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« Une de mes sœurs, ses jumeaux, un cousin… et '' Ndioublang '' étaient aussi dans le navire… »
« Une de mes sœurs, ses jumeaux, un cousin… et '' Ndioublang '' étaient aussi dans le navire… »
Pour ce meeting d’envergure destiné à la première sortie du Premier ministre dans la «cité rebelle», la coalition Benno Bokk Yakaar (Bby) a sorti les gros moyens. Elle a mobilisé des milliers de militants sur la Promenade des Thiessois, samedi soir, à l’accueil de Mahammad Boun Abdallah Dionne, tête de liste de la coalition Bby aux élections législatives du 30 juillet prochain.
La capitale du rail a affiché le plein ce samedi 22 juillet. En campagne électorale dans le fief d'Idrissa Seck, Mahammed Boun Abdallah Dionne a été accueilli par des militants grandement mobilisés, avec des pancartes à l’effigie du Président de la République, Macky Sall, et du Premier ministre.
La commission nationale de réforme des institutions (CNRI) avait proposé une constitution qui allait mettre un terme à la prolifération des partis politiques.
Le masque commence à tomber. La nuit noire qui s’était emparée de mon pays, aveuglé mon peuple, se dissipe et, petit à petit, l’on découvre le vrai visage de l’actuel locataire du palais présidentiel. Macky Sall est le sosie de Wade. Il a été un acteur majeur des problèmes du Sénégal, il ne sera jamais l’homme de la situation. Celui qui va devoir réconcilier le peuple avec la politique, combattre la corruption, rapatrier les nombreux fonds volés et planqués dans des paradis fiscaux, réparer les injustices et redonner l’espoir au Sénégalais. Non, il n’en fera rien. Sa mission, c’est de couvrir les arrières de ses camarades libéraux et leur permettre de tranquillement dépenser nos les deniers volés au peuple.
S’il est élu le 26 février 2012, Idrissa Seck promet de remettre de l’ordre dans le pays.En clair, explique-t-il, ce qui importe pour les Sénégalais, c’est que tout ce qui les dégoûte dans la conduite actuelle des affaires de l’Etat soit combattu.Et c’est dans cette optique qu’il considère que beaucoup de gens devront rendre des comptes.
Ses porteurs de valises l’avaient annoncé, Idrissa Seck l’a confirmé à la suite d’une réunion tenue à son domicile dakarois, vendredi dernier. Définitivement exclu du Parti démocratique sénégalais (Pds), lors de la dernière rencontre du secrétariat national du parti, l’ancien Premier ministre , qui revendique toujours son appartenance à la famille libérale, vient de lancer un mouvement qui devrait porter sa candidature en 2012.
![[ CONTRIBUTION ] Idy, çà suffit !](/sites/seneweb-com/v9/img/posts/content-horizontal/1.webp)
Il adore jouer avec les mots, invoquer le verbe divin pour justifier ses prises de position tordues, sataniques et mal venues. Si quelqu’un semble incarner « le malin », en personne, c’est bien Idrissa Seck. « J’ai l’intention d’enlever maître Abdoulaye Wade de la présidence de la République, parce que pour moi, c’est une question de survie nationale. Je considère qu’il est devenu un danger pour le pays. » I. Seck On a cru assister à une séance d’exorcisme la semaine dernière, avec le revirement spectaculaire suivi des déclarations de l’auteur des CD incendiaires sur Wade et sa famille, celui à qui Viviane et Karim en veulent encore d’avoir traité le premier des Sénégalais de « futur cadavre » et de « spermatozoïde ». Dans le domaine du mensonge, du reniement et de la trahison, Idrissa Seck n’a jamais été numéro 2, çà ne l’a jamais intéressé.
Le réaménagement de dernière minute, intervenu hier, sans surprendre certains, n'a pas laissé indifférent les acteurs de la scène politique. Presque tous les partis, notamment ceux de l'opposition, ont réagi après la nouvelle. Cas du Mouvement de la réforme pour le développement social (Mrds) de l'Imam Mbaye Niang, qui est monté au créneau pour dénoncer les choix de Me Wade, qu'il assimile à un entraîneur de football. Raison pour laquelle, le Mrds, dans sa communication du jour, a estimé simplement que le « régime mourant » de Wade, s'est encore une fois servi « d'un remue ménage de fauteuils ministériels » pour relooker et ramener dans une équipe déjà vue, d'anciens « joueurs expulsés, et de « Ndioumblang ». Ainsi, le Mrds appelle le peuple au combat pour faire partir ce régime.
Après le théâtre, Zeina se veut comme une relève des grandes divas de la musique sénégalaise. Formée au Cercle de la jeunesse, berceau du théâtre sénégalais, elle s'est abreuvée à la bonne source, et entend donner au folklore du Ndiambour une nouvelle forme d'expression. Domou Ndiambour, son nouvel opus, arrive donc avec son style et ses envolées. Entretien avec la nouvelle coqueluche lougatoise. L'Office : Vous venez de mettre sur le marché votre première production dénommée « Domou Ndiambour ». Présentez-nous cette cassette ?
Sur le plan de la communication, le Premier ministre, Cheikh Hadjibou Soumaré n’a pas convaincu. C’est vrai qu’avec lui, il ne fallait pas s’attendre à des miracles, puisque ce technocrate ne s’est jamais encombré de discours politiciens, encore moins de rhétorique. En l’écoutant, on n’a pas senti ce besoin de convaincre. On a eu l’impression que le Premier ministre est venu juste lire une déclaration sans se préoccuper de communiquer réellement (la communication étant définie par nous comme le besoin de faire adhérer un interlocuteur à son discours, à ses idées). Quelques remarques pour montrer que la communication n’était pas la principale préoccupation du Premier ministre, Hadjibou Soumaré.
La loi l’y oblige. Le décret de répartition des sièges à l’Assemblée nationale doit répondre au seul critère démographique. Pourtant, le président Wade l’a ignoré dans le partage des 90 députés des listes majoritaires entre les 35 départements du pays. Le « Sopi » n’a plus confiance en sa représentativité et remet en cause l’égalité entre les citoyens. Les dispositions du code électoral, en son article L 143, sont on ne peut plus claires : « Dans chaque département, seront élus cinq députés au plus et un député au moins. Le nombre de députés à élire dans chaque département est déterminé par décret en tenant compte de l’importance démographique respective de chaque département. (…) ».
Dans son périple à travers les pays de la Sous-région, Idrissa Seck alias Ndioublang s’est rendu récemment en Côte d’Ivoire où il aurait été «reçu avec les honneurs», selon notre confrère «L’Obs» du 14 décembre 2006. Un dîner avec Laurent Gbagbo était prévu dans sa résidence privée de Cocody ! Invité par le Congrès Panafricain des Jeunes Patriotes (Cojep) du belliqueux Charles Blé Goudé, devenu un admirateur d’Adolf Hitler et de Milosevic, Ndioublang veut-il s’initier aux méthodes musclées de Blé Goudé qui a transformé les rues du paisible quartier de Cocody en une poudrière ? Nous ne savions pas si bien dire en mettant les Sénégalais en garde, dans un récent article, contre les menaces «d’Ivoirisation» que fait planer Idrissa Seck sur le pays, à travers notamment ses enregistrements, déballages et autres...
Les nains peuplent l’imaginaire des enfants dont l’attention est captivée par les contes. Le récit, sans cesse, finit à la mer et, sans cesse encore, renaît dans la maestria des conteurs. La tradition donne un rôle didactique au conte. L’éthique éducative matérialise la frontière de vertu entre les affabulations et les fruits de l’imagination. Une barrière qu’enjambe allégrement Monsieur Idrissa Seck, dans sa cavalcade vers les sommets de l’Etat. Il fracasse tout : la mémoire des Sénégalais, sa propre responsabilité dans l’exécution des chantiers de l’alternance, ses coups bas donnés à des esprits bien pensants ayant fini à Rebeuss, terrorisés à l’audit ou à la dignité à jamais écorchée.
Le président de l’Assemblée nationale est dans le collimateur de certains responsables de son propre parti, le Pds. Pape Diop soumis à une surveillance plus stricte et à lynchage médiatique régulier, donnerait des signes d’agacement. «Si on ne me fait plus confiance, qu’on me le signifie ouvertement», aurait-il dit. Les chances de succès du Pds aux prochaines élections dépendront de la capacité du parti du Président à gérer le dossier Pape Diop. Selon des informations obtenues de sources officieuses, le président de l’Assemblée nationale resté jusqu’ici stoïque face aux charges de ses adversaires de parti, commence, de plus en plus, à mal vivre sa situation d’exilé dans sa propre maison. Avant-hier soir, il aurait lui-même et publiquement,
Serigne Fallou Dieng préfère parler en tant que petit-fils de Serigne Touba, même si son statut de président du Cercle des intellectuels soufis du Sénégal (Ciss) le lui permet. Pour avoir plus de liberté à se prononcer sur l’agression d’un journaliste par des supposés talibés mourides, dit-il. Et dire ses vérités sur ce qu’il pense de Cheikh Béthio Thioune et de l’affaire du Ranch Dolly. Des supposés disciples de Cheikh Béthio Thioune ont agressé un journaliste. Comment, en tant que petit-fils de Serigne Touba, vous analysez cette situation ? Je voulais, avant tout, parler de Cheikh Béthio. Il est vrai qu’il est dans la voie du mouridisme, qu’il a la bénédiction de Serigne Saliou Mbacké pour rassembler des disciples, mais il n’est pas le créateur de la voie du mouridisme. Serigne Touba a créé le mouridisme en 1883 et Serigne Saliou est devenu le 5e khalife en 1990. Il serait donc intéressant de clarifier les agissements de Béthio.
Lorsque l’information selon laquelle Mbaye Diouf a été proposé secrétaire général de la section communale du Parti démocratique Sénégalais (Pds) à Thiès est tombée, ils ont été nombreux à se poser la question de savoir quand et où l’ancien homme fort du Sncs a été « travaillé ». Nos antennes qui ont fouillé tout le week-end en savent un bon bout. Figurez-vous que c’est Gorgui himself qui a « travaillé » Mbaye Diouf. En effet, il l’a reçu à deux reprises, dans la plus grande discrétion. Et ce fut au autour du numéro 2 du Pds d’achever la « proie » lors d’un tête-à-tête de plusieurs heures que Macky Sall a eu avec Mbaye Diouf. Comme pour vous dire que quand ils le veulent, ils peuvent être discrets, les libéraux.
