Fonds souverains africains : amortisseurs budgétaires et leviers de diversification
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Fonds souverains africains : amortisseurs budgétaires et leviers de diversification
Alors que plusieurs pays africains ont opté pour la création de fonds souverains – outils censés stabiliser leurs économies, lisser les revenus volatils ou investir dans des projets d’avenir – le Sénégal, pourtant engagé dans une dynamique extractive avec l’arrivée imminente des premiers revenus pétro-gaziers, ne dispose toujours pas d’un tel instrument. Cette absence interroge à l’heure où les débats sur la gestion stratégique des excédents budgétaires, des ressources naturelles et des capacités d’investissement à long terme s’intensifient sur le continent.
Depuis l’adoption de la loi de finances 2025 en décembre dernier, les autorités sénégalaises entendent concrétiser, dès cet été, une mesure qui pourrait redéfinir les contours du financement public : l’émission d’obligations réservées aux Sénégalais vivant à l’étranger.
Alors que le Sénégal s’apprête à entrer dans une nouvelle phase de son développement à travers le Plan Sénégal 2050, les défis énergétiques et budgétaires auxquels il fait face ne cessent de se complexifier. Dans l’ombre des grands projets d’infrastructures et des ambitions de souveraineté énergétique, une question revient avec insistance dans les cercles d’experts : qui paie la transition énergétique ? Et à quel prix ?
Malgré les engagements pris lors des dernières Cop, l’Afrique reste sous-financée face aux défis climatiques.
Au-delà des infrastructures physiques, l'intégration africaine nécessite aussi une mise à jour de son logiciel, son « software », avec la mise en œuvre de solutions destinées à moderniser l’expérience du commerce transfrontalier.
« Le Sénégal n'est la chasse gardée de personne, si ce n’est celle du peuple sénégalais qui, seul, est habilité à veiller à ses intérêts.
« L’Afrique a besoin de plus de liquidités moins chères pour suppléer les ressources des marchés devenues inaccessibles et pour financer son développement »
Le président du Groupe de la Banque africaine de développement, M. Akinwumi Adesina, a nommé l’ancien ministre de l’Économie, du plan et de la coopération du Sénégal, M. Amadou Hott, comme son envoyé spécial et ambassadeur mondial pour l’Alliance pour l’infrastructure verte en Afrique (AGIA)...
En seulement quatre années, Wave a bousculé le marché du mobile money au Sénégal et en Côte d’Ivoire
« des sociétés constituées par des particuliers afin de faciliter l’investissement via une première offre publique de vente (IPO) »
Les dirigeants africains savent ce qu'ils doivent faire pour...
Le président de la République, qui ambitionne ‘‘de numériser et de digitaliser le Sénégal au profit de tous’’, a demandé à la Sonatel et aux autres opérateurs de téléphonie de baisser le coût d’accès à internet.
Aujourd’hui, l’Afrique est à présent la « nouvelle frontière », au même titre que la Chine il y a une vingtaine d’années. Le monde entier regarde vers le continent qui affiche, depuis une quinzaine d’années, un taux de croissance économique moyen de 5% par an alors que les pays avancés montrent des signes d’essoufflement.
La question de la souveraineté monétaire des Etats africains membres de la Zone Franc est un débat récurrent et souvent biaisé, parce qu’à sens unique et à charge. Des critiques virulentes sont ainsi régulièrement formulées par certains activistes et des économistes francophones africains vis-à-vis du Franc de la Communauté Financière Africaine et du Franc de la Coopération Financière Africaine
La première émission de sukuks de l’Etat ivoirien a rencontré un vif succès. Ce pays d’Afrique de l’Ouest a réussi à récolter 150 milliards de francs CFA (environ 245 millions de dollars) sur le marché régional de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) grâce à une émission d’obligations islamiques (...)
-ABIDJAN-La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) a clôturé sa séance du lundi 11 août 2014 en hausse par rapport à la séance précédente. L’indice BRVM 10 est passé de 255,89 à 260,69 points, soit une progression de 1,88%. L’indice BRVM Composite, pour sa part, a gagné 1,43% à 245,31 points contre 241,84 précédemment. La valeur des transactions s’est établie à 768,52 millions de FCFA contre 1,03 milliard de FCFA vendredi dernier.
Un nouveau rapport conjoint de la Banque africaine de développement (BAD) et de Global Financial Integrity (GFI) recommande aux gouvernements africains d’exiger des banques et des paradis fiscaux des informations détaillées, pour endiguer le phénomène de la fuite des capitaux hors du continent.
Un nouveau rapport conjoint de la Banque africaine de développement (BAD) et de Global Financial Integrity (GFI) recommande aux gouvernements africains d’exiger des banques et des paradis fiscaux des informations détaillées, pour endiguer le phénomène de la fuite des capitaux hors du continent.
En poste au Sénégal depuis août 2012, Son Excellence Pieter Jan Kleiweg De Zwaan est déjà très bien imprégné des dossiers de coopération entre son pays et le Sénégal. Il n’occulte pas aussi les questions de l’heure comme l’homosexualité, la crise au Mali, les tensions en Guinée Conakry, un pays dont il est aussi le représentant des Pays-Bas en plus de la Mauritanie, du Cap-Vert, de la Gambie et de la Guinée-Bissau. Invité de la Rédaction du Soleil, la semaine dernière, il a été reçu par Amadou Fall, Conseiller spécial du Directeur général, et Daouda Mané, Rédacteur en chef central adjoint. Il nous livre ses points de vue sur certaines questions d’actualités.