En Guinée-Bissau, la junte installe un Conseil national de transition
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En Guinée-Bissau, la junte installe un Conseil national de transition
Mali: l'objectif des jihadistes est "la chute de la junte et l'installation d'un califat", selon le chef des renseignements français
L'armée malienne a annoncé jeudi l'arrestation de six "terroristes" impliqués dans les attaques de la capitale Bamako, qui avaient fait plus de 70 morts mi-septembre, dans un communiqué.
Le 24 septembre dernier, un procès retentissant a été rouvert à Bamako, secouant la scène politique malienne. D’anciens ministres, des directeurs de services étatiques et plusieurs officiers de haut rang se retrouvent sur le banc des accusés pour répondre de leur implication présumée dans des affaires de surfacturation de contrats d’armement et de l’acquisition controversée d’un avion présidentiel. Les montants évoqués dans ces scandales atteignent des sommets : plus de 20 milliards de Francs CFA auraient été détournés, suscitant une vague d’indignation au sein de la population malienne.
Plus de vingt civils ont été tués dans un village du centre du Mali lundi lors d'une violente attaque imputée aux jihadistes actifs dans la région, un des foyers de la violence au Sahel, ont annoncé des responsables locaux.
Le personnel militaire des États-Unis sera-t-il prié de quitter le sol nigérien dans les prochaines semaines ? C’est la question qu’on se pose, depuis que la junte a décidé de dénoncer l’accord relatif à leur statut et à celui des employés civils du département américain de la Défense sur le territoire nigérien.
Au Mali, le président de la Transition, Assimi Goïta, a procédé, hier lundi 05 février, à l’installation des 140 membres du Comité de pilotage du dialogue inter-Maliens pour la paix et la réconciliation nationale.
La France se prépare mardi à évacuer ses ressortissants au Niger, où un putsch a renversé le président Mohamed Bazoum, tandis que le Burkina Faso et le Mali, pays voisins également dirigés par des militaires, ont mis en garde contre toute intervention armée visant à le rétablir dans ses fonctions.
Le Président déchu du Burkina Faso, Roch Marc Christian Kaboré, est entre les mains des militaires putschistes depuis plus de trois mois.
Stratégiques, idéologiques et historiques: les clés pour comprendre les raisons des opérations militaires en Ukraine
Quel homme politique sénégalais ou responsable de la Société civile s’accommoderait de voir à la tête de son pays, une junte militaire pendant presque deux ans et que cette même junte demande à s’octroyer un «mandat cadeau» de 5 ans ?
Les journalistes menacent de boycotter toutes ses activités.
Depuis un certain temps, un groupuscule d’individus, des opposants à visages découverts ou encagoulés, d’autres se réclamant de la société civile, syndicalistes intéressés, des artistes, troubadours paumés et en faillite...
Ce temple-là ne trône pas, souverain, sur l'Acropole d'Athènes mais au centre d'une ville allemande provinciale et sans grâce, Cassel. Ses colonnes ne sont pas constituées de marbre du mont Pentélique mais de livres qui furent un jour, quelque part dans le monde, interdits.
Le président de la République a-t-il renoncé à son souhait de remanier son gouvernement ? En tous les cas, le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'extérieur, très proche de Macky Sall, pense qu'il n'y aura pas de remaniement. Il a fait cette annonce lors d'un entretien avec les correspondants de la presse sénégalaise à Paris. Alioune Badara Cissé est revenu sur l'exécution des deux Sénégalais en Gambie, qu’il qualifie de «coup de Jarnac» envoyé par le président Jammeh dans le dos du Sénégal.
Sauve est la démocratie malienne tant vantée et moult fois donnée en exemple, question d’égratigner un voisin naguère fier de son expérience. En cours de route, le pays a perdu un président démocratiquement élu et auquel il ne restait que quelques semaines au pouvoir avant le choix de son successeur, via une consultation populaire. L’esprit de la Constitution a été malmené et voila Amadou Toumani Touré obligé de rendre sa démission. « Par amour pour le Mali », précise l’ancien Général et désormais ex-Chef de l’Etat victime d’un coup d’Etat conduit par un Capitaine.
Ceux qui militent pour un retour en Guinée - et aux affaires - du capitaine Moussa Dadis Camara ne sont pas nombreux. Mais ils essaient de faire jouer leur pouvoir de nuisance pour soutirer des fonds au pays. Par l'intermédiaire de leur chef. Les groupuscules que, le 28 avril, Jean-Marie Doré a mis en garde contre toute tentative de prendre en otage les élections du mois de juin se réclament du mouvement « Azaro ». Dirigé par Étienne Onomo, l’oncle maternel de Moussa Dadis Camara, ledit mouvement milite pour le retour en Guinée de l’ancien chef de la junte.
Entre Mamadou Niang et El Hadji Diouf, c’est à ne plus y comprendre. Il y a quelques jours, le premier tirait à boulets rouges sur le second, avant que ce dernier ne réagisse à la mesure de l’attaque, en des mots voilés. Maintenant, nous en sommes à un stade de réconciliation. En effet, nos satellites nous signalent qu’hier, aux environs de 14 heures Gmt, Mamadou Niang a joint El Hadji Diouf par téléphone pour une séance d’explications des plus amicales. Ne manquez pas la suite… Les deux joueurs auraient recadré leurs pensées pour accorder leurs violons.
Le Sénégal s’apprête à célébrer avec faste le 49e anniversaire de son accession à la souveraineté internationale. Une célébration qui sera rythmée par un défilé civil et militaire présidé, comme à l’accoutumée, par le président de la République. Toutefois, le plaisir risque d’être gâché par la présence de militaires bissau-guinéens invités par notre pays. Une invitation contre laquelle s’insurge la société civile de Bissau. La parade militaire du 4 avril risque d’être marquée d’une grosse tache par la présence de ceux-là qui ont attenté à la vie de Nino Vieira. Ces derniers ont, en effet, reçu un carton d’invitation pour participer aux festivités.
Yahya Jammeh, au pouvoir depuis douze ans a été sans surprise le grand favori et grand vainqueur de l’élection présidentielle gambienne qu’il a remporté avec 67 % des voix lors d’un scrutin à un tour. Président sortant il été opposé à Me Ousainou Darboe, du Parti de l’unité et de la démocratie (UDP) et Halifa Sallah de l’Alliance nationale pour le développement et la démocratie (NADD, coalition de trois partis). Un verdict contesté par ses adversaires mais jugé valable par les observateurs qui ont salué le calme et la transparence qui ont prévalu dans l’ensemble malgré quelques imperfections notées ça et là.