Il faut accepter que le 8 mars soit une journée de joie pour les femmes, pour mesurer leur degré d’avancement
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Il faut accepter que le 8 mars soit une journée de joie pour les femmes, pour mesurer leur degré d’avancement
Selon Libération, African Agriculture, la société de Frank Timis établie à New York et qui prévoit d’exploiter 2,9 millions d’hectares de terres en Afrique de l’Ouest, dont 25 000 au Sénégal, pour la production d’aliments de bétail destinés à l’exportation, est mal en point.
Dans un article repris par Enquête ce mardi 28 novembre, Bloomberg révèle que Frank Timis menace la fourniture en eau potable de Dakar avec son projet de faire pousser la luzerne sur 26 000 hectares au niveau de la réserve de Ndiael (Saint-Louis).
Le 30 mai dernier, le Collectif pour la défense du Ndiaël (37 villages du Nord du Sénégal regroupant 10 000 habitants) a adressé une lettre à African agriculture Inc (AAGR).
L’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT) a effectué une tournée du 6 au 11 avril 2021, dans le pôle touristique nord du Sénégal...
L’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique effectue une visite de cinq jours dans le pôle Touristique du Nord du Sénégal
Les litiges fonciers refont surface dans le nord du pays. A Saint-Louis, dans la commune de Ngnith (département de Dagana), le collectif des 37 villages du Ndiael est monté au créneau pour réclamer ses terres octroyées à Senhuile il y a une dizaine d'années.
Contrairement aux fervents partisans du légalisme, en matière de foncier rural, il vaut mieux décrocher d’abord la licence sociale que de...
Dans un article repris par Enquête ce mardi 28 novembre, Bloomberg révèle que Frank Timis menace la fourniture en eau potable de Dakar avec son projet de faire pousser la luzerne sur 26 000 hectares au niveau de la réserve de Ndiael (Saint-Louis).
Le 30 mai dernier, le Collectif pour la défense du Ndiaël (37 villages du Nord du Sénégal regroupant 10 000 habitants) a adressé une lettre à African agriculture Inc (AAGR).
Les litiges fonciers refont surface dans le nord du pays. A Saint-Louis, dans la commune de Ngnith (département de Dagana), le collectif des 37 villages du Ndiael est monté au créneau pour réclamer ses terres octroyées à Senhuile il y a une dizaine d'années.
Les membres du comité de pilotage du Projet de restauration des fonctions écologiques et économiques du lac de Guiers (Prefelag) ont adopté à l’unanimité le projet de budget 2017 de ce programme, estimé à 7.052.197.441 FCfa. Cette enveloppe servira à la restauration des fonctions économiques et écologiques du lac de Guiers.
Epinglée pour fraude, un préjudice de plus de 8 milliards de francs CFA causé à l’Etat du Sénégal, Senhuile avait transigé. Cependant, elle n’a honoré qu’une partie de son engagement. La douane a sévi avec des méthodes fortes.
Le projet Senhuile installé dans le Ndiael depuis deux ans et demi divise les autochtones. Si certaines populations de la zone bénissent le projet, il faut remarquer que l’écrasante majorité des habitants affectés par ce dernier ne sont pas d’accord pour son installation.
Ibrahima Sow, directeur du Contrôle et des Opérations de Senhuile a dégagé en touche certaines accusations qu’il juge gratuites. Selon lui, Senhuile n’utilise pas de produits chimiques pour traiter les plants, comme le prétendent les villageois. Pour lui, le projet est dans sa deuxième année et commence à récolter et à vendre.
Une entreprise sénégalaise de bio-carburants, Senhuile-Senéthanol a été accusée de mettre des « milliers » de vies en danger à travers son projet controversé de biocarburant établi dans le nord du Sénégal. Les accusations ont été faites par l'ONG américaine Oakland Institute qui vient de publier un rapport sur le sujet.
Un rapport d’Oakland Institute, assis sur une enquête de terrain, met à nu les impacts négatifs du projet Sen huile-Sen éthanol. Ce document de dix-sept pages, commis par un cercle de réflexion chargé de «promouvoir la participation citoyenne et un débat équitable sur les questions sociales, économiques et environnementales», s’attache à démontrer comment le projet Sen huile-Sen éthanol menace l’environnement et détruit les communautés locales de la réserve de Ndiaël.
Les quotidiens sénégalais parvenus mardi à l’APS ont largement commenté les derniers ennuis judiciaires de l’ancien ministre Karim Wade, fils de l’ex-président de la République, Abdoulaye Wade, reléguant en deuxième et troisième lignes la politique économique du gouvernement et les faits divers.
Le gouverneur de la région de Kaolack (centre), Amadou Sy a indiqué, mardi, être toujours peiné de faire évacuer des eaux de pluie qui pouvaient rationnellement servir aux populations, plaidant pour une gestion rationnelle de ce liquide précieux.
Méconnu des Sénégalais, le Lac de Guiers est pourtant vital pour le pays. Principale source d'approvisionnement en eau potable de Dakar, il demeure un carrefour économique tant du point de vue de l'exploitation agricole, de l'élevage que d'autres activités, pour les 125 villages répertoriés qui vivent autour. Mais entre la préservation du lac au plan environnemental et les urgences auxquelles font face les populations, l'équilibre n'est pas facile à trouver. L'importance du Lac de Guiers vient ainsi poser la nécessité de protéger ce joyau naturel autour duquel gravitent plusieurs écosystèmes.