Ce n’est pas forcément une bonne nouvelle pour Barrick Gold.
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Ce n’est pas forcément une bonne nouvelle pour Barrick Gold.
Une tension grandissante secoue le secteur minier malien, opposant l’État au géant canadien Barrick Gold Corporation, opérateur historique du complexe aurifère de Loulo-Gounkoto.
Après l’audit des mines d’or qui a révélé un manque à gagner de 300 à 600 milliards de FCFA pour l’Etat malien, la compagnie aurifère canadienne B2Gold est passée à la caisse sans rechigner.
Les autorités maliennes ont fermé les bureaux du groupe minier canadien Barrick Gold à Bamako mardi pour "non paiement d'impôts" d'après les services fiscaux maliens, dernier épisode d'un bras de fer que se livrent l'industriel et l'Etat malien.
Fin janvier 2025, l’Agence de presse britannique Reuters annonçait la reprise des négociations entre la compagnie aurifère canadienne Barrick Gold et le gouvernement malien, après un long bras de fer au sujet des taxes impayées notamment.
Fin 2024, Barrick Gold s’est engagé dans un bras de fer avec le gouvernement malien. La société minière canadienne a en effet refusé de payer les 500 millions de dollars réclamés par Bamako, après un audit des mines d’or qui a révélé un manque à gagner de 300 à 600 milliards de dollars pour l’Etat.
Quand Aly est remonté du fond de la mine malienne de Loulo-Gounkoto ce jour de janvier, il a découvert que des soldats étaient descendus sur le site pour emporter les trois tonnes d'or que lui et ses collègues employés d'une compagnie canadienne avaient mis des mois à extraire.
Le gouvernement malien a confisqué trois tonnes d’or à la société minière canadienne Barrick pour récupérer 180 millions de dollars en revenus impayés.
La junte malienne a commencé à saisir les stocks d'or présents sur le site de Loulo-Gounkoto exploité par le groupe canadien Barrick Gold en plein conflit sur le partage des revenus, a-t-on appris lundi de source industrielle et sécuritaire.
Le secteur minier malien, crucial pour l’économie du pays, est au cœur d’une vaste réforme institutionnelle. Depuis plusieurs années, la Chambre des Mines, créée en 2004 pour représenter les acteurs du secteur, a été confrontée à de nombreux dysfonctionnements, dont des difficultés à renouveler ses organes dirigeants. En 2016, le mandat de la présidence de la Chambre, exercé par Abdoulaye Pona, avait expiré, mais les élections pour les renouveler ont été reportées à plusieurs reprises en raison de divers obstacles administratifs et réglementaires. Des blocages qui ont donné lieu à des problèmes de gestion, de transparence et à des allégations de mauvaise gouvernance, nuisant ainsi à la crédibilité de l’institution.
L'industriel et l'Etat malien se livrent depuis des mois à un bras de fer pour ce qui est l'un des plus importants complexes aurifères au monde, dans un contexte général de pression accrue exercée sur les compagnies minières et aurifères étrangères.
Au Mali, la junte a bloqué les exportations de la mine d’or de Loulo-Gounkoto, administrée par Barrick Gold Corporation, une entreprise canadienne qui n’est actuellement pas en odeur de sainteté avec les militaires au pouvoir à Bamako.
Le Mali, l’un des plus grands producteurs d’or d’Afrique, se classe actuellement parmi les trois premiers producteurs du continent, après l’Afrique du Sud et le Ghana.
La justice malienne a émis un mandat d'arrêt contre le PDG de la compagnie canadienne Barrick Gold, propriétaire avec l’État malien de l'un des plus importants complexes aurifères au monde, a-t-on appris jeudi de sources proches du dossier.
Au Mali, plus rien ne va entre les militaires au pouvoir à Bamako et Barrick Gold. Dans un récent communiqué publié hier mardi 26 novembre, la compagnie minière canadienne a confirmé l’arrestation de « quatre employés de son complexe minier de Loulo-Gounkoto ».
La société minière australienne Resolute a annoncé lundi avoir conclu un accord de 160 millions de dollars pour régler ses litiges avec le gouvernement du Mali, après l'arrestation de son directeur général et de deux autres cadres à Bamako au début du mois.
Au Mali, les compagnies aurifères étrangères sont sommées de passer à la caisse après l’audit des mines d’or qui a révélé un manque à gagner de 300 à 600 milliards de FCFA pour l’Etat.
Le Mali, troisième producteur d'or en Afrique et un acteur clé sur le marché mondial, fait face à une dynamique minière complexe depuis l'arrivée au pouvoir des militaires en août 2020.
Trois cadres étrangers de la compagnie australienne Resolute, propriétaire d'une mine d'or au Mali, ont été interpellés à Bamako et placés en garde à vue pour...
Dans son adresse à ses militants, la tête de liste de la coalition PASTEF/LES PATRIOTES a révélé les pratiques de l’ancien régime dans le secteur minier qui consistait à créer des sociétés dans les paradis fiscaux. Et Ousmane Sonko de préciser que "les dirigeants de l’ancien régime se sont partagés les titres miniers sur le dos des Sénégalais et des Kédovins au niveau de la mine de Sabodala Barrick Gold et de Massawa". "Les impôts qu’ils devaient payer ne l’ont jamais été.Et même après le redressement fiscal, le montant qu’ils devaient payer s’élevait à 240 milliards de France CFA. Et l’ancien régime a réduit ce montant à 9 milliards", a-t-il affirmé.