Il raille grave Karim Gueye et Cie, félicite Sonko et enflamme le plateau...
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Il raille grave Karim Gueye et Cie, félicite Sonko et enflamme le plateau...
Cheikh Bara raille grave Pape Djibril et enflamme l'hémicycle...
Sonko solde ses comptes et raille grave Mimi Touré : "ndeyssane élection bumu dugu rék..."
Le projet de loi, qui prévoit une sortie de l'état d'urgence sanitaire à partir du 10 juillet, a été adopté mercredi en première lecture à l'Assemblée nationale...
Sonko solde ses comptes et raille grave Mimi Touré : "ndeyssane élection bumu dugu rék..."
L’étau se desserre enfin autour d’Idrissa Fall Cissé. Toutes les poursuites contre lui ont été annulées et son passeport restitué. Un dénuement qui soulage l’activiste : «Je rends grâce à Dieu.
Le chef de file de Pastef craint pour sa vie. Face à la presse, ce mardi, Ousmane Sonko a révélé qu’il reçoit des menaces de mort. Ainsi, il a demandé au président de la République d’assurer sa sécurité. À défaut, prévient-il, il sera responsable de tout ce qui lui arrivera.
« Forces vives de la nation » sous Bourguiba et Ben Ali, elles ont vu leur niveau de vie se détériorer gravement depuis la révolution. Et tirent désormais le diable par la queue.
Annoncée pour la deuxième quinzaine de ce mois d’août, la mise sur pied du mouvement pour l’émergence et le bien-être des séniors, un mouvement politique de retraités au sein de l’Institution de prévoyance de retraite du Sénégal (Ipres), porté par le Dirceteur général de ladite structure, fait grincer des dents chez beaucoup d’acteurs de la vie sociale.
Le leader de Rewmi, Idrissa Seck, en marge d’une tournée à Diamaguene Sicap Mbao, dans la banlieue de Dakar, a sévèrement critiqué le programme Sénégal émergent du président Macky Sall. Face à la presse, il a saisi l’occasion pour démentir les informations sur un contentieux financier qui l'opposerait à Wade.
Bon nombre de confrères auront tiré hier sur le Pds qui avait occupé jeudi la Place de l’Obélisque pour une manifestation d’envergure. Un rassemblement qui n’a pas répondu aux attentes des libéraux. Dans sa livraison de vendredi, Sud Quotidien écrit : « Quelque mois à peine après la déculottée de la présidentielle de février et la bérézina des législatives de juillet, le premier grand rassemblement du Pds organisé à la place de l'Obélisque hier, jeudi 06 décembre, ne restera pas gravé dans les annales des militants libéraux les plus irréductibles ».
La pression politique va-t-elle monter sur François Hollande à propos de la crise syrienne ? Le communiqué diffusé par Nicolas Sarkozy, mardi 7 août, à l'issue d'une conversation téléphonique avec le chef du Conseil national syrien, Abdelbasset Sayda, a donné le signal d'une campagne d'une partie de la droite contre la stratégie suivie par l'Elysée sur ce dossier — même si celle-ci s'inspire largement de ce qui avait été fait par la diplomatie d'Alain Juppé.
Charles Blé Goudé disait vouloir donner une chance à la diplomatie en reportant la manifestation d’hier. Selon le ministre de la Jeunesse, il s’agissait de faire un geste de bonne volonté à l’égard de la Cedeao, tout en préservant des vies humaines, car des informations persistantes laissaient entendre que des partisans du RHDP voulaient infiltrer la manifestation pour semer la mort et la désolation.
Dans un entretien paru dans le Quotidien n°1620 du mardi 3 Juin, le dernier Premier ministre du régime socialiste, Mamadou Lamine Loum a fait son ‘audit’ des réalisations du parti au pouvoir. Sur les infrastructures routières, coachées en partie par l’Anoci, le ministre d’Etat, Habib Sy a apporté des ‘correctifs’ à l’analyse de Loum. ‘J’ai lu, hier, l’interview de Mamadou Lamine Loum et surtout la partie relative aux infrastructures. Il commet une grave erreur d’appréciation’. Le ministre d’Etat, ministre des infrastructures, des transports terrestres, des télécommunications et des Tics, Habib Sy, introduisait, ainsi, sa réplique, suite à la sortie de l’ex-Pm.
Voilà deux agresseurs qui croyaient qu’ils pouvaient continuer à semer la terreur impunément. Mais qui ont trouvé plus coriaces qu’eux sur leur chemin. Semant la terreur à la Gueule-Tapée, ils violentaient et dépouillaient toute personne esseulée qui avait la malchance de roder dans les lieux où ils ont l’habitude de se terrer. Des filles, des dames, de jeunes noctambules et des hommes sans défense… ils sont nombreux à avoir rencontré ce duo d’agresseurs sur leur chemin. Agresseurs qui étaient toujours armées de machettes et de poignards et qui n’hésitaient pas une seule seconde à en user. Qu’une victime se blesse ou passe de vie à trépas leur importe peu. L’essentiel est qu’ils puissent emporter le butin qu’ils convoitent. Point barre.
Pendant que son parti l’Alliance de forces du progrès (Afp) fait face au Sénégal à une dissension de la part d’une partie de ses cadres, Moustapha Niasse est en tournée politique à New York pour y rencontrer ses partisans et le Sénégal d’Amérique de manière générale. C’est au cours d’un meeting organisé à Harlem que le leader de l’Afp a déclaré que pour rien monde, il ne soutiendrait le candidat Abdopulaye Wade au second tour de l’élection présidentielle de 2007. « Bilahi Walahi, Wa Talahi, Abdoulaye Wade le sait, plus que vous, même au 18ème tour je ne le soutiendrais pas.
Lorsque les accompagnateurs des malades évoquent les conditions d’accueil dans les structures sanitaires, ce n’est pas aussi merveilleux que le laisse penser le discours des agents et directeurs des services d’accueil. En pénétrant dans un établissement hospitalier de la place, ce qui frappe en premier, ce sont les accompagnateurs installés dans les jardins, entourés de leurs bagages. On reconnaît facilement ceux qui y sont depuis longtemps et ceux qui viennent d’arriver. Ces derniers ont la mine préoccupée et sont incapables de rester en place, tandis que les autres, confortablement installés sur des nattes, devisent gaiement.
Les lendemains de la Can 2006 se traduisent aujourd’hui en une véritable désillusion pour certains Lions après leur retour dans leurs clubs respectifs en Europe. Pour une partie de la «tanière», la parenthèse égyptienne a eu une douloureuse influence sur le cours de leur saison. Amara Traoré avait raison : «Les joueurs professionnels se sentent menacés en allant jouer la Can.» Comme les lendemains de «fête», le retour en club d’une partie de la «tanière», au baisser de rideau de la Can 2006, a viré en une sorte de «gueule de bois» pour quelques Lions, ramenés à leurs pires incertitudes de compétiteurs. Celles de devoir aujourd’hui se coltiner des week-ends de championnat en simples spectateurs, ou, au mieux, dans l’obscur des matches des équipes réserves.