« L'heure n'est plus aux demi-mesures. Face à la crise étudiante sans précédent, symbolisée par des mois d'arriérés de bourses, il est impératif de réviser l'affectation des ressources publiques pour refléter les véritables priorités de la Nation »
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
« L'heure n'est plus aux demi-mesures. Face à la crise étudiante sans précédent, symbolisée par des mois d'arriérés de bourses, il est impératif de réviser l'affectation des ressources publiques pour refléter les véritables priorités de la Nation »
Le Mouvement des étudiants Jëf Jël apporte son soutien total et inconditionnel aux étudiants en grève pour le paiement intégral et sans délai de leurs bourses.
« JE VOTE POUR LA PAIX EN CASAMANCE EN 2012 », est l’intitulé de la pétition internationale lancée par votre organisation depuis le 16 juin. Vous avez recueilli à ce jour plus de 13 000 signatures. Quelle lecture faites vous de cette adhésion massive des sénégalais, particulièrement des casamançais à cette pétition ?
Me Wade, a-t-il peur de partager le même toit que ses détracteurs ? En tout cas, cette question est sur toutes les lèvres dans la capitale orientale, suite au faux bond du Pape du Sopi. Me Abdoulaye Wade, qui était attendu ce week-end à Tambacounda, dans le cadre de l’inauguration de la route nationale numéro 1 Kaolack-Mbirkilane-Tamba, n’a finalement pas fait le déplacement.
Me Wade, a-t-il peur de partager le même toit que ses détracteurs ? En tout cas, cette question est sur toutes les lèvres dans la capitale orientale, suite au faux bond du Pape du Sopi. Me Abdoulaye Wade, qui était attendu ce week-end à Tambacounda, dans le cadre de l’inauguration de la route nationale numéro 1 Kaolack-Mbirkilane-Tamba, n’a finalement pas fait le déplacement. Khoureychi Thiam, responsable de la fédération départementale du Pds, a tenté de meubler ce faux bond de Wade, en organisant un meeting qui a été tout bonnement boycotté par la commune. Au même moment, deux détracteurs de Wade pour 2012, Talla Sylla et Macky Sall, mobilisaient à Tambacounda.
Quelques jours après son élection en remplacement du très bouillonnant Amath Dansokho, Magatte Thiam ouvre au « Soleil » les chapitres de sa vie de militant engagé pour la cause du peuple. Il a ce sourire qui fait l’originalité des âmes nobles. Un sourire qui invite à l’échange. Un sourire propre aux personnes poursuivant un idéal. Cet idéal qui a fortement influencé toute une génération d’hommes et de femmes nés avant les indépendances. Magatte Thiam, le nouveau Secrétaire général du Parti de l’indépendance et du travail (Pit), est un idéologue. Pur et dur
LES élites politiques traditionnelles ont du souci à se faire. C’est connu, la société sénégalaise a un saisissant côté gérontocratique, symbolisé par le fameux « droit d’aînesse » devenu, par la force de la tradition, un élément fondateur dans le champ des relations sociales. Profondément ancré dans une sorte de Code civil mental des Sénégalais, l’âge accorde, le plus souvent, la prééminence à l’heure du choix. Chez les musulmans, le califat revient de droit au plus âgé de la famille maraboutique, alors que les hautes charges dans le clergé requièrent des décennies de sacerdoce au service de l’Eglise.
Hier, jusqu’à une heure du matin, la maison de Macky Sall refusait du monde. Ses avocats et son parti politique y tenaient un point de presse pour dénoncer «les tentatives de liquidation» et la calomnie. Ils appellent aussi à la mobilisation contre «l’autoritarisme». C’était le premier épisode d’un feuilleton politico-judiciaire qui s’annonce. Clap ! Une dame en sanglot, aux formes plantureuses, sanglée dans un grand boubou rouge franchit le portail de la résidence de Macky Sall. Laobé Fatick, comme l’appelle les militantes venues aux nouvelles, est juste une figurante dans le nouveau feuilleton politico-judiciaire annoncé il y a quelques heures par un communiqué du ministère de l’Intérieur, mettant en cause le président de l’Apr/Yaakaar dans une affaire de blanchiment d’argent
L'affaire relative à l'agression de Talla Sylla, classée sans suite, va refaire surface. C'est, en tout cas, le souhait des jeunes du Mouvement des élèves et étudiants du Jëf/Jël (Meejj) qui ont décidé de contacter les organisations et les hommes qu'il faut pour que justice soit faite. ‘Nous demandons à la société civile et à toute autre organisation éprise de justice à se mobiliser comme un seul homme pour qu'il y ait procès de l'affaire Talla Sylla’. Cet appel est du président du Mouvement des élèves et étudiants du Jëf jël (Meejj), Ousmane Ndiaye, non moins membre du bureau politique du Jëf/Jël, qui faisait, hier, face à la presse au siège de son parti. Ainsi, ces jeunes du parti de Talla Sylla ont-ils décidé de relancer le dossier relatif à l'agression survenue en octobre 2003 contre leur leader.
Le Sénégal, « modèle » de démocratie en Afrique depuis l'avènement de l'alternance en 2000, fera son test de grandeur ce 25 février 2007. Mais, à trois jours de ce grand rendez-vous, c'est la montée en puissance de la violence entre libéraux, et ceux qui veulent les bouter hors du palais présidentiel. Et même entre partisans de Me Wade. Un tableau qui annonce comme l'odeur âcre des lacrymogènes dans nos ruelles, la semaine prochaine. Attention ! Arrêtez vos querelles de chapelles. A défaut d'un Sénégal « Rose », nous ne voulons que la paix. Le « Jamm » légendaire doit prévaloir pour toujours.
Dakar, 4 fév (APS) - A 41 ans, le président de l'Alliance Jëf-Jël, Talla Sylla, présent sur la scène politique sénégalaise depuis plus de 20 ans, se lance à la conquête de la magistrature suprême pour la première fois sous la bannière de sa propre formation. Lors de l'élection présidentielle de mars 2000, Talla Sylla avait décidé de se présenter contre Abdou Diouf. Mais, âgé de moins de 35 ans, il ne pouvait franchir l'écueil que constituait la limite d'âge des candidats, définie par le code électoral. Ce faisant, à l'issue d'un vote au sein de son parti, les militants portent leur choix sur Moustapha Niasse, secrétaire de l'Alliance des forces de progrès (AFP), qui arrive en troisième position derrière Diouf et Abdoulaye Wade.
Dans l’interview qu’il a accordée hier au quotidien Le Populaire, le Porte-parole du leader de Rewmi, Omar Sarr confirme les tentatives d’assassinat contre Idrissa Seck et revient également sur la tournée de ce dernier dans la sous-région, entre autres questions. Omar Sarr parle aussi des listes que Rewmi va présenter lors des prochaines élections. Pour dire que celles-ci vont comporter beaucoup de surprises. Est-ce qu’on peut savoir comment se porte Rewmi, à moins de trois mois des élections ? Je crois que Rewmi se porte très bien. A peine né, nous avons déjà atteint une maturité assez considérable, vu le nombre de militants qui affluent de partout. Mais cela n’est pas surprenant, parce que la création du parti n’est que l’aboutissement de multiples
Le Mouvement des élèves et étudiants du Jëf-Jël ne sont pas intéressés par une alliance entre leur parti et le Rewmi d'Idrissa Seck. Le Meejj est formel : ‘Nous ne sommes pas interéssés par cette alliance. Ce qui nous préocupe c'est de trouver des voies et moyens possibles pour porter au pouvoir notre candidat Talla Sylla, renseigne le president du (Meejj), Ousmane Ndiaye. Selon lui, le leader du Jëf/Jël est le seul candidat qui a les ‘mains propres’. Il invite, à cet effet, les jeunes à faire la part des choses entre ‘ceux qui ont eu à exercer le pouvoir, impliqués dans des nébuleuses et celui qui a les mains propres’.
Le leader de l’AFP a décidé de ne pas jouir de la prolongation de la législature. Une posture qui tranche avec la quasi-unanimité des parlementaires de l’opposition. Il se donne ainsi les moyens d’être seul face à son principal adversaire pour la présidentielle de février 2007. Il l’avait annoncé, il l’a fait. Moustapha Niasse ne siègera plus à l’Assemblée nationale au-delà du 30 juin 2006. Dans une correspondance adressée au président de l’Assemblée nationale, il annonce à celui-ci qu’il «considère qu’à compter [du 30 juin 2006], [son] mandat de Député [prend] fin, pour la présente législature». En effet, la législature aurait dû s’achever à cette date-ci, si l’Assemblée nationale n’avait pas voté positivement le projet de loi gouvernemental de couplage des législatives avec la présidentielle de février 2007.
Le militant du Jëf-Jël, Ousmane Diop, par ailleurs président d’une association à Toulouse, a chèrement payé son refus d’accepter le deal qui lui a été, dit-il, proposé par le Consul du Sénégal à Bordeaux, Momar Thiam. Ce dernier aurait, en effet, ordonné la bastonnade de son compatriote par les limiers français. Ainsi, cette affaire atterrit devant la Justice car, les avocats de M. Diop ont déposé une plainte, hier. Le Sénégal s’est donné en spectacle, vendredi dernier, dans la ville de Toulouse, en France, où la commission d’inscriptions sur les listes électorales devrait siéger.