Le président Bassirou Diomaye Faye a été, le dimanche 12 mai, au Dakar Arena de Diamniadio, avec son homologue rwandais Paul Kagame.
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Le président Bassirou Diomaye Faye a été, le dimanche 12 mai, au Dakar Arena de Diamniadio, avec son homologue rwandais Paul Kagame.
Le président Bassirou Diomaye Faye a été, le dimanche 12 mai, au Dakar Arena de Diamniadio, avec son homologue rwandais Paul Kagame.
Il est très clair aux yeux des Sénégalais et de tout esprit lucide que le “cadeau” remis à M. Segura par le Chef de l’Etat participe d’une tentative de corruption d’un fonctionnaire international dans l’exercice de ses fonctions. Fidèle à une tradition de pillage du trésor public et de non respect de la loi, le Président de la République se comporte avec nos institutions et nos ressources publiques avec une désinvolture qui fait honte à toute la Nation. Même ses thuriféraires les plus zêlés sont comme pétrifiés par autant de manque de tenue, d’absence de parole d’honneur et d’irrespect vis-à-vis d’un peuple qui avait naïvement cru qu’il pouvait gérer le pays avec tact et selon une vision respectueuse des intérêts supérieurs du Sénégal.
Mardi dernier, face à une Croatie pugnace, le Harlem Globe Trotters avait oublié de chausser ses semelles de vent. Et le Brésil n’a pas soufflé le show à Berlin. Mais son football demeure incontestablement le chéri du monde. On a tenté de savoir pourquoi. Ça a fécondé en plein Freidrichstrasse. Mardi matin, à quelques heures de Brésil-Croatie. Quand une bande de joyeux drilles brésiliens, dans l’impatience de propager sa «fièvre jaune» dans l’Olympiastadion, a fait résonner un tonnerre de dieu dans les entrailles de la gare berlinoise : «Nous sommes le Brésil/ Nous ne sommes pas les plus riches/ Mais nous sommes les plus beaux, les meilleurs/ Nous sommes les chéris du monde.» Ça fichait le frisson.