TERA MEETING vs TERA NIAKHTOU NATIONAL : au nom du peuple, du but et de la foi que nous partageons ( Par Oumar Mamadou BASSOUM)
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
TERA MEETING vs TERA NIAKHTOU NATIONAL : au nom du peuple, du but et de la foi que nous partageons ( Par Oumar Mamadou BASSOUM)
Un collectif d'avocats de huit pays a dénoncé la "détention illégale" d'un confrère burkinabè et figure de la société civile, Me Guy Hervé Kam, ancien membre du pool d'avocats de Ousmane Sonko, écroué depuis plus d'un an à la prison militaire de Ouagadougou pour sa participation présumée à un "complot", dans un communiqué transmis jeudi à l'AFP.
Le célèbre avocat et leader de la société civile, Guy Hervé Kam, arrêté à deux reprises cette année, a été libéré mercredi, sous contrôle judiciaire.
Un célèbre avocat et leader de la société civile du Burkina Faso, pays dirigé par un régime militaire, est poursuivi pour "complot contre la sûreté de l'état" et "association de malfaiteurs", après avoir été incarcéré, a annoncé vendredi sa défense, appelant à sa libération.
Un célèbre avocat et leader de la société civile du Burkina Faso, Guy Hervé Kam, arrêté fin janvier, a été enlevé mercredi soir à Ouagadougou juste après avoir été libéré, a annoncé jeudi son organisation.
Face aux nombreuses demandes de sang que les offres ne parviennent pas à combler, le mouvement Balai Citoyen a tenu à jouer sa partition.
Une figure de la société civile du Burkina Faso, Bassirou Badjo, a été enlevée mercredi à Ouagadougou par des "individus se présentant comme des agents" de l'Etat, a annoncé le mouvement dont il fait partie, dans un communiqué transmis à l'AFP.
Un célèbre avocat et leader d'une organisation de la société civile du Burkina Faso, Guy Hervé Kam, a été enlevé dans la nuit de mercredi à jeudi à Ouagadougou par des hommes en civil, a annoncé son organisation dans un communiqué.
Interpellé, dans une lettre ouverte en date 14 juin dernier, par ses anciens collègues défenseurs des Droits de l'homme africains, le ministre des Forces armées, Sidiki Kaba, vient de publier sa réponse.
Hier, j’ai défendu les droits de l’homme avec ardeur.
Une figure de la société civile burkinabé a été inculpée et incarcérée pour "outrage au chef de l’Etat"...
Quelle mouche aurait piqué le ministre burkinabé de l’Intérieur et le maire de Ouagadougou, Armand Benewendé ?
L'avocat sénégalais Me Moussa Sarr a été choisi dans le pool international d’avocats commis pour faire la lumière sur la disparition en 2016 du journaliste malien, Birama Touré...
Les funérailles d’Idriss Déby se sont tenues, vendredi 23 avril, à N’Djamena, en présence d’une douzaine de chefs d’État dont Emmanuel Macron.
Le coordinateur du mouvement citoyen Filimbi, Floribert Anzuluni, est...
Face aux nombreuses demandes de sang que les offres ne parviennent pas à combler, le mouvement Balai Citoyen a tenu à jouer sa partition.
C'était il y a huit ans à Dakar : trois rappeurs et trois journalistes créent...
Son interrogatoire était très attendu par le parquet et les avocats des parties civiles.
C’est un mouvement qui s’inspire clairement du Balai citoyen burkinabè ou du Y'en a marre sénégalais. Comme ces collectifs, Togo Debout veut ratisser large et entend mobiliser notamment les déçus de la classe politique. L'objectif déclaré : l’avènement d’une « véritable démocratie » au Togo et une « transition démocratique ».
Au terme de leur conclave à Gorée, les mouvements sociaux d’Afrique ont fait face à la presse ce mardi pour s’exprimer sur l’actualité brûlante. La question gambienne et la situation en République démocratique du Congo ont ainsi été au cœur de la conférence de presse animée par Filimbi (Rdc), Balai Citoyen (Burkina), Inhiya (Tchad), Wake up (Madagascar), Lucha (Rdc), Y’en a marre (Sénégal), Jeunes et forts (Cameroun), Ras Le Bol (Congo), Gt Jeunes (Côte d’Ivoire), Gom Sa Boppa (Gambie). Ils n’ont pas ménagé Kabila et Yayah Jammeh, qui ont installé la crise dans leurs pays respectifs.