La Commission de recours de la Fédération sénégalaise de football (FSF) s’est réunie le 27 août 2025, pour examiner le recours introduit par Mady Touré, président de l’académie Génération Foot et candidat au poste de président de la FSF.
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La Commission de recours de la Fédération sénégalaise de football (FSF) s’est réunie le 27 août 2025, pour examiner le recours introduit par Mady Touré, président de l’académie Génération Foot et candidat au poste de président de la FSF.
Les élections de la Fédération Sénégalaise de Football (FSF) du 2 août n’ont pas fini de faire parler.
La Fédération nigérienne de football (FENIFOOT) vient d’officialiser le choix de son avocat, dans le dossier qui l’oppose à plusieurs contestataires, devant le Tribunal arbitral du sport (TAS) de Lausanne.
Dans un texte intitulé Ayons le courage de dialoguer sur l’essentiel !, Pape Alé Niang, directeur général de la RTS, interpelle les acteurs politiques sur la nécessité d’une réforme profonde du système politique sénégalais.
Le maire de la ville de Dakar, Barthélémy Dias ne devrait pas considérer la décision du préfet de Dakar concernant sa révocation.
La compression des délais et la suppression du filtre du parrainage font émerger le spectre des législatives de 2017 bis avec une pléthore de listes (47 au total).
Pour Donald Trump, le leadership américain se paie argent comptant.
En brandissant son balai mystique lors de la campagne électorale, Bassirou Diomaye Faye promettait de se débarrasser du défunt régime, mais avec cette nouvelle reconfiguration politique, une bonne partie de ses challengers, -les papys en tout cas-, risque de déposer leurs armes.
Après Babacar Fall qui s’est prononcé sur les réformes annoncées du système électoral, au tour de Ibrahima Hamidou Dème de donner son éclairage sur la volonté du Président Bassirou Diomaye Faye d’entreprendre “des réformes pour redorer le blason de la justice”. L’ancien Magistrat expose les réformes qui lui paraissent les plus urgentes.
Environ 7,3 millions d’électeurs sénégalais (sur 18 millions d’habitants) sont appelés aux urnes, ce dimanche 24 mars 2024, pour élire le cinquième président de la République
« Diomaye moy Sonko ».
Le brouillard plane sur l’avenir politique du Sénégal. Alors que le dialogue national a proposé le 2 juin pour la tenue de l’élection présidentielle, le chef de l’État sortant a juré, ce jeudi, qu’il va quitter ses fonctions le 2 avril.
Le Président Macky Sall estime qu’il est le seul détenteur de la prérogative de choisir la date de la présidentielle.
Le Sénégal, naguère cité en exemple de démocratie en Afrique, a connu un mois de février 2024 tumultueux avec le projet de report de la présidentielle initialement prévue le dimanche 25 février 2024.
Le Conseil constitutionnel a annulé le décret reportant la présidentielle et la loi, adoptée par l’Assemblée nationale, fixant le scrutin au 15 décembre.
Le candidat à l’élection présidentielle 2024, Malick Gackou, invite Amadou Ba, candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar à se prononcer sur sa nationalité et à publier son quitus fiscal.
Les responsables politiques de la coalition Benno Bokk Yaakaar de Kaffrine saluent l’initiative du Président Macky Sall...
« Pas de dialogue, tant que le calendrier républicain n’est pas respecté ». Tel est la position du leader de la coalition Khalifa Président. Ce dernier a, lors d’une conférence de presse
Pour la première fois de son histoire, le Sénégal vient de reporter sine die son plus grand et important calendrier Républicain : les élections présidentielles devant se tenir le 25 février 2024.
Ils l’avaient dit, ils sont passés à l’acte !