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Un incident survenu devant le Tribunal de Grande Instance hors classe de Dakar a entraîné l'interpellation temporaire de quatre personnes avant leur libération.
À une semaine de la reprise des cours, les responsables, militants et sympathisants des cellules Pastef de la commune de Thiès-Ouest, épaulés par les parents d’élèves, ont mené une vaste opération de nettoyage dans tous les établissements scolaires.
Après la sortie musclée des patriotes de Pastef/Kaolack, des partisans du maire Serigne Mboup, à travers le mouvement Aar Sunu Leaders, n'ont pas tardé à apporter la réplique. Ceci pour, disent-ils, rétablir la vérité que certains, notamment les militants du Pastef, cherchent à travestir ou à nier pour des raisons purement politiques.
A l’assaut de la mairie de Kaolack, les militants du parti au pouvoir, le Pastef, ne cachent pas leur ambition de conquérir la municipalité de la ville de Mbossé Coumba Djiguène.
A l’assaut de la mairie de Kaolack, les militants du parti au pouvoir, le Pastef, ne cachent pas leur ambition de conquérir la municipalité de la ville de Mbossé Coumba Djiguène
Beaucoup de militants de Pastef le voyaient dans le nouveau Gouvernement, notamment au niveau de la chancellerie ou à la place Washington.
Une fois de plus, Jeune Afrique récidive. Dans son dernier article intitulé « Au Sénégal, le succès mitigé de la diplomatie de rupture de la ministre Yassine Fall », le magazine relance unepolémique dont il a désormais le secret.
Député et activiste Guy Marius Sagna invite les militants de Pastef, parti au pouvoir à lutter contre les ennemis du projet.
?Les militants de Pastef dans la commune de Gandon expriment leur frustration. Lors d’un point de presse de bilan de 15 premiers mois du régime, les patriotes de cette commune ont exprimé leur profond malaise face à ce qu’ils considèrent comme une marginalisation progressive depuis l’accession de leur parti au pouvoir.
Depuis la décision rendue vendredi 25 juillet par le Conseil constitutionnel, invalidant certaines dispositions du nouveau règlement intérieur de l’Assemblée nationale, les réactions politiques n’ont pas tardé. Du côté de la majorité présidentielle, certains responsables du Pastef ont même appelé – sans trembler – à la dissolution pure et simple du Conseil. Un réflexe pavlovien devenu tristement banal : quand la loi gêne, on attaque ceux qui l’interprètent.
Le Directeur général du Port autonome de Dakar (PAD), Wally Diouf Bodian s’est exprimé sur les réactions ayant suivi la récente déclaration du ministre de l'Énergie, du Pétrole et des Mines Birame Soulèye Diop qui demandait aux militants du Pastef, d'injurier ceux qui injurient leur leader Ousmane Sonko.
Après 23 ans de carrière au sein de la Fondation Friedrich Ebert, Saliou Konté, directeur de programme, tire sa révérence en juillet 2025.
« Les tensions internes au sein du PASTEF ont des conséquences sur l’appareil d’État », a déclaré Elimane Haby Kane, président du think tank Legs Africa, lors de l’émission Le Jury du dimanche sur iRadio.
« Les tensions internes au sein du PASTEF ont des conséquences sur l’appareil d’État », a déclaré Elimane Haby Kane, président du think tank Legs Africa, lors de l’émission Le Jury du dimanche sur iRadio.
Tout le monde en a pris pour son grade. Le président du parti PASTEF/Les patriotes a défrayé la chronique, ce 10 juillet, lors de l’installation du Conseil national de son parti. Ousmane Sonko s’est montré particulièrement virulent à l’égard de la société civile qu’il a qualifiée de « fumiers ».
Monsieur le Premier Ministre,
Une chute amortie du système
![[Focus] Qu'est-ce qui fait courir les figures de la société civile ?](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//af7c65369c2e322ac9869cb98c29d118ae53f38b.jpg)
Sur les réseaux sociaux ou les plateaux de télévision, certains membres de la société civile sénégalaise sont critiqués par des acteurs politiques.
Lors d’une réunion politique du Pastef ce mercredi, le Premier ministre Ousmane Sonko a balayé les rumeurs de tensions au sommet de l’État et de possible démission, affirmant avec force sa détermination à rester en poste. « On parle de démission, mais je ne vais nulle part. Ils pensent pouvoir me pousser vers la sortie, mais c’est peine perdue. J’ai une responsabilité », a-t-il déclaré.
Lors de l’installation du Conseil national de Pastef, le Premier ministre Ousmane Sonko a lancé une attaque virulente contre la Télévision Futurs Médias (TFM), sans la nommer explicitement, appelant ses militants à boycotter la chaîne.
