Crime passionnel à Rufisque : Le meurtrier blessé arrêté à l'hôpital de Keur Massar
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Crime passionnel à Rufisque : Le meurtrier blessé arrêté à l'hôpital de Keur Massar
PROBLÈMES AVEC LA TFM, MALADIE, DIVORCE : Le journaliste Mor Talla Gaye recadre l'animateur Pape Cheikh Diallo et Bijou Ndiaye
États-Unis : le fils d’un ancien agent de l’ambassade du Sénégal à Washington tué par balle par... un autre Sénégalais
Le village de Talto, situé dans la commune de Dianah Bah, dans le département de Sédhiou est dans l'émoi et la consternation suite à un accident mortel survenu, ce dimanche 23 novembre aux environs de 19 heures.
Un commerçant a payé cher, pour avoir défendu son commerce d'un vol, à Touba. C. Sylla a été arrêté pour meurtre.
Un drame a bouleversé le quartier Hamdallaye ce mardi 11 novembre 2025 dans l’après-midi. Alpha Ousmane Diallo, un garçon de 11 ans, élève de 5e année, a été tué par balle, alors qu’il revenait de son école coranique aux environs de 14 h. Selon sa famille, le tir proviendrait des forces de l’ordre déployées dans la zone.
Le calme habituel de la cité Gadaye a été troublé, hier mardi, aux environs de 18 h, par une violente bagarre sur la voie publique.
Dans une vidéo publiée sur Tik Tok, la gymnaste américaine Simone Biles a révélé qu’elle avait eu recours à la chirurgie esthétique.
Mexique : la présidente Claudia Sheinbaum agressée sexuellement lors d'un déplacement, un homme interpellé (vidéo)
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Meurtre à Jaxaay : Un apprenti chauffeur tué par un passager pour une histoire de tarif
Lors de la conférence de presse du Comité de commémoration du massacre des Tirailleurs sénégalais, ce vendredi 17 octobre au building administratif Mamadou Dia, le président de la Commission Archéologie, le professeur Moustapha Sall a dévoilé les premiers résultats des fouilles menées sur sept squelettes exhumés du cimetière militaire de Thiaroye.
L’horreur à Milan. Ce mardi 14 octobre, Pamela Genini, mannequin italien de 29 ans, a été assassinée par son ex-petit ami sur son propre balcon, sous les yeux de ses voisins.
Cancer du sein : cette nouvelle chirurgie révolutionnaire permet de retirer la tumeur et de reconstituer la poitrine en seul jour
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
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