Le Syndicat des travailleurs de la Sonatel (SYTS) a tenu son 9ème congrès ce samedi 13 décembre
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Le Syndicat des travailleurs de la Sonatel (SYTS) a tenu son 9ème congrès ce samedi 13 décembre
Dakar, 1er novembre 2025 – Le parti Taxawu Senegaal, dirigé par Khalifa Ababacar Sall, a tenu ce samedi la première réunion de son Secrétariat politique national provisoire à son siège de Keur Idrissa Diallo, à Sacré-Cœur. Une rencontre stratégique qui, selon ses responsables, marque une étape décisive dans la consolidation de la vision et de l’engagement du mouvement au service du Sénégal, de la démocratie et de l’État de droit.
Le Groupe La Poste est dans une situation de décrépitude presque totale. Ce lundi, durant un conseil ministériel qui lui a été consacré, les chiffres révélateurs de la déchéance de la société ont été dévoilés. Au terme de la réunion dirigée par le premier ministre Ousmane Sonko, la primature a renseigné, dans un document rendu public, que l’analyse de la période 2012-2025 révèle une dégradation continue des fondamentaux de la boîte.
L’horizon budgétaire (une année) est trop court-termiste pour permettre de déceler des tendances de ruptures substantielles.
Le gouvernement a tenu, ce jeudi, une conférence de presse destinée à dresser un état des lieux de la situation économique du pays, marquée par des défis importants. Le ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération, Abdourahmane Sarr, a pris la parole pour exposer les mesures envisagées afin de redresser la barre.
Le Président Macky SALL inaugure les infrastructures réalisées sous son magistère. Il n’a pas croisé les bras. Il a fait, même beaucoup fait, peut-être même a-t-il fait beaucoup plus que ses prédécesseurs réunis...
L’Assemblée nationale, les Centrales syndicales, et les Partis de Gauche sont interpelés par les dispositions prévues dans le Projet de Loi des Finances 2015 encours d’examen par nos Députés.
Le Maroc est déterminé à assurer le bon démarrage et l'opérationnalisation réussie du fonds Africa50 pour le financement des infrastructures en Afrique, une innovation de la Banque africaine de développement (BAD), a affirmé lundi le ministre marocain de l’Economie et des Finances,
L’audit physique et biométrique des agents de l’Etat contribue à la modernisation de la Fonction publique sénégalaise, selon Abdoulaye Guèye, directeur de cabinet du ministre de la Fonction publique, du Travail, du Dialogue social et des Organisations professionnelles.
Le président de la République a présidé, le 16 décembre 2013, un Conseil présidentiel sur « la 4ème revue trimestrielle de suivi des politiques économiques et sociales ». Dans ce cadre, il a annoncé plusieurs mesures, notamment la suppression de quatre agences, pour les regrouper en une seule, qui prendrait en charge la lancinante question de l’emploi des jeunes.
La masse salariale totale versée au personnel du secteur informel non agricole se chiffre à 600 milliards FCFA (environ 1,200 milliard de dollars), a appris APA jeudi auprès de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD).
Le secteur informel doit être régulé et encadré. Dans un contexte où le souci majeur des dirigeants est la création de l’emploi, le dynamisme du secteur indique des voies. Mais pour mieux les exploiter, l’Etat doit s’impliquer dans la formation des acteurs, et la formalisation de certaines de leurs activités, afin que l’économie nationale en tire le plus grand des bénéfices.
France Terre Asile gère, dans son programme d'autonomisation des régularisés de l'Asile, 200 immigrés dont 190 sont des Africains subsahariens. Parmi ces 200 personnes, il y a 28 Sénégalais dont deux couples. Le directeur de ce programme, Lamine Diouck revient dans cette interview sur les conditions des immigrés en France et en Espagne et explique les différents services qu'offre son programme pour mieux intégrer les immigrés.
Si la télévision nationale était à la hauteur de sa mission de service public, il lui arriverait, de temps en temps au moins, de prendre ses responsabilités et de censurer notre président manifestement vieillissant. Ce serait salutaire pour lui-même et pour l’image de plus en plus écornée du pays. Un de ses plus ardents défenseurs, le Pr Iba Der Thiam, invité du journaliste Oumar Gning à l’Émission « Opinion » de la radio Walf Fm du dimanche 15 juillet 2007 affirmait, sans sourcilier, que « le président Wade ne parle que quand c’est nécessaire ». Nous sommes en démocratie, même tropicale. Chaque citoyen est donc libre de ses choix et de ses propos.
Dakar, 9 fév (APS) – Le président Abdoulaye Wade a préconisé lundi à Dakar l’instauration en Afrique d’un système de retraite par capitalisation, estimant que ce mécanisme permettra d’assurer une couverture retraite même aux acteurs de l’économie informelle et des professions libérales. M. Wade a défendu l’idée d’un système de retraite ‘’avec un dispositif relevant de la technique de capitalisation’’, soulignant que celui-ci aura l’avantage d’améliorer la couverture retraite des travailleurs africains. ‘’Ce nouveau système basé sur la capitalisation permettra d’améliorer les pensions de retraite des travailleurs déjà couverts par les régimes en vigueur en développant l’épargne salariale’’, a-t-il dit.
L’histoire aurait nourri un scénario de série B dans une République bananière et fait rire dans les chaumières si elle n’était grave. Un « rapport d’audit de gestion » de 49 pages et d’une vingtaine d’annexes, remis aux autorités le 20 mai 2005 par Mazars Sénégal, le cabinet associé de Mazars et Guérard, raconte par le menu la mise à mort de la plus importante unité industrielle du pays. Fleuron de l’économie nationale, les Industries chimiques du Sénégal (Ics) au capital social de 130 milliards de francs Cfa (environ 200 millions d’euros) sont aujourd’hui au plus mal. Cette entreprise, qui fabrique de l’acide phosphorique, du phosphate, des engrais, des produits phyosanitaires… compte 2500 employés permanents, 4000 journaliers et fait travailler 6000 personnes dans des activités dérivées. D’un bénéfice net de 18 milliards FCFA en 1999, elle est passée à un déficit de 54 milliards de FCFA à la fin de l’exercice 2004. Le gouffre ne cesse de se creuser ; plus de 70 milliards de FCFA, aujourd’hui.