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Cimetière des abattoirs : Quand l’histoire de Dakar s’effrite sous les vagues et la prédation foncière
Dans ces lieux situés sur la Corniche-Ouest reposent notamment de nombreuses personnalités religieuses, intellectuelles, politi
Le jour des faits, elle est partie à la Médina, chez une amie. Vers minuit, sa fille s'est endormie..
Quartier populaire, situé à la périphérie du centre ville, Médina, un brin chic, est chanté et filmé depuis 100 ans par une génération d'artistes. Repère des guides religieux du Sénégal, Médina entretient la légende de Dakar. Entre religion, cinéma, musique et cartes postales, la Médine de Dakar s'accroche encore à son passé. Petit tour de quartier !
Une femme mariée qui blinde les quatre coins du lit et de l’armoire de gris-gris pour que son mari lui dise «tout ce qu’il sait» et donne «tout ce qu’il a», une célibataire à la quête d’époux, un élève sur la table d’examen avec un stylo magique, un lutteur qui profane la tombe de la mère de son adversaire,
Des centaines de fidèles musulmans prennent part à la ziara annuelle (cérémonie religieuse) de la famille omarienne ouverte vendredi dans la capitale du Ndiambour, a constaté l’APS.
Il y a 40 ans, le 11 mai 1973, survenait, à Gorée, la mort en détention d’Omar Blondin Diop, jeune opposant à la politique "pro-occidentale’’ et "antipopulaire’’ du pouvoir de Léopold Sédar Senghor, et porteur d’un idéal révolutionnaire, d’idées d’égalité entre tous. Il avait 26 ans.
Encore une histoire mystique qui aurait pu virer au drame. Hier, vers les coups de minuit, une dame a été surprise au cimetière Abattoirs de la Médina sur la corniche, tenant un enfant par la main. Mais les riverains, des jeunes du quartier notamment, informés de la situation, ont vite ameuté tout le monde. Il a été découvert que la dame en question avait une arme. Du côté de la Medina, on reste convaincu qu'elle voulait tuer l’enfant en guise de sacrifice. La bonne dame a rejeté en bloc ces allégations, arguant qu’elle voulait seulement se faire accompagner par un enfant, suivant en cela la recommandation de son marabout. D'après nos confrères de la Tribune, la dame avait expliqué que c’est sous la recommandation de son marabout qu’elle avait cherché à être accompagnée par l’enfant afin d'enterrer ses gris-gris dans un cimetière. Des explications qui n’ont pas convaincu la police qui a interpellé la dame. Elle était détenue hier à la police du quatrième arrondissement de la Médina.
Un enfant du nom de Maodo Malick Pouye a été retrouvé mort dans l’enceinte du cimetière des « abattoirs » de Soumbédioune aux environs de 12h30.
Il fut un des plus brillants intellectuels du Sénégal des indépendances. Un des plus engagés aussi. Blondin, c’est l’autre autre Diop. Avec l'historien Cheikh Anta, il n’avait aucun lien, sinon ce patronyme qui rappelle une lignée guerrière du Cayor, qui s’est forgée une réputation de refus de la colonisation depuis Lat Dior Diop, héros national du Sénégal. Mais les deux avaient en commun l’amour pour leur pays et le combat pour la libération de l’Afrique de l’emprise coloniale.
L'émotion est vive à la maison d'arrêt et de correction de Tambacounda. Une jeune femme détenue depuis quatre ans pour avoir abandonné son nouveau-né qui avait été finalement dévoré par les chiens, est morte hier jeudi des suites d'un coma diabétique associé à une hypertension artérielle. Elle a été inhumée au cimetière musulman de Médina Coura. Les faits pour lesquels Fatoumata Sall (28ans) avait rejoint la prison de «Liberté» remontent au 2 octobre 2005 aux environs de 18 heures 30 minutes lorsque les limiers du commissariat de police de Tambacounda ont été saisis par le jardinier Abdoulaye Diarisso, domicilié au quartier Abattoirs de la découverte d'un corps sans vie d'un nouveau-né abandonné dans un puits délabré au quartier Abattoirs.
Dakar - Le directeur exécutif de l’Agence nationale de l’Organisation de la Conférence islamique (ANOCI), Abdoulaye Baldé, a visité au pas de charge les travaux routiers et hôteliers de l’Agence qui, selon des techniciens interrogés par l’APS, ’’avancent normalement’’. En compagnie du coordonnateur délégué de l’ANOCI, Abdoulaye Racine Kane et de plusieurs autres responsables ainsi que les chefs des différentes entreprises chargées de l’exécution des projets, le directeur exécutif de l’ANOCI a constaté partout le ’’déroulement correct des travaux’’. Au niveau du tunnel, par exemple, où des rumeurs insistantes font état de lenteurs et de difficultés, ’’la visite a permis de se rendre compte de l’évidence...
Les travaux de la Corniche ouest constituent le projet-phare de l’Agence nationale de l’Organisation de la conférence islamique (Anoci). Cet important programme routier se décline à travers l’élargissement, l’aménagement et l’embellissement en 2x2 voies de cette route qui part du Bloc des Madeleines à la Pharmacie des Mamelles en passant par la mosquée de la Divinité. L’état d’avancement des travaux, visités hier par le chef de l’État, Me Abdoulaye Wade, témoigne de la volonté de l’Anoci de respecter les délais afin que le Sénégal puisse organiser pour la deuxième fois le sommet de l’Oci. Tout juste au front du passage souterrain de la Porte du Millénaire, une inscription : « Génération du concret ».
Selon des sources officieuses, quelques tombes du cimetière de Soumbédioune devraient être déplacés pour les raisons des travaux d’élargissement et d’embellissement de la Corniche. Vendredi dernier, commentant le projet des travaux de la Corniche, Elh Ameth Diène, ancien maire socialiste et notable lébou, est revenu sur les raisons du refus des parents des morts enterrés là. A l’en croire, ce n’est pas évident qu’il ne reste que des ossements même si le cimetière est fermé depuis 1974. (Source : Grand Place)
