Pour une Casamance réconciliée : La Fédération des associations religieuses et des communautés prêche le vivre-ensemble
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Pour une Casamance réconciliée : La Fédération des associations religieuses et des communautés prêche le vivre-ensemble
Pour une Casamance réconciliée : La Fédération des associations religieuses et des communautés prêche le vivre-ensemble
Alors que le Premier ministre Ousmane Sonko présentait, ce vendredi, son très attendu Plan de redressement économique et social, baptisé « Jubbanti Koom », au Grand Théâtre de Dakar, les réactions ne se sont pas fait attendre.
La communauté Ibadou Rahmane de Kédougou a célébré ce vendredi la fête de l’Aïd el-Kébir dans une ambiance de ferveur religieuse
La Coalition nationale pour une pêche durable (CONAPED) a procédé, ce jeudi 18 juillet, au lancement du Projet pêche durable et transparente (PDUT).
La faction Diakaye du MFDC exhorte les populations au pardon et à la réconciliation
La quasi-totalité des communautés ethniques et villageoises de la région de Sédhiou ont déclaré avoir abandonné l'excision, cette pratique culturelle aussi vieille que l’histoire. Mais entre ces bonnes intentions et la réalité du terrain, il y a bien un fossé...
Saër, 18 mois, est un bélier de race Ladum qui attire l'attention des amoureux des ovins.
Dans sa croisade contre l’épidémie du coronavirus, le...
La quasi-totalité des communautés ethniques et villageoises de la région de Sédhiou ont déclaré avoir abandonné l'excision, cette pratique culturelle aussi vieille que l’histoire. Mais entre ces bonnes intentions et la réalité du terrain, il y a bien un fossé...
Fondé en 1883 par Mame Mor Anta Sally, père de Cheikh Ahmadou Bamba, Mbacké Kadior a vu naître la voie du Mouridisme. De village historique, cette cité religieuse est devenue aujourd’hui une commune en plein expansion avec son début de modernisation. Son Magal célébrant la naissance de Serigne Mouhamadou Lamine Bara Ibn Khadimou Rassoul, et père de l’actuel khalife de Touba, attire chaque année des milliers de pèlerins.
Le monde entier commémore le 25 novembre: journée de l’élimination de la violence contre les femmes en souvenir des 3 sœurs Mirabal de la République dominicaine. En 1960, elles furent kidnappées par les agents des services secrets du dictateur Trujillo et assassinées. En 1999, l’ONU a décrété officiellement, le 25 novembre, une journée consacrée aux problèmes de violences contre les femmes. Cette violation des droits de l’Homme est la violation la mieux partagée au monde puisqu’environ 70% des femmes ont été victimes de violence et selon les statistiques de l’ONU une femme sur trois a au moins une fois dans sa vie subi un acte de violence. Partout dans le monde, les femmes sont maltraitées, victimes de coups et blessures et d’harcèlement sexuel.
Le vaillant peuple de la République sœur de Centrafrique ne mérite pas l’indifférence de leurs frères africains ! Qu’il s’agisse des victimes civiles des milices musulmanes de l’ex-Seleka ou des martyres des chrétiens-animistes, porteurs de fétiches, anti-Balaka. La vie humaine est d’égale valeur. Mais la dure réalité de ce conflit ethnico-religieux est que les commerces tenus par les musulmans centrafricains ont presque tous été pillés voire incendiés.
Les Mourides sont l’une des principales confréries musulmanes du Sénégal. Fondée à la fin du XIXe siècle par le Cheikh Amadou Bamba à Touba, la confrérie jouit d’une considérable influence économique, politique et sociale dans le pays et en Afrique de l’Ouest. Les “sérignes”, marabouts musulmans faisant office de guides spirituels, sont des personnages respectés et écoutés. Fortement ancrée dans les traditions musulmanes du Sénégal, certains membres de la communauté mouride se sont néanmoins tournés vers le web pour y diffuser leurs préceptes. Le mouridisme a toujours été communautaire par nature, mais s’est adapté aux évolutions de la société.
L'opportunité de mettre en place une structure comme le Sénat dans un pays qui a opté pour la décentralisation ne fait l’objet d’aucun doute pour le leader du Rassemblement pour le socialisme et la démocratie/’Takku Défarat Sénégal’. Par contre, pour Robert Sagna, le fait que le président de la République nomme 65 sénateurs sur les 100 pose problème. Selon lui, c’est l'inverse qui aurait été plus démocratique. C'est donc moins l'opportunité que la manière qu’il conteste. Wal Fadjri : Pourquoi en tant que parti membre de l'opposition, vous avez participé aux élections sénatoriales ?
La Ligue démocratique/Mouvement pour le parti du travail (Ld/Mpt) du département de Bignona craint que la guerre qui oppose, au niveau du front Nord du maquis, les éléments de Salif Sadio à ceux de Ismaïla Magne Diémé ne constitue une entrave grave aux activités des partis politiques dans cette parti edu Fogny. Selon le secrétaire général de la Fédération départementale des Jallarbistes de Bignona, Seydou Sagna, qui animait un point de presse, hier, à Ziguinchor, «la guerre fratricide entre factions rivales du Mfdc, dans le département, bloque l’évolution des hommes politiques (…) et inhibe nos ardeurs politiques dans certaines communautés rurales, comme celle de Djibidione, car la situation est incontrôlable».