💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
La communauté mouride est plongée à nouveau dans le deuil.
La quasi-totalité des journaux reçus lundi à l’APS ont mis en exergue l’installation officielle de la 14ème législature, issue des élections législatives du 31 juillet dernier, avec notamment l’enjeu pour le poste de président de l’Institution...
La communauté mouride est plongée à nouveau dans le deuil.
A l’instar de nombreux compatriotes, l’Organisation islamique JAMRA a été scandalisée, à la lecture du « scoop » livré par le quotidien « Le Populaire », dans sa livraison de du jeudi 28 mars 2013, confirmant, strictement, ce que JAMRA n’a de cesse de dénoncer : les manœuvres souterraines de puissants lobbies homosexuels étrangers, s’appuyant sur leurs relais locaux, pour faire « avaler » à l’Etat du Sénégal la nécessité de « s’aligner sur les standards démocratiques internationaux, dans la gestion de la problématique des droits de l’homme », en se fondant sur le principe d’universalité des droits humains, consacrés dans la Déclaration universelle.
Dix ans, c’est aussi le temps d’un bilan. Pour le Professeur Iba Der Thiam, l’Alternance, survenue le 19 mars 2000 au Sénégal, a « fondamentalement changé la physionomie du pays ». Dans cet entretien avec « le Soleil », le Coordonnateur national de la Cap 21 analyse les changements intervenus dans divers domaines d’activités : questions sociales et économiques, éducation, santé, agriculture, etc. La place du Sénégal en Afrique et dans le monde est aussi passée en revue. Enfin, le Pr Thiam investit la question e la Bonne gouvernance, de la « succession » et du placement des cartes du Pdsl.
(Correspondance) - C’est par la cité religieuse de Touba que la forte délégation du groupe Wal fadjri a démarré la tournée de remerciements initiée à l’endroit des bonnes volontés qui avaient compati lors de la rude épreuve vécue par ledit groupe. Arrivés hier vers 11h dans la capitale du mouridisme, le Pdg du groupe, Sidy Lamine Niasse, le Directeur de publication du quotidien Wal fadjri, la Directrice des programmes de la télévision, le doyen Abdoulaye Lam, l’islamologue Ahmet Hadi Niass, Serigne Mbacké Fall, le Président Ahmet Iyane Thiam, pour ne citer que ceux-là, ont été reçus par de hauts dignitaires mourides à la résidence Khadim Rassoul. Avant de s’ébranler pour Guédé où le porte-parole du khalife général des mourides leur a réservé un accueil digne de la tradition mouride.
Fatou Laobé est formelle : en aucun moment lors de l'émission Sortie de Walf Tv, elle n'a dit que le père de son fils aîné s'appelle Serigne Ahmet Mbacké ibn Serigne Bara, l'homonyme de l'actuel khalife des mourides. Au contraire, précise t-elle : «je ne faisais que répondre á une question relative á ma biographie rien de plus.» Et s'il y a quelque chose dont Fatou Laobé, jointe hier au téléphone par Walf _Grand-Place, est convaincue, c'est qu'elle a été de bonne foi tout au long de l'émission. « Je n'ai rien á cacher et si j'ai accepté de reparler de cette histoire, c'est grâce á Serigne Dame et Serigne Fallou Mbacké (des fils de feu Serigne Ahmet Mbacké). Les archives sont á Wal Fadjri et chacun peut aller vérifier. Et je crois que j'ai été très claire et précise dans mes réponses. Encore une fois, je dis que Serigne Ahmet Mbacké n'est pas le père de mon fils aîné», martèle Fatou Laobé.
Cruel aurait pu étre le destin de cet enfant de trois ans. Après avoir fait le tour des hôpitaux du département de Mbacké, demandé assistance à toutes les bonnes volontés, le mal persistait toujours pour ce bout de bois de Dieu. Et l'audience avec Serigne Saliou, la semaine même de sa disparition, a laissé entrevoir le bout du tunnel, mais l'entourage du défunt khalife a tué l'illusion de sa maman qui ne demandait qu'à étre aidée. Finalement, c'est l'actuel maître de Touba, Elhadji Bara, qui a mis la main à la poche pour assurer l'intégralité des frais médicaux du môme malade, qui n'en demandait pas autant.
