie après l’affaire dite du mariage de Petit Mbao qui avait défrayé la chronique. Retourné en Gambie après un séjour de quelques jours au Sénégal, le ou la principale tête de file des «goordjiguen» du Sénégal, Pape Mbaye l’a échappé de peu, ce qui n’est pas le cas pour ses «partenaires», Serigne Mboup et Ady Seck. Tout a commencé jeudi dernier lors d’une tournée politique du Président Yaya Jammeh marquée par un rassemblement à Serecounda. Après avoir exhibé un exemplaire du Coran, le chef de l’Etat gambien a affirmé que les homosexuels Sénégalais se sont tous installés en Gambie. Après quoi, il a juré qu’après la prière du lendemain, vendredi, il ne voudrait plus les voir dans son territoire, menaçant même de faire comme en Iran ou des homosexuels ont été tout simplement pendus sur ordre du chef de l’Exécutif.
C’est un vieux dossier qui se réveille. Vous vous souvenez sans doute du stade Assane Diouf, sis à Rebeuss. En effet, l’Etat voulait céder le site à des privés Pakistanais avant que les choses ne s’emballent. Plus précisément, les populations de Rebeuss avaient rué dans les brancards, créant un mouvement comme pas possible. Eh bien, après s’être fait oublier, l’Etat revient à la charge ! Eh oui, selon nos radars et antennes, un projet a été ficelé pour, officiellement, construire sur le site du stade, qui sera déclassé pour utilité publique, un centre hospitalier pour enfants. Nos radars renseignent d’ailleurs que Gorgui a commencé par envoyer un de ses hommes de l’ombre à Rebeuss pour calmer les «décideurs».
Le démenti qu’il a servi au journal Le Populaire pour préciser que la captive dont le fils de Moustapha Niasse dit être sa maman n’aura pas suffi à Sidy Lamine Niasse. De retour d’un voyage au Maroc, il persiste : « Ma maman est Chérif, la captive est la mère de mes demi-frères. » Ça sent la guerre de familles ! Dans cet entretien qu’il nous a accordé, Sidy Lamine Niasse, visiblement affecté par cette déclaration revient sur les relations entre son frère Ahmed Khalifa Niasse et le leader de l’Afp Moustapha Niasse. Il les qualifie de « politiciens opportunistes » qui utilisent toute une famille religieuse pour régler leurs comptes. Non sans avouer qu’il a pitié du « gosse de divorcé que son papa manipule pour attaquer des tierces personnes. »
Tout au long de la dernière législature, l’on a vu des députés transformer l’Hémicycle en centre d’affaires avec une circulation inopinée des marchandises importées d’Afrique, d’Europe ou d’Asie, pendant que les Sénégalais subissaient une terrible inflation au quotidien. De certaines femmes libérales, on a fini par ne plus savoir ce qu’elles étaient venues faire dans le cénacle de la représentation nationale au vu de leurs activités…commerciales. L’Assemblée nationale, dépositaire de la souveraineté populaire, est aujourd’hui un repaire d’entrepreneurs économiques.
