💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Les clients à destination de Touba ne manquent pas à la gare routière de Sedhiou.
Le président de Goudomp Debout, a retrouvé sa base et ses proches hier samedi après 9 mois passés en prison.
Le covoiturage est un système qui a fini par être adopté par les Dakarois.
Les acteurs politiques courtisent la jeunesse sénégalaise. A peine le conseil présidentiel tenu ce jour sur la thématique de l'emploi des jeunes...
C’est parti pour une hausse vertigineuse des prix du transport entre Kaolack et Touba
A moins de vingt quatre heures de la célébration du départ en exil
Dans les marchés Sénégalais, et particulièrement Dakarois, les petites gargotes sont toujours aux alentours. Elles sont souvent destinées aux commerçants et travailleurs de ces marchés. Pour ne pas perdre du temps et regagner à leurs activités, les clients eux, préfèrent déjeuner dans ces restos du marché. Nous nous sommes rendus au marché Colobane et là, les restauratrices ne se plaignent pas.
Suite à leur arrestation après une course-poursuite avec un chauffeur de taxi occasionnant la mort de deux personnes sur la route de Tivaouane, le 2 mars dernier, le policier Mamadou Lamine Kane en service au commissariat de Tiavouane reste en détention à la Maison d’arrêt et de correction de Tivaouane, alors que les deux coxeurs (rabatteurs) ont été relaxés.
L’Agence nationale pour la Promotion de l’Emploi des Jeunes (ANPEJ) en partenariat avec l’Etat-major des Armées du Sénégal, a organisé hier à Ouakam, au siège de Bataillon du train, une cérémonie de remise d’attestations et de permis aux récipiendaires de la deuxième session du programme de formation en conduite automobile.
Un nouveau drame de la route a coûté la vie à deux personnes, hier, sur la route de Tivaouane, à hauteur de Koudiadiène.
Voir Dakar et mourir ! Voilà comment pourraient s’exclamer les Sénégalais qui, après de longues années passées à l’étranger, voient leur euphorie de retrouver la terre de leurs ancêtres douchée dès qu’ils foulent le sol de Dakar par l’aéroport Léopold Sédar Senghor.
La fièvre hémorragique à virus Ebola hante le sommeil des sénégalais, surtout ceux des régions périphériques non loin de la Guinée où l’épidémie continue de faire des victimes. Si aucune personne atteinte du virus n’a été signalée, Ebola a tout de même ralentit les activités du marché hebdomadaire de Diaobé (région de Kolda) que fréquentent des milliers de personnes venues des quatre coins du Sénégal ainsi que des pays voisins, notamment la Guinée. Reportage.
La gare des Beaux maraîchers s’ouvre lundi après moult péripéties. Et la fermeture de Pompiers met fin à l’anarchie dans le secteur des transports et élague de la circulation les «coxeurs».
Des membres du Regroupement des chauffeurs et transporteurs de Ourossogui (Nord) ont dénoncé mercredi "la mauvaise gestion" de la gare routière de cette ville par leur président Mamour Tall. Lors d’une marche, qui s’est déroulée dans les rues de Ourossogui
Selon le Directeur de publication de l’hebdomadaire le Témoin, le Sénégal a pris le chemin inverse de l’émergence. Pour preuve, il a cité des gens comme des griots, des marabouts, des « coxeurs » qui ne travaillent pas et qui vivent sur le dos des autres.
À Louga, le phénomène des chiens errants inquiète au plus haut point les populations. Au niveau de certaines zones du Niambour , l'insécurité a fini par devenir monnaie courante. Un phénomène qui n'a pas manqué de faire des victimes dans une ville où les services compétents n'ont pas encore amorcé le moindre acte pour éradiquer ce danger grandissant.
L’Etat, après l’ouverture de la gare routière les Baux maraîchers, va trouver le moyen d’assurer l'insertion économique des rabatteurs, communément appelés "coxeurs" ainsi que des autres intermédiaires, a indiqué lundi le directeur des transports routiers, Elhadji Seck Ndiaye Wade.
Depuis ce lundi 12 août 2013, le Syndicat National des Travailleurs des Transports Routiers du Sénégal (SNTTRS/CNTS) dirigé par M. Alassane Ndoye, observe une grève de 48 heures, sur l’ensemble du territoire national.
Après quelques quatre jours d’offensive franco malienne contre les jihadistes qui ont conquis le Nord Mali, à la frontière sénégalo-malienne c’est l’indifférence totale. Seulement, le trafic commence à en ressentir les effets.
C’est à se demander si la grande agglomération dakaroise ne sera pas déserte le jour de l’Aïd el Kébir communément appelée Tabaski au Sénégal. On dirait que personne ne compte rester à Dakar qui se vide depuis de plus en plus de ses habitants
