Seneweb poursuit sa série d’entretiens avec des Coordonnateurs du Forum Civil, section sénégalaise de Transparency International dirigée par Birahime Seck...
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Seneweb poursuit sa série d’entretiens avec des Coordonnateurs du Forum Civil, section sénégalaise de Transparency International dirigée par Birahime Seck...
Le meurtre de sang-froid d'un citoyen noir, africain-américain par un policier blanc euraméricain, commis en plein jour dans une rue de la capitale du Minnesota est un fait divers qui rappelle tragiquement les pratiques de lynchage d'un passé esclavagiste et ségrégationniste de l'Amérique condamné par l'histoire.
Depuis Fès au Maroc où il se trouve, Idrissa Seck a adressé une correspondance, ce vendredi 15 Juillet 2016, aux Sénégalais. Dans cette correspondance dont Seneweb a reçu copie, il réaffirme qu'il n'a jamais signé un protocole de Rebeuss. Voici sa lettre :
Des sources concordantes, consultées vendredi par l'AFP, indiquent que des biens immobiliers appartenant à la famille de l'ancien président gabonais, Omar Bongo, ont été récemment saisis par la justice française, à Paris et à Nice.
Birahim Seck, le membre du Forum civil précise que Transparency International n’a jamais dit que la corruption a baissé au Sénégal. « Pour le Sénégal, 47 % des citoyens disent que l’État est en train de faire de bonnes choses pour promouvoir la lutte contre la corruption.
C’est la réponse du berger à la bergère. En réponse aux accusations de Birahim Seck, membre du conseil d’administration du Forum civil, le patron de la délégation générale de la Francophonie est sorti de sa réserve. Jacques Habib SY lâche ses vérités.
Porté à la tête de l’Agence nationale chargée de la promotion des investissements et des grands travaux (Apix), depuis le 24 avril dernier, Diène Farba Sarr lève, dans l’entretien exclusif qu’il nous a accordé, un coin du voile de mystère qui entoure ladite boîte. L’auteur de «Macky Sall, un combat pour la République», souligne, entre autres révélations, que «le volume moyen d'investissements agréés dépasse 1 milliard F Cfa par jour».
« Il ne faut pas que l’on brade la Senelec », a plaidé ce dimanche l’expert comptable Abdoul Aziz Dièye, à l’émission dominicale ’’Grand Jury’’ de la Rfm. Le fondateur associé, en 1979, du cabinet du même nom dit avoir participé au processus de privatisation de la Société nationale de télécommunication (Sonatel) il y a 25 ans ; celle-ci est aujourd’hui l’un des fleurons de l’entreprise sénégalaise. Dans remue-ménage de Rfm, Jacques Habib Sy se demande où sont passés les milliards investés en 10 ans dans le secteur énergetique.
Dans les colonnes du quotidien Le Populaire, Jacques Habib Sy a brossé un tableau sombre de la tenue des finances publiques qui ne reflète pas le réel vécu. Ainsi que le démontrent les chiffres, récemment, déclinés par le ministre d’Etat Abdoulaye Diop dans le magazine du business, « Réussir ».
Ce qui arrive aujourd'hui au patron de Jls peut arriver à tout le monde. Telle est la conviction de Jacques Habib Sy. «À part Abdoulaye Wade, personne n’est à l'abri de ce qui est arrivé à Bara Tall», avertit-il. Parce que, selon lui, «nous sommes dans une conjoncture de quasi-dictature».
Le mandat des 9 membres du Conseil de régulation de l’Autorité de régulation des marchés publics (Armp) a pris fin officiellement hier et les nouveaux membres ne sont pas encore nommés. Ce qui pose le problème de la légalité de décisions futures de cette instance, mais aussi du Comité de règlement des différends (Crd) dont les membres sont issus du Conseil de régulation. Le système des marchés publics va vers un sérieux blocage si un nouveau décret portant nomination des membres du Conseil de régulation de l’Autorité de régulation des marchés publics (Armp) n’est pas signé dans les meilleurs délais.
Amadou Bâ, Directeur des Domaines, Taïbou Ndiaye Directeur de Cadastre et leurs complices cachés dans les arcanes du pouvoir libéral devraient s’expliquer sur la gestion du patrimoine foncier de Dakar. Voici la suite du rapport d’Aid Transparency International. Une des particularités du Dpm est d’être peu extensible. C’est pour cette raison qu’il doit faire l’objet d’une utilisation pointilleuse. Son aménagement doit tenir compte de deux impératifs apparemment contradictoires
Les déclarations «d'intention unilatérales et prématurées» sur la candidature de l'opposition à l'élection présidentielle faites par d'éminents membres de Bennoo Siggil Senegaal inquiètent Jacques Habib Sy. À l'instar du journaliste-écrivain Abdoulatif Coulibaly, le président de Aid transparency, malgré son optimisme, avertit qu'«il n'y a pas de salut hors de la candidature unique, qui doit passer nécessairement par l'élaboration de critères précis». Le débat au sein de l'opposition tourne autour de la candidature unique ou plurielle à la présidentielle. Plusieurs positions ont été dégagées. Quelle est votre opinion sur ce débat ?
Amadou Diaw refait encore parler de lui. Habité qu'il est par la hantise de se retrouver entre les mains de Dame Justice, le président du Mla, auteur de la plainte contre le chef de l'Etat pour détournement de fonds et acquisition illégale de biens immobiliers en France, change de fusil d'épaule. Dans un document qu'il nous a transmis, il porte désormais ses accusations contre le site Seneweb.com et blanchit Me Wade. Revoilà le sieur Amadou Diaw ! Celui-là qui a osé porter plainte contre le président Abdoulaye Wade pour détournement de fonds et acquisition illégale de biens immobiliers en France. Comme on le devine, le feuilleton n'est pas près de connaître son épilogue.
XIBAR.NET (Dakar, 01 Janvier 2010) - L’étude a été faite par Aid Transparency, que dirige Jacques Habib Sy. Elle a été relayée par le quotidien « Kotch » : le président Abdoulaye Wade est « le plus grand voyageur depuis Alexandre Le Grand» ; soit depuis le temps de la Rome antique. En matière de séjour à l’étranger, le président sénégalais dame le pion à tous ses pairs. Pour preuve, les présidents Carter, Bush père et fils, Clinton, Obama, Chirac et Sarkozy, Helmut Kohl et Angela Merkel, tous réunis, n’ont pas fait la moitié du temps que le président Wade a passé à voyager, hors de son pays, en neuf ans seulement à la tête du Sénégal.
L’argent remis par le président de la République à Alex Segura occupe le devant de la scène. S’agit-il d’un cadeau ? S’agit-il d’une tentative de corruption qui a échoué ? Que recouvre la notion de cadeau dans la coutume africaine ? Telles sont, entre autres, les questions que nous avons posées au sociologue Djiby Diakhaté. Wal Fadjri : L’actualité, c’est la remise d’espèces à M. Segura. Le pouvoir parle de cadeau conforme aux traditions africaines. Est-ce votre avis ? Djiby DIAKHATE : Ce qu’il faut savoir, c’est que les sociétés africaines traditionnelles connaissaient bien les mécanismes de circulation des cadeaux d’un individu à un autre, d’un groupe à un autre mais, ces mécanismes étaient strictement régulés et obéissaient à un certain nombre de valeurs dans leur mode d’expression.
Quel est ce discours et ces mesures que nous aurions tant voulu entendre prononcés par Wade à son retour de vacances, après un long repos impérial, seul avec lui-même, avec sa conscience, avec ses remords ? Mes chers compatriotesJe voudrais avant tout rendre grâce à Dieu, Allah, qui m’a permis de partir de notre pays il y a un mois en bonne santé et d’y revenir aujourd’hui en très bonne santé. Je voudrais vous faire part de 10 mesures exceptionnelles que j'ai prises pour mettre fin aux principaux maux dont vous souffrez depuis toutes ces années
Une déclaration de patrimoine, voilà un exercice que l'on verra pratiquer très rarement au Sénégal où une enquête de Aid Transparency a révélé qu'au moins 1477 milliards ont été détournés de 2000 à 2006. Nous ne la verrons pas aussi souvent en Afrique non plus lorsque l'on sait qu'une enquête européenne a révélé que "les actifs africains volés détenus dans des comptes en banque à l’étranger équivalent à plus de la moitié de la dette extérieure du continent". Rien que les avoirs volés par les seuls chefs d’Etat s'évaluent à près de 200 milliards de dollars, je parle bien de dollars, donc 200 milliards à multiplier par +ou- 500.
C’est avec plein d’interrogations sans réponse que Jean-Charles Tall, représentant du Forum civil, a quitté le Conseil de surveillance de l’Anoci le 31 décembre dernier. Dans cet entretien avec Le Quotidien, l’architecte dit n’avoir pas obtenu de réponse de la Direction de l’Anoci sur de nombreuses interpellations, dont celles relatives aux comptes de ladite agence, aux conditions de passation de certains marchés, ou encore à l’octroi des terrains aux promoteurs immobiliers. Vous aviez promis de publier un livre à la fin de la mission de l’Anoci le 31 décembre 2008, qui sera une sorte de bilan. Où est-ce que vous en êtes ?
L’administration sénégalaise a-t-elle été désertée sous le magistère libérale par la rationalité qui la caractérisait pourtant. Jadis citée en exemple, elle est devenue l’ombre d’elle-même. En effet, démontre ici Abdoul Aziz Tall, l’ancien du Bureau organisation et méthode (Bom) si « une Organisation dépense sans explications convaincantes, plus de 300 milliards de Fcfa pour construire quelques trois ponts et moins de 20 kilomètres de route dans la capitale, on ne peut parler d’efficience » en ce qui la concerne. « Et si elle ne livre pas les travaux d’infrastructures et d’hôtels à date échue, elle n’aura pas fait preuve non plus d’efficacité ».