Le président Alassane Ouattara a prêté serment lundi à la tête de la Côte d'Ivoire, promettant que son quatrième mandat sera celui "de la transmission générationnelle".
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Le président Alassane Ouattara a prêté serment lundi à la tête de la Côte d'Ivoire, promettant que son quatrième mandat sera celui "de la transmission générationnelle".
Lors de l’assemblée générale de l’Union des Magistrats du Sénégal (UMS), le président Amadou Chimère Diouf a réaffirmé l’ouverture de l’organisation au dialogue et aux réformes...
Président du mouvement Agir-les leaders Thierno Bocoum a déclaré que le plan de redressement économique et social débute «par une faute républicaine ».
À l’heure où le monde traverse une période d’incertitudes majeures – guerre, instabilité climatique, crises économiques, terrorisme, migrations massives – l’Organisation des Nations Unies a plus que jamais besoin d’un leader d’envergure internationale, d’un homme de paix et d’équilibre, capable de porter une vision globale fondée sur la justice, le dialogue et la solidarité entre les peuples. Ce leader existe. Il s’appelle Macky Sall.
Nombreux sont ceux qui m’ont interrogé sur ma position quant au Dialogue national, convoqué par le Président de la République pour le 28 mai 2025. Ma réponse, nette et sans détour, en a surpris plus d’un. En effet, j’estime que toute la classe politique et la Société civile doivent y prendre part, même en se bouchant le nez. Certes, ma posture peut apparaître facile car je n’ai jamais été invité, à quelque titre que ce soit, à une séance de Dialogue national dans le passé. Aussi, j’avoue que je serais le plus étonné de recevoir, à la dernière minute, un carton d’invitation de la part des organisateurs de ce raout. Mais en tout état de cause, mon agenda pour cette date ne me permettra pas de suivre les discussions, encore moins d’y participer. Et je forme le vœu que personne, fût-il le plus sot et le plus malveillant, n’aille s’imaginer que je pourrais me laisser gagner par un quelconque esprit de compromission.
Des faits marquants, il n’en a pas manqué au Sénégal en 2024. Que ce soit en politique, en société, en sport, ou encore dans le secteur des médias, 2024 n’a pas du tout été de tout repos au Sénégal.
Le Premier ministre, Ousmane Sonko, prononce sa Déclaration de politique générale (Dpg) vendredi 27 décembre.
Les derniers grains de sable sont en train de tomber dans le sablier. L’année 2024 tire à sa fin avec son lot d’évènements, de surprises et de retournements spectaculaires de situation qui ont tenu en haleine tous les sénégalais.
Dans le département de Dakar, le Parti socialiste (PS) a fermé la porte à une possible alliance avec la coalition Samm Sa Kaddu, dirigée par Barthélémy Dias.
Cinquième de la liste Samm sa Kaddu pour les élections législatives, Déthié Fall a décidé de désister de la coalition pour rejoindre le Pastef, après sa récente rencontre avec le Premier ministre Ousmane Sonko.
Le budget de l’État est un document essentiel pour la gestion des finances publiques et un pilier de la gouvernance démocratique.
Annoncé en "très bonne position" sur la liste des investitures de la coalition "Jam Ak Jariñ", Lat Diop a été finalement zappé, au grand dam de ses proches.
Dans une tribune au « Monde », des Prix Nobel comme le médecin congolais Denis Mukwege et l’écrivain nigérian Wole Soyinka, ainsi que des intellectuels et des juristes appellent à la libération du président du Niger, retenu depuis juillet 2023 par la junte qui l’a renversé.
La réponse n’a pas tardé...
L’Assemblée nationale a pris acte de la date du 13 septembre retenue par le président de la République Bassirou Diomaye Diakhar pour la tenue de la Déclaration de politique générale du Premier ministre Ousmane Sonko, le journaliste Adama Gaye, estime « ce serait une ruse de bas étage » de la part de l’exécutif si l’AN est dissoute le 12 septembre.
Ab tenebris, ad lumina, loin des ténèbres, vers la lumière Amadou Ba veut franchir le pas. Il sera sous le feu des projecteurs politiques ce lundi.
L’Assemblée nationale a ouvert, ce jeudi 5 septembre 2024, sa troisième session extraordinaire conformément au décret présidentiel 2024-1880.
« Dès demain, notre groupe parlementaire [BBY] va déposer une motion de censure pour faire tomber le gouvernement ! ».
Les députés sont convoqués, demain, en séance plénière, pour l’examen de la proposition de loi n°10/2024 modifiant et complétant la loi organique n°2002-20 du 15 mai 2002 modifiée, portant règlement intérieur de l'Assemblée nationale.
La dissolution de l’Assemblée nationale est dans le pipeline de l’Exécutif.