Présidentialisation du régime, autorité de l’État, réformes sociétales radicales... Trente ans après la déposition de Bourguiba, le style de gouvernance de Béji Caïd Essebsi rappelle de plus en plus celui de son mentor.
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Présidentialisation du régime, autorité de l’État, réformes sociétales radicales... Trente ans après la déposition de Bourguiba, le style de gouvernance de Béji Caïd Essebsi rappelle de plus en plus celui de son mentor.
Il participait à un marathon humanitaire dans le gouvernorat de Nabeul lorsqu’il a fait un malaise. Transporté d'urgence à l'hôpital militaire de Tunis, le ministre tunisien n'a pu être sauvé.
Les violences régulières auxquelles sont confrontées les forces de l'ordre tunisiennes ont fait ressurgir un texte polémique au Parlement, qui inquiète les défenseurs des libertés individuelles.
Un Code des libertés individuelles : cette proposition constitue, avec l’abrogation de la fameuse loi 52, la mesure-phare révélée dimanche 19 février par le président tunisien Béji Caïd Essebsi au cours de son interview télévisée sur la chaîne Nessma.
Sans grande pompe ni ramdam médiatique, Mehdi Jomâa a évoqué ce dimanche à Monastir la formation d’un nouveau parti politique.
Trois cent quatre-vingts jours après être arrivé à la tête de la Sûreté nationale (DGSN), Abderrahmane Belhaj Ali a rendu son tablier, en expliquant qu’il lui était « impossible de travailler dans les conditions actuelles ».
Le directeur général de la Sûreté nationale, Abderrahmane Belhaj Ali, nommé il y a un an dans le cadre d'une réorganisation de l'appareil sécuritaire en Tunisie, a démissionné jeudi pour "raisons personnelles", a indiqué le ministère de l'Intérieur.
Âgé de 41 ans, le nouveau chef de gouvernement a prêté serment samedi. À la tête d'un cabinet féminisé, il aura la charge de remettre sur pied un pays miné par les problèmes économiques.
Plus jeune Premier ministre de l’histoire moderne de la Tunisie, Youssef Chahed tranche avec le profil des autres dirigeants récents du pays, mais le dynamisme qu’on lui prête pourrait se heurter à une marge de manœuvre réduite.
Le gouvernement d’union tunisien de Youssef Chahed prend ses fonctions lundi et devra rapidement donner des gages sur sa capacité à redresser un pays au bord de l’asphyxie économique cinq ans après la révolution.
Le Premier ministre désigné Youssef Chahed a dévoilé samedi la composition du gouvernement d’union tunisien qu’il a promis « efficace » pour redresser l’économie et redonner espoir à la population, cinq ans après la révolution.
Le président tunisien Beji Caïd Essebsi a désigné mercredi Youssef Chahed, ex-ministre des Affaires locales, pour constituer le nouveau gouvernement d'union nationale, a-t-on appris auprès de la réunion entre le chef d'Etat et les parties impliquées dans les concertations en la matière.
A peine désigné par le président tunisien Béji Caïd Essebsi, le nouveau chef du gouvernement d'union nationale, Youssef Chahed, a assuré mercredi que son gouvernement sera jeune et ne sera pas fondé sur les quotas partisans.
Le président de la République tunisienne Béji Caïd Esebsi a proposé lundi que Youssef Chahed dirige le gouvernement d'union nationale.
Le chef du gouvernement tunisien Habib Essid a confirmé mercredi soir, lors d'un entretien exclusif avec une chaîne tunisienne privée, avoir reçu des pressions pour démissionner de son poste afin de laisser la voie à un gouvernement d'union nationale, une initiative émanant du président de la République Béji Caïd Essebsi.
Moins d'une semaine après une attaque sans précédent contre des installations sécuritaires à Ben Guerdane, le chef du gouvernement tunisien Habib Essid a incité ses concitoyens à faire des dons au Fonds national de lutte contre le terrorisme.
Dans la nuit de mardi à mercredi 9 mars 2016, six personnes ont été tuées au cours d'opérations sécuritaires menées par les forces tunisiennes près de Ben Guerdane, dans le sillage de l'attaque jihadiste de lundi. Le Premier ministre Habib Essid a affirmé mardi que la Tunisie était en « guerre totale contre le terrorisme ». Il pourra compter sur le soutien des Etats-Unis, puisque le Pentagone confirme qu'il envisage de frapper le groupe Etat islamique en Libye.
Le Premier ministre tunisien Habib Essid a affirmé vendredi que la situation était "maîtrisée" en Tunisie, où un couvre-feu a été décrété après plusieurs jours de contestation sociale d'une ampleur inédite depuis la révolution de 2011."La situation se calme" et est "actuellement maîtrisée", a-t-il assuré à l'issue d'un déjeuner à Paris avec le président français François Hollande, avant de rentrer en Tunisie, écourtant sa tournée en Europe.
La décapitation d'un jeune berger par des jihadistes dans la région de Sidi Bouzid (centre) a provoqué colère et affliction en Tunisie, illustrant le sentiment d'abandon d'une part de la population pour qui le terrorisme s'ajoute à la misère.
Quelques centaines de manifestants et touristes se sont rassemblés mardi à Tunis pour dénoncer l'attaque sanglante du 18 mars contre le musée du Bardo dont la réouverture au public a été reportée pour raisons de sécurité.Quelques dizaines de personnes, essentiellement des guides touristiques et des journalistes, ont pu accéder à l'intérieur de l'enceinte où se trouvent le musée et le Parlement tunisien, selon une journaliste de l'AFP sur place.