Face à l'indignation populaire, le Comité international olympique a mis en place un ensemble de réformes pour contenir les coûts, par exemple en réduisant la taille des sites et en utilisant les infrastructures existantes partout où c’est possible.
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Face à l'indignation populaire, le Comité international olympique a mis en place un ensemble de réformes pour contenir les coûts, par exemple en réduisant la taille des sites et en utilisant les infrastructures existantes partout où c’est possible.
Le ministre japonais en charge des Jeux olympiques 2020 de Tokyo a pointé mercredi la responsabilité commune du comité d'organisation des JO, du comité de sélection du logo et du créateur Kanjiro Sano dans l'annulation du logo des Jeux à la suite d'un scandale de plagiat."Chacune des trois parties a sa part de responsabilité", a affirmé le ministre Toshiaki Endo. Retrait du logo Le comité d'organisation des Jeux olympiques 2020 de Tokyo a décidé mardi de ne plus utiliser le logo créé par le graphiste japonais Kenjiro Sano
Kazumasa Nagai, le designer japonais qui était à la tête du comité qui a choisi le logo du designer Kenjiro Sano pour les Jeux olympiques 2020 à Tokyo, a contesté mercredi la plainte déposée par le théâtre de Liège."Les Belges affirment que le logo de M. Sano est un plagiat, mais l'emblème du théâtre belge n'est pas similaire au logo original créé par Sano", a affirmé Kazumasa Nagai, 86 ans. "Le concept original et son évolution ne montrent aucune similarité avec le logo belge."
Le créateur du logo des JO-2020 de Tokyo, déjà soupçonné de plagiat pour cet emblème, a annoncé renoncer à des images publicitaires qu'il avait imaginées pour l'entreprise japonaise Suntory, à la suite de nouvelles accusations. MR_Design, société de Kenjiro Sano, explique dans un communiqué avoir demandé à la firme de boissons Suntory de ne plus utiliser 8 des 30 illustrations de sacs publicitaires créés pour la promotion d'une bière sans alcool.