Après la publication des résultats provisoires du scrutin présidentiel par la Commission nationale de recensement des votes, le Conseil constitutionnel invite les candidats désirant déposer une requête à...
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Après la publication des résultats provisoires du scrutin présidentiel par la Commission nationale de recensement des votes, le Conseil constitutionnel invite les candidats désirant déposer une requête à...
On n’est pas loin d’une crise entre le pouvoir Législatif et le pouvoir Judiciaire.
Réglons d’abord un cas flagrant de manipulation.
Après la publication des résultats provisoires du scrutin présidentiel par la Commission nationale de recensement des votes, le Conseil constitutionnel invite les candidats désirant déposer une requête à...
On n’est pas loin d’une crise entre le pouvoir Législatif et le pouvoir Judiciaire.
Le Groupe de recherche et d'appui-conseil pour la démocratie participative et la bonne gouvernance (Gradec)
En prélude à la marche qu'ils comptent organiser ce vendredi 25 janvier, les jeunes de l’opposition ont fait face à la presse à la permanence nationale du Parti démocratique sénégalais (Pds).
Le Parti démocratique sénégalais (PDS) est plus que jamais déterminé à "imposer" la candidature Karim Wade. Ce lundi, les libéraux se sont dit sûrs de la légalité du dossier de candidature de leur candidat, déposé au Conseil constitutionnel.
Les mandataires de Pape Diop sortent du Conseil constitutionnel perplexes
En conférence de presse ce lundi, les leaders de l’opposition réunis autour du Front de résistance nationale (FDR) ont annoncé qu’ils vont introduire un recours au Conseil constitutionnel ce mardi pour l’annulation de l’arrêté du ministre de l’Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye, sur le parrainage.
Coup d'Etat raté en Turquie: 42 morts dans les affrontements... Erdogan promet une «purge» chez les militairesMONDE Suivez la situation en direct...
Moussa Tine, Directeur général de l’Entente Cadak-car, soutient que le Conseil constitutionnel s’est prononcé sur une matière sur laquelle il s’était déclaré incompétent au temps du régime de Me Abdoulaye Wade. Il ajoute que le texte du projet de réforme qui a été proposé par le chef de l’Etat est «mal écrit».
Le magistrat Mohamed Sonko, membre du Conseil constitutionnel sénégalais, est décédé ce samedi à Paris (France) où il était en déplacement "depuis quelques jours", a annoncé à l'APS Babacar Faye, gestionnaire de cette juridiction, confirmant une information auparavant relayée par des médias sénégalais.
Le recours introduit par la coalition Bokk Gis Gis de Pape Diop et cie a été jugé recevable par le Conseil constitutionnel aujourd'hui. En effet, le président du Sénat et les membres de sa coalition avaient exigé auprès du Conseil constitutionnel le retrait des effigies du président de la République, dénonçant, à juste raison, l'immixtion de l'Exécutif dans le législatif. Abdou Fall, porte-parole de la coalition Bokk Gis Gis avait même ironisé en demandant au président de la République, qui ne faisait pas confiance à sa liste pour les législatives en s'immisçant ainsi dans la campagne, de se démettre et de se présenter à la place de ses coalisés. Le Conseil constitutionnel vient donc de donner raison à Pape Dip et cie en demandant le retrait des images du président de la République de la campagne de sa coalition, Benno Bokk Yakaar. On se souvient qu'en 2001, le même problème s'était posé avec les images du président sortant Abdoulaye Wade, apposées sur les affiches de sa coalition (Les Forces alliées pour alternance -Fal 2000) et même les bulletins de vote de ladite coalition. Le Conseil constitionnel avait alors aussi tranché en faveur de l'opposition d'alors et demandé le retrait des images du président de la République d'alors dans la campagne législative. Ce qui avait valu à l'institution judiciaire suprême une lettre très salée de Me Abdoulaye Wade qui récusait la décision du conseil, même s'il a fini, contre mauvaise fortune bon coeur, par s'y plier.
Après la présentation, samedi 15 octobre à Dakar, du directoire de campagne d’ Idrissa Seck, des jeunes de « Rewmi » sont montés au créneau pour annoncer qu’ils vont s’ériger en bouclier des sages du conseil constitutionnel.
L’heure est grave. Harcelés par les opposants à la candidature de Wade pour un troisième mandat, mis sous pression (calculée) par le camp présidentiel, maltraités dans les médias, les « cinq sages » du conseil constitutionnel vivent comme un enfer.
Sud quotidien a appris que le retour de l’ancien Premier ministre Idrissa Seck , au plus haut niveau de l’Etat, ne devrait pas tarder à se faire. Nos sources indiquent que ce retour passera par une importante modification de la Constitution qui devrait introduire dans l’armature institutionnelle du Sénégal le poste de vice-président de la République. Un projet de loi qui est en préparation depuis six mois a été validé par le chef de l’Etat et l’ancien Premier ministre au cours d’un dîner qui a eu lieu au Palais de la République au cours de la semaine dernière. Ce dîner qui a réuni en tête-à-tête pendant cinq heures d’horloge Abdoulaye Wade Idrissa Seck a permis aux deux hommes de définir et de préciser les termes de leurs retrouvailles.
S'il n'y a plus d'élections législatives le 25 férvrier prochain, c'est la faute à l'opposition qui doit s'en prendre à elle même. C'est l'avis de Djibo Leïty Kâ.Le leader de l'Urd estime qu'en introduisant le recours en annulation du décret présidentiel portant repartition des sièges à l'Assemblée nationale, le Ps et la Ld/mpt devaient s'attendre aux conséquences politiques et juridiques d'un tel acte.Suffisant pour que DLK affirme que l'opposition ne voulait pas d'élections législatives le 25 février. Après avoir théorisé le couplage des élections contre vents et marrées, Djibo Leïty Kâ se fait maintenant l'avocat défenseur du découplage.