Sans en avoir toujours conscience, nous commettons de nombreuses erreurs d'hygiène au bureau. Seulement qui dit bureau, dit communication, et qui dit communication, dit microbes. Tour d'horizon des plus fréquentes et astuces pour limiter les dégâts.
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Sans en avoir toujours conscience, nous commettons de nombreuses erreurs d'hygiène au bureau. Seulement qui dit bureau, dit communication, et qui dit communication, dit microbes. Tour d'horizon des plus fréquentes et astuces pour limiter les dégâts.
Notre compagnonnage avec Mme Aminata Touré, valide la profonde justesse de la sagesse populaire ainsi exprimée
Il n'est pas toujours facile à tous les politiques et intellectuels de marquer les grands moments de la vie nationale par des positions et attitudes personnelles dépouillées de toute scorie partisane pour aider les citoyens à disposer d'une orientation juste et salutaire dans l'appréciation des faits saillants.
« Tchin ! Santé ! Joyeux anniversaire ! » Un anniversaire qu’il...
«Vous avez cru être dorénavant libérés de l’obligation de soumettre à l’épreuve votre façon de vivre. Or, je vous l’annonce, c’est tout le contraire qui vous arrivera : le nombre augmentera de ceux qui pratiquent cette mise à l’épreuve envers vous (…) ils seront d’autant plus sévères qu’ils seront plus jeunes, et vous, vous en serez davantage irrités.»
Le vol, puis l’envol. Dans leur insoutenable banalité, ces deux termes résument parfaitement les péripéties de l’affaire Karim Wade. En effet, après avoir été accusé d’avoir volé des milliers de nos milliards, une sortie nocturne lui a été aménagée.
« Si tu ne peux pas voler, alors cours?; si tu ne peux pas courir, alors marche?; si tu ne peux pas marcher, alors rampe?; mais quoi que tu fasses, tu dois toujours avancer vers le progrès. » Belle philosophie de vie que cette proposition de Martin Luther King : leçon de bonne gouvernance pour tous ceux qui, à travers le monde, se mêlent de gouverner leurs semblables. Gouvernance idéale. Mais la gouvernance, c’est une affaire purement politique.
Dans son ouvrage intitulé « l’art de la guerre » écrit au VIe siècle avant J.C, Sun Tzu, général chinois de l’armée Wu, enseignait que « la diversion est au cœur de la bonne manœuvre ». En l’an de grâce 2013, soit deux millénaires après sa mort, l’âme du stratège chinois peut reposer en paix tant il a trouvé en Macky Sall un épigone de prestige. En effet, à l’heure où le peuple sénégalais est emporté comme fétu dans le séisme de la crise actuelle, le président de la République, exténué d’échecs, verse dans la diversion et l’enfumage.
Dans son ouvrage intitulé « l’art de la guerre » paru au VIe siècle avant J.C, Sun Tzu, général chinois de l’armée Wu, enseignait que « la diversion est au cœur de la bonne manœuvre ». En l’an de grâce 2012, soit deux millénaires après sa mort, l’âme du stratège chinois peut reposer en paix tant il a trouvé en Macky Sall un épigone de prestige.
La pauvreté, le chômage, la pestilence, sont des difficultés auxquelles les habitants de Parc « Nadio » font face. Malgré les nombreux maux, les populations de ce bidonville vivent cordialement.Par Ibrahima KANDÉ
J’aime les Sénégalaises. Bon, disons que c’est un pléonasme, dire qu’on aime une Sénégalaise. Une Sénégalaise, c’est déjà en soi quelque chose qui s’aime, qui s’adore, qui se rêve, qu’on désire, quelque chose sur laquelle on fantasme toutes les nuits comme un capitaine raté aigri fantasme sur un grade de général.
Voici ce que le nouveau président français nous déclarait en exclusivité il y a quelques semaines à propos des rapports entre la France et l’Afrique. Reste à savoir si les déclarations tranchées du candidat ne seront pas atténuées par les enjeux de la charge présidentielle ;
DAKAR ET TOUBA (SÉNÉGAL) ENVOYÉ SPÉCIAL ENVOYÉ SPÉCIAL - Le Sénégal ne badine pas avec ses confréries religieuses. La panique s'est emparée du pouvoir moins de dix jours avant l'élection présidentielle du 26 février, quand un policier a lancé une grenade lacrymogène dans l'enceinte de la mosquée El-Hadj Malick Sy, à Dakar.
A la lumière de vos diatribes contre Me Abdoulaye dans la presse, tous les observateurs qui connaissent l'histoire politique de ce pays savent que Me Abdoulaye Wade est un habitué de vos infidélités politiques. Vous l'avez toujours trahi et pourtant, à l'occasion, il n'a jamais manqué de vous « honorer ». Presque 36 ans, après le premier acte de cette série de trahissions, la roue de l'histoire a tourné. Mais nous n'avons pas résisté à l'envie de revisiter l'histoire politique de Khalifa Niasse pour en extraire, dans la longue panoplie, les coups bas portés à celui qu'il maugrée aujourd'hui. Le premier acte sera posé en 1976, à la veille du Congrès du PDS.
Le pays est malade. La tension est palpable à tous les niveaux. Le dialogue politique est au point mort. Le climat social tendu. C’est un chienlit total. Les populations ne parviennent plus à satisfaire le minimum nécessaire. La jeunesse, en désarroi, grogne et se révolte à tout va. Marchands ambulants, consommateurs, supporters, chacun se manifeste à sa manière. Le peuple à bout de patience extériorise sa frustration par des moyens parfois violents qui font craindre un embrasement total. La banlieue surexcitée, devenue le champ d’expression du ras le bol sénégalais, risque d’être le lieu d’où partira l’étincelle destructrice.
Comme cela arrive dans toute entité hétérogène, il existe, dans notre opposition, des éléments sains, raisonnables, objectifs, patriotes. Certaines déclarations faites, dimanche 25 février, au soir, en portent, largement, témoignage. Le président a, parfaitement, raison de lui tendre, une nouvelle fois, la main. Le Sénégal est notre patrie commune. Pour accélérer la marche de son édification vers le bonheur et la prospérité, aucune volonté n’est de trop. L’histoire retiendra, à coup sûr, que le président Wade a fait, invariablement, de l’appel inlassable à toutes les forces vives de la nation, son credo, pendant toute la durée de son magistère
La parodie de combat «Yékini-Tapha Guèye» a été un cas d’école pour le peuple de la lutte. Et pour éviter que la farce du 31 juillet dernier ne se répète, le Comité national de gestion (Cng) a réajusté son dispositif réglementaire et procédé à la suppression du match nul. Est-ce la panacée aux mauvais réflexes de l’arène ? 2006-2007, c’est la saison des résolutions : plus de match nul ; plus de fuite non condamnée ; plus de passivité sans châtiment ; plus, surtout, d’ersatz du genre «Yékini-Tapha Guèye». Depuis le combat grand-guignolesque qui, le 31 juillet dernier, avait baissé le rideau de la saison 205-2006 dans une indignation unanime...