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De 2000 à 2017, l'école publique sénégalaise a certainement parcouru les pages les plus sombres de son histoire. Dix-sept années de politiques inefficaces, d'injection de ressources faramineuses, de grèves intempestives, de baisse continue de qualité… Un cauchemar pour parents et élèves. Un mauvais signe pour l'avenir du pays.
Le département de Kaffrine a enregistré, en 2016, un taux de réussite de moins de 8% en termes de performance en lecture, en mathématiques et en culture générale, dans le cadre du programme "Jangandoo’’, a déclaré, vendredi, Codé Lo, un responsable dudit programme.
Dakar n’est pas seulement la capitale administrative du Sénégal. En effet, selon les résultats 2016 du baromètre Jangandoo, sur le niveau d’apprentissage des enfants, elle est également en tête du classement. C’est ce qu’ont indiqué hier les acteurs lors de la journée de restitution locale.
L’académie de Diourbel est dans une "zone rouge" avec des résultats scolaires en "baisse drastique", renseigne une étude du programme "Jangandoo" présenté, samedi à Diourbel, par les responsables de la Coalition des organisations pour la synergie des écoles publiques (COSYDEP).
D'importants pas restent encore à franchir par les responsables en charge de l'éducation au niveau de la région de Diourbel. D'où l'implication des différents acteurs qui gravitent autour de l'école. C'est ce qui est ressorti de la restitution des enquêtes du programme d'évaluation des apprentissages plus communément appelé "Jangandoo", lors d'une rencontre initiée par la Cosydep.
L’enquête du baromètre Jàngandoo 2016 a révélé un taux de réussite de 22% aux épreuves de lecture, de mathématiques et en culture générale, a annoncé mardi, la responsable de l’équipe Evaluation et gestion de changement de ce programme, le docteur Rokhaya Cissé.
L’introduction des langues nationales dans le système éducatif est « probablement une des solutions par laquelle les enfants pourront s’exprimer plus fortement et laisser leurs talents s’épanouir, a déclaré mercredi à Dakar, le Coordonnateur du Laboratoire des transformations économiques et sociales, Pr Abdou Salam Fall.
Trente cinq mille élèves du Sénégal seront ciblés par le programme d'évaluation des apprentissages "Jàngandoo" du Laboratoire de recherche sur les transformations économiques et sociales (Lartes) de l'université Cheikh Anta Diop de Dakar, a annoncé lundi à Dakar, le professeur Abdou Salam Fall.
Le niveau scolaire dans les établissements élémentaires reste ‘’faible’’, a souligné mardi à Pikine (banlieue de Dakar), Fatou Dia, expert en statistiques du Laboratoire de recherche sur les transformations économiques et sociales (LARTES) de l’Institut fondamental d’Afrique noire (IFAN), citant une étude menée par sa structure.
Un atelier de restitution sur l’évaluation du programme Jàngandoo 2014 dans la région de Dakar a été organisé hier à la commune d’arrondissement de la Patte d’Oie. Les résultats de cette étude qui témoignent de la faiblesse du niveau des élèves montrent la nécessité d’améliorer la qualité des apprentissages.
Plus de 10% des directeurs des 60 écoles recensées dans la région de Kaolack par ‘’Jangandoo’’, baromètre de la qualité des apprentissages des enfants au Sénégal, n’ont pas le Baccalauréat, selon des résultats du dernier rapport de‘’Jangandoo’’.
Au total 10.000 ménages sont ciblés dans les 45 départements du Sénégal par l’édition 2014 de l’évaluation des apprentissages (Jangandoo en langue wolof), a annoncé vendredi à Dakar le professeur Abdou Salam Fall, coordonnateur dudit programme.
Les responsables du Laboratoire de recherche sur les transformations économiques et sociales (Lartes), initiateur du programme ‘’Jangandoo’’ (apprendre ensemble en langue wolof), ont souligné la nécessité de s’interroger sur les méthodes d’enseignement au Sénégal.
Le professeur Abdou Salam Fall, sociologue à l’Institut fondamental d’Afrique noire (Ifan), dirige le Laboratoire de recherches sur les transformations économiques et sociales (Lartes) qui a réalisé, dans le cadre du programme « Jangandoo », une étude touchant 15.000 enfants âgés entre 6 et 18 ans.
Les résultats du programme Jangandoo (apprendre ensemble) de la région de Dakar, à la suite de l’évaluation des apprentissages des enfants de 6 à 18 ans, sont alarmants pour ne pas dire catastrophiques. En effet, lors de la journée de restitution, lundi au niveau de Pikine, les résultats ont montré que « 78 % des 1023 élèves enquêtés dans la région de Dakar ont un niveau faible », et n’ont donc pas réussi les tests d’évaluation.
Une nouvelle étude met en évidence le faible niveau des apprenants dans la région de Dakar, révélant que 78 % des enfants ont échoué au test global médian. La Coalition des organisations en synergie pour la défense de l’éducation publique (Cosydep), à travers son programme « Jangandoo », vient de rendre publique une nouvelle étude.
Initié par Lartes, le baromètre de la qualité des apprentissages Jàngandoo (Apprendre ensemble) a livré ses résultats pour l’année 2013. Ils montrent un contraste entre les succès rencontrés en culture générale et les défaillances enregistrées en calcul et en lecture. Les échecs constatés sont nuancés par des disparités claires entre l’enseignement en français ou en arabe et les environnements communautaires.
L’inspection d’académie de Dakar et le Laboratoire de recherche sur les transformation économiques et sociale (LARTES) de l’Institut fondamental d’Afrique noire (IFAN) procèdent, mercredi, à la restitution 2013 de l’évaluation des apprentissages au Sénégal dans le cadre du programme ‘’Jangandoo’’ (apprendre, ensemble en langue wolof).
Le Professeur Abdou Salam Fall, coordonnateur du Laboratoire de recherche sur les transformations économiques et sociales (LARTES), a détaillé, mercredi à Dakar, les chiffres du programme d’évaluation des apprentissages communément appelé ‘’Jangandoo’’ et mené en 2013 dans les 14 régions du Sénégal.
81% des enfants sénégalais âgés entre 6 et 18 ans, présentent des lacunes en lecture, calcul et culture générale, selon une évaluation des apprentissages réalisée par le Laboratoire de recherche pour les transformations économiques et sociales (LARTES) publié mercredi à Dakar.
