« La situation des structures sanitaires au Sénégal est très préoccupante. Les infrastructures hospitalières sont obsolètes, des systèmes électriques et d'assainissement défaillants...
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« La situation des structures sanitaires au Sénégal est très préoccupante. Les infrastructures hospitalières sont obsolètes, des systèmes électriques et d'assainissement défaillants...
Le Sénégal a enregistré, ce jeudi 23 janvier 2025, son premier décès d’un cas de fièvre hémorragique de Crimée-Congo. L’information a été confirmée par le directeur régional de la Santé de Kaffrine, le docteur Mbaye Thiam.
Le ministre de la Santé et de l'Action sociale a commandité un diagnostic exhaustif de son département.
Un cas humain de fièvre hémorragique de Crimée-Congo a été confirmé au Sénégal
Marie Khémesse Ngom Ndiaye a par ailleurs nommé le Dr Mamadou Moustapha Diop, Directeur de la Lutte contre la Maladie comme gestionnaire de cette crise.
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La bactérie Bacillus cereus, connue pour être à l'origine d'infections alimentaires, serait également responsables d'infections nosocomiales. Bacillus cereus est une bactérie présente partout : dans les sols, les aliments, quasiment sur toutes les surfaces et sur la peau humaine. C'est la 2e bactérie responsable d'infections alimentaires en France.
Une équipe allemande a détecté dans les narines de certains patients une bactérie produisant un antibiotique : la lugdunine. Elle permettrait notamment de lutter contre le staphylocoque doré, réputé résistant à de nombreux traitements.
Des "champignons filamenteux" ont été détectés dans l'air lors d'un contrôle qualité dans les blocs opératoires.
Le manque d’eau, d’infrastructures d’assainissement et d’hygiène dans les structures de santé fait que 5 % des malades contractent une ou des infections nosocomiales. Pour réduire ces risques de maladies, l’Oms forme, depuis hier, à Dakar, des cadres de santé de huit pays de la sous-région. Selon le rapport de l’Organisation mondiale de la santé (Oms), près de 42 % des établissements de santé africains manquent de sources d’eau améliorées et 20 % sont sans infrastructures d’assainissement.
Le scénario longtemps redouté par les scientifiques se profile. Aux Etats-Unis, des chercheurs du Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont détecté chez une femme atteinte d’une infection urinaire tenace une souche d’Escherichia coli (E. coli) mutante qui résiste aux antibiotiques, y compris à lacolistine, un puissant antibiotique utilisé en dernier recours dans ce type de cas. Cette découverte, publiée fin mai dans la revue médicale Antimicrobial Agents and Chemotherapy, agite le spectre de l’antibiorésistance et ravive la peur d’un monde sans défense face aux infections microbiennes. Alors, tous foutus ? Petite séance de questions-réponses.
La résistance aux antibiotiques est devenue un problème de santé publique. Au Sénégal, beaucoup d’éleveurs ignorent les méfaits des résidus d’antibiotiques des animaux abattus avant le délai requis, sur la santé humaine. D’où la nécessité de mener une campagne de sensibilisation.
La journée mondiale de l’hygiène des mains a été un prétexte pour les acteurs de la santé de faire un plaidoyer pour le lavage régulier des mains afin de réduire les risques de maladies dans les structures de santé, maisons et bureaux.
Alors que les personnels médicaux ont plutôt bien intégré la nécessité de se laver les mains entre deux patients, les stéthoscopes seraient également des réservoirs non négligeables de germes.
Le chef du service de pédiatrie du centre hospitalier Abass Ndao souhaite que cette structure bénéficie de plus de moyens pour renforcer les ressources humaines, les équipements et les médicaments. Dans cet entretien, le Pr. Ousmane Ndiaye fait aussi le point sur les nouveau-nés et grands prématurés qui continuent de mourir à cause de leurs faibles poids à la naissance, mais aussi des épidémies d’infections nosocomiales.
Dans les pays développés, la prévalence des infections nosocomiales est de 5 à 10 % dont les 25 % des cas décelés se trouvent au niveau des soins intensifs, notamment dans les salles de réanimation d'urgence. La problématique est de plus alarmante dans les pays en voie de développement où le pourcentage se situe entre 40 et 50 %. Pire, dans ces mêmes pays, 3,38 % des enfants meurent chaque jour d’infections nosocomiales selon les études de l’Oms, relayées par Sud Quotidien.