Forum Invest In Senegal : « Le Sénégal a besoin d’un investissement annuel massif estimé entre 4 000 et 5 000 milliards F CFA pour la réalisation de sa vision 2050 » (Meissa Tall)
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Forum Invest In Senegal : « Le Sénégal a besoin d’un investissement annuel massif estimé entre 4 000 et 5 000 milliards F CFA pour la réalisation de sa vision 2050 » (Meissa Tall)
À l’issue de l’atelier de haut niveau OMVS – UGIH, tenu les 17 et 18 juin 2025 à Diama sous le thème « Bassin du fleuve Sénégal : espace d’opportunités pour la résilience climatique, l’emploi et l’innovation », Ibrahima Baba Sall, Président du Réseau du Bassin du Fleuve Sénégal, a livré une déclaration marquante.
Namibie: Nandi-Ndaitwah sur le point d'être la première femme investie présidente
Une agricultrice au Niger dont les champs sont desséchés à cause de la chaleur.
Vision, ambitions et œuvres d’un homme d’Etat
Macky en retard à une réunion : Le coup de fil de Macron…
La vérité ne doit pas être entachée, le monde ne doit pas être trompé et le récit sur le Xinjiang ne doit pas être déformé.
Dotation de connexion insuffisante, déficit budgétaire, retard dans la livraison des ordinateurs et des Eno… les autres maux
Alors que le Sénégal a connu plusieurs jours de troubles meurtriers, le ministre secrétaire général du gouvernement estime qu’il...
A la suite de l’Appel de Kinshasa du 28 mai 2020, je formule, comme promis, les mesures que je considère comme essentielles pour garantir une sortie de crise réussie
L’édition 2018 du rapport de la Banque africaine de développement consacrée aux Perspectives économiques en Afrique met l’accent sur la résilience retrouvée des économies africaines par rapport aux chocs mondiaux et intérieurs. Selon les projections macroéconomiques que met en relief ce rapport, la croissance s’est accélérée en Afrique en 2017 et devrait se poursuivre en 2018 et 2019. Les rédacteurs du rapport appellent les Etats à investir dans la diversification de leurs économies afin que la croissance enregistrée puisse devenir réellement inclusive.
-ABOU DHABI- La chute des prix du pétrole représente un risque pour les efforts mondiaux visant à doper la production d'énergies renouvelables et abaisser les émissions de carbone, mais peut-être aussi une opportunité, a estimé lundi la ministre française de l'Ecologie et de l'Energie, Ségolène Royal.
Sénégalaises, Sénégalais, Chers compatriotes africains, Hôtes étrangers qui vivez parmi nous, Demain, 4 avril 2010, nous célébrons dans la communion des cœurs et des esprits, le cinquantième anniversaire de l’accession de notre pays à la souveraineté internationale. Cette année sera différente des autres.En effet, après notre indépendance formelle, notre Gouvernement de l’époque avait consenti à l’ancienne puissance coloniale des bases militaires, terrestre, aérienne et navale, sur notre territoire.
L’agriculture a la cote du côté de la capitale du mouridisme, Touba. Et le Khalife général des Mourides ne rate aucune occasion pour exhorter les fidèles à un retour à la terre. En visite de courtoisie au maire Apr, Madiagne Seck, de Gossas, ce week-end, Serigne Bara a servi un vibrant plaidoyer en faveur de l’agriculture. ‘La terre ne ment pas’, dit l’adage. C’est peut-être fort de ce constat que le Khalife général des Mourides, Serigne Mouhamadou Lamine Bara Mbacké, en visite, le week-end dernier, à Gossas (région de Fatick) continuait d’exhorter les populations à un retour massif à l’agriculture pour travailler davantage la terre.
Le dernier trimestre de chaque année aura été l’un des plus difficiles pour les universités sénégalaises quant au règlement des salaires, voyages d’études des enseignants, etc. Au point que les syndicats d’enseignants n’hésitent pas à se braquer. La situation, en réalité, pose l’épineuse question du financement de nos universités, lequel est assuré à près de 100 % par l’Etat du Sénégal. Faut-il en rester là ? Sinon, comment régler cette question qui est en train de plomber les multiples efforts fournis par l’Etat, les responsables des universités et les partenaires ?