La « faible » représentation de la gent féminine dans le nouveau gouvernement du chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, continue de susciter de vives réactions
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
La « faible » représentation de la gent féminine dans le nouveau gouvernement du chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, continue de susciter de vives réactions
La « faible » représentation de la gent féminine dans le nouveau gouvernement du chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, continue de susciter de vives réactions.
Nous traversons une curieuse période. Vocable plébiscité, la démocratie est devenue un cri de ralliement d’une galaxie fort hétérogène.
L’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) a été créé en 2012. Il a connu 2 présidentes depuis sa création : Nafi Ngom Keïta et, son successeur depuis quelques mois, Seynabou Ndiaye Diakhaté. Son budget a connu une baisse en 2016, passant de 1,65 milliard de francs CFA à 1,4 milliard.
La nouvelle présidente de l’Ofnac, Seynabou Ndiaye Diakhaté, a demandé à étudier tous les contrats passés par son prédécesseur, Nafi Ngom Keïta. Elle veut y voir clair à propos des accusations de favoritisme portées contre cette dernière, qui aurait offert des contrats en or à certaines personnes.
L’audience solennelle de prestation de service de Mme Seynabou Ndiaye Diakhaté, la nouvelle présidente de l’Ofnac, a été, ce jeudi 11 août 2016, mise à profit par quelques acteurs de la justice pour vanter les mérites de la remplaçante de Mme Nafi Ngom Keïta. Me Mbaye Guèye, bâtonnier de l’Ordre des avocats du Sénégal, a été du nombre de ceux-là qui, au cours de ladite audience, ont dit tout le bien qu’ils connaissaient de la dame.
« La gestion sobre et vertueuse est passée à la trappe. C’est un régime qui est fort en slogan, même si très souvent ce sont des slogans creux. Mais sur le terrain, il n’y a rien. » C’est la sentence prononcée par Modou Diagne Fada à propos de la gouvernance du Président Macky Sall.
La nouvelle présidente de l’Ofnac prête serment ce jeudi. Seynabou Ndiaye Diakhaté se présentera devant le président de la Cour d’appel de Dakar, le juge Demba Kandji. Ainsi, elle pourra se pencher sur les dossiers légués par son prédécesseur, Nafi Ngom Keïta. Avec laquelle elle a déjà procédé à la passation de service. (Source : L’AS)
Nafi Ngom Keïta a passé le témoin à Seynabou Ndiaye Diakhaté. La cérémonie de passation de service s’est déroulée ce matin au siège de l’institution. L’ex-patronne de l’Office national contre la fraude et la corruption (Ofnac) a profité de l’occasion pour cracher ses vérités.
Après Touba, Tivaouane. Au lendemain du passage du fils ainé du Khalife des mourides au domicile de la désormais ex-présidente de l’Ofnac, Nafi Ngom Keïta, hier, mercredi 3 août, c’était au tour du porte-parole de la confrérie Tidjane, Serigne Abdoul Aziz Sy Al Amine d’envoyer un émissaire chez cette dernière.
Badio Camara, premier Président de la Cour Suprême, n’est pas assujetti à l’obligation de la déclaration de patrimoine. C’est ce qu’a déclaré, Sidiki Kaba dans un communiqué parvenu à Seneweb. Le Garde des Sceaux, Sidiki Kaba explique que « le premier président de la Cour suprême n’est point assujetti à l’obligation de déclaration de patrimoine ».
C’est ce vendredi 05 août 2016 que la présidente de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac), Nafi Ngom Ndour, va passer le témoin à son successeur, la magistrate Seynabou Diakahté nommée par décret le 25 juillet dernier, le président Macky Sall à la tête de l’instance de contrôle.
Le Khalife général des mourides a adressé un message de soutien à la désormais ex-présidente de l’Ofnac, Nafi Ngom Kenta. Selon Direct de ce mercredi, le guide de Touba, à travers son fils qu’il a envoyé au domicile de Nafi Ngom, a déclaré : « Je te félicite. Reste dans la voie de la vérité. Tu as ma bénédiction. »
Le secrétaire général de la Cour suprême, Abdoulaye Ndiaye, a rectifié Nafi Ngom Keïta qui, en tant que présidente de l’Ofnac et estimant que le président de la haute juridiction est assujetti à la déclaration de patrimoine, lui avait adressé une correspondance le 27 mai dernier pour lui demander de se livrer à l’exercice. Elle lui avait donné un délai de 15 jours pour s’exécuter.
L’État a chargé la Cour des comptes de scruter les trois ans de gestion de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) par Nafi Ngom Keïta. Le mandat de la désormais ex-présidente de l’institution, officiellement arrivé à terme au mois de juillet dernier, n’a pas été reconduit.
Prise de position assumée ou médiation?? Le Khalife des mourides a envoyé son fils ainé, Serigne Moustapha Mbacké, au domicile de Nafi Ngom Keïta, désormais ex-présidente de l’Ofnac. La rencontre a eu lieu aux environs de 17 heures, selon L’AS de ce mercredi.
Elle n’aurait pas fait sa déclaration de patrimoine. Elle aurait joué un rôle dans la cooptation de son ex-époux à l’Inspection générale d’État (Ige). Elle serait la propriétaire de l’immeuble abritant l’Ofnac. Ses deux filles,
Nafi Ngom Keïta conteste son limogeage de la tête de l’Office national de lutte contre la corruption et la fraude (Ofnac). Elle a décidé de saisir la Cour suprême pour fustiger ce qu’elle considère comme un « abus de pouvoir ».
Le limogeage de la présidente de l’ofnac, Nafi Ngom Ndour, la suspension de l’inspecteur des impôts et domaines et président du PASTEF, Ousmane Sonko, et l’inculpation et la mise sous contrôle judiciaire de l’ancien premier ministre Abdoul Mbaye, nous laissent dubitatifs et perplexes. Tous ces trois ont un rapport direct ou indirect avec l’affaire dite PETROTIM.
Les traitements faits par le pouvoir des cas de l’ex-présidente de l’Ofnac, Nafi Ngom Ndour, et de Ousmane Sonko, inspecteur des impôts, ne laissent guère indifférent le leader du Grand parti, Malick Gakou. Depuis l’étranger, il largue des bombes dans le «Macky» et dénonce, entre autres dérives, «l’illustration de cette agression caractérisée contre la République des valeurs que notre pays aspire à incarner du haut de son histoire et du sceau du panafricanisme salutaire».