En ce jour de Saint-Valentin, Seneweb s'intéresse aux relations amoureuses qui se tissent sur les réseaux sociaux.
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En ce jour de Saint-Valentin, Seneweb s'intéresse aux relations amoureuses qui se tissent sur les réseaux sociaux.
Les moniteurs d’auto-école peuvent être des bourreaux pour leurs élèves. Mais dans certains cas, ce sont des proies.
Mon cher Tonton Ousmane,
JAMRA dénonce les propos scandaleux de l'organisatrice de Miss Sénégal, largement relayés dans les réseaux sociaux où ils continuent de susciter une vague d'indignations...
Le personnel soignant est contaminé et le nombre ne cesse de grimper
Le personnel soignant est contaminé et le nombre ne cesse de grimper
Profitant des facilités technologiques, l'audiovisuel sénégalais a connu un soudain essor qui s'est manifesté avec l'apparition inopinée de nombreuses séries télévisées parmi lesquelles : un Café Avec, Buur Guéwél, Dinama Nékh, Double Vie, Wiri Wiri, etc.
L'habillement des jeunes d'aujourd'hui, surtout les filles, est décrié par nombre de personnes. Il est soit moulant, soit très léger, laissant parfois entrevoir des parties érogènes du corps.
Nous l’avons rencontré au quartier Hersent, à la sortie de Thiès où il tient un bureau sur la route Nationale 2. «Islmao-tradipraticien» comme nous l’appellerons du fait de sa maîtrise de la science religieuse, Cheikh Moussa Ndiaye reçoit, soulage et soigne, chaque jour et ce depuis 2008, des dizaines de personnes qui le sollicitent, venues d’horizons différents. Ancien élève de feu Chaybatou Hamdy Diouf et neveu du guérisseur Madiara très connu dans le milieu de la médecine traditionnelle à Keur Ibra Niane (vers Khombole), Cheikh Moussa se sert du Coran, le livre saint, pour extirper des corps les djinns qui s’attaquent aux humains. C’est ce qu’il appelle la méthode «roqiah», une science religieuse conjuguée à une médecine traditionnelle qui n’a pas de secret pour notre hôte.
Plus de 100 sénégalais, (hommes / femmes) ont été piégés par des inconnus. Ceux-là, originaires de la Côte D’Ivoire du Sénégal etc.., ont créé une véritable entreprise à « arnaque » avec comme arme de séduction « la webcam » via Skype ou Facebook. Se faisant passer pour de belles créatures, leur but unique est de vous faire chanter après vous avoir piégé nu par caméra. Ces arnaqueurs sont ainsi appelés « les brouteurs » .
Les salons de massage qui fleurissent à Dakar ont cette particularité d’être des lieux de prostitution clandestine et déguisée.Dans chaque quartier de la capitale, ces salons de massage poussent comme des champignons et ravissent la vedette aux auberges, lieux réputés de passe et s’avèrent faciles pour trouver «chaussure à son pied».
Tout porte à croire que les évènements actuels qui drainent notre pays, le Mali, dans le chaos sont les répercussions du fort taux d’analphabète. Selon les donnés du dernier recensement général de la population et de l’habitat (RGPH), de l’Institut national de la statistique du pays (INSTAT), plus de 72% des Maliens âgés des 15 ans ou plus sont analphabètes.
Ils sont peut-être des millions d’âmes à avoir déjà mordu à l’hameçon pour s’être lamentablement jetées dans la gueule du loup à travers les jeux de loterie gagnante sur le net.
MENDICITÉ « HAUT DE GAMME » A DAKAR : Tiré à quatre épingles pour faire la mancheQuand les mendiants font de la résistancePORTRAIT : Modiane Diouf nourrit ses quatre épouses grâce à la mendicitéLes toutes dernières statistiques du Fonds des Nations-Unies pour l’enfance (Unicef) et de la Banque mondiale font état de quelque 7600 personnes touchées par la mendicité dans la capitale sénégalaise.
Vous est-il arrivé d’avoir des problèmes ? Oui. Avez vous une fois pensé que les Marabouts en détiennent les solutions ? Pourquoi pas ! Sur mille Sénégalais, il n’est pas exagéré de parier que le nombre qui consulte les marabouts dépasse de loin celui constitué par ceux qui se réclament du rationalisme en ce qu’ils placent au centre du monde, non pas le mystère, mais le raisonnement comme source d’explication des choses. La voyance, ou l’en-deçà du monde, rend compte, comme phénomène social, de nos constructions mentales, sur la base desquelles fonctionnent nos projections individuelles et collectives.
Tandis qu'il courait les émissions françaises sans contradicteur, la polémique sur la crédibilité des écrits d'Omar Ba a enflé dès 2008 dans la diaspora sénégalaise. Un compatriote, Bathie Ngoye Thiam, artiste installé aux Pays-Bas, s'était rué sur le livre Soif d'Europe. Témoignage d'un clandestin, impressionné par la prestation de son auteur dans l'émission "Sept à huit", sur TF1. Il était ressorti outré de sa lecture, avait alors dénoncé "une imposture" dans un long article publié au Sénégal. "Il s'est servi du malheur de ses frères pour gagner de l'argent facile", tempête le critique.
Face à la déperdition des mœurs, notre société voit de plus en plus l’émergence de nouveau tares. C’est ainsi qu’au mépris de toutes les leçons de morales, certains jeunes se font gigolo pour se faire entretenir par de vieilles femmes. Un phénomène inquiétant qui commence à gangrener la jeunesse sénégalaise en manque de repères. La crise des valeurs au Sénégal met à nu les tares de notre société. Pour certains, tous les moyens sont bons pour tirer son épingle du jeu. L’essentiel, c’est de pouvoir subvenir à ses besoins. L’éducation et les valeurs inculquées, n’ont plus une grande importance face à l’appât du gain facile.
Considéré comme le «must» de la première journée du championnat de lutte organisé hier, à Demba Diop par Gaston Mbengue, le choc Balla Gaye 2-Mbaye Diouf a été juste une balade pour le fils de Double Less. Par contre, la surprise est venue du «doyen» Boy Kaïré qui, après avoir frôlé le Ko, a terrassé à l’usure Cheikhou Diène. «Je ne pensais que cela allait être aussi facile.» Ce sont les propos de Balla Gaye 2 à l’issue du combat qui l’a opposé à Mbaye Diouf. Une affiche pourtant qui avait pris une nouvelle tournure suite au retour à l’écurie Fass de l’ancien lieutenant de Zale Lô. Un nouveau statut pour l’ex-sociétaire de «Force Tranquille» qui avait autour de lui les encadreurs de Fass, à l’image du doyen Mbaye Guèye, réputé pour son expérience et son métier.
Dakar qui éclate à tout point de vue par rapport aux différentes activités relatives à la période des grandes vacances inclut nécessairement les jeunes filles. Celles-là appelées mineures puisque n'ayant pas encore atteint le stade de la majorité. Et cette couche de la population qui du reste frappe à la porte de la « découverte » sous tous ses aspects, demeure également une proie facile pour nombre d'adultes. Jeunes mais précoces, habillement provocateur, téléphone portable à la main, commencent assez souvent un jeu de séduction dans un tunnel ou débauches et détournement sont les choses les mieux partagées. À la limite, mauvaises habitudes, sorties nocturnes, grossesses indésirables, plaintes. Et pleuvent les accusations. Aussi, les parents sont interpellés au premier degré pour un suivi plus rigoureux sur les enfants « mineures ».
L’insécurité gagne du terrain à Dakar. Il ne passe pas un jour sans qu’un acte de violence ne soit perpétré dans la capitale. Actuellement les cas d’agression, de viol et de vol font légion dans la capitale. Et l’on se demande si l’Etat et la police chargés de protéger les populations sont conscients du phénomène. L’insécurité inquiète. Actuellement, huit Sénégalais sur dix estiment que l’insécurité dans la ville a atteint un niveau alarmant. Et de nombreuses personnes s'attachent à la replacer dans le contexte plus global de la société dans laquelle elle éclot.