La mission de la Cedeao en Guinée Bissau (Ecomib) sera officiellement dissoute ces 9 et 10 septembre 2020 en présence du chef d’Etat-major Général des armées du Sénégal (Cemga), Birame Diop.
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La mission de la Cedeao en Guinée Bissau (Ecomib) sera officiellement dissoute ces 9 et 10 septembre 2020 en présence du chef d’Etat-major Général des armées du Sénégal (Cemga), Birame Diop.
Le chef de l'Etat sénégalais Macky Sall est arrivé jeudi à 18 heures 40 à Yamoussokro (Côte d'Ivoire), où il doit participer au 41-ème sommet ordinaire de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (CEDEAO) qui s'ouvre, vendredi.
En arrière-plan des manœuvres diplomatiques et du ballet des contingents militaires, la Guinée-Bissaudevient, chaque jour, un champ de collision inévitable entre les intérêts névralgiques du Sénégal d’un côté ; et les desseins stratégiques de l’Angola, de l’autre. Le double écran de la Communautééconomique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de la Communauté des Etats de Langue portugaise (CPLP) se craquellera incessamment pour céder la place au choc frontal entre Dakar et Luanda. Deux capitales dont les arrière-pensées respectives en Guinée-Bissau, dépassent les feuilles de route officiellement validées et les résolutions publiquement votées.
BISSAU — Des soldats du Nigeria, du Burkina Faso et du Sénégal vont composer la force militaire qui a commencé à se déployer en Guinée-Bissau pour sécuriser les organes de transition après le coup d'Etat du 12 avril, a annoncé vendredi à l'AFP un responsable ouest-africain à Bissau.
Manuel Serifo Nhamadjo, qui avait été proposé par la junte au pouvoir à Bissau le 12 avril, va diriger la transition pendant un an. C'est la décision ce vendredi de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao)
Un sommet des chefs d'Etat ouest-africains consacré aux crises nées des coups d'Etat militaires au Mali et en Guinée-Bissau, le second en une semaine, a été ouvert jeudi à Dakar par le président sénégalais Macky Sall, a constaté un journaliste de l'AFP. Une dizaine de chefs d'Etat sur les quinze pays membres de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) étaient présents dans un grand hôtel de Dakar où se tient la rencontre, dont le président malien par intérim Dioncounda Traoré, l'Ivoirien Alassane Ouattara et le
BANJUL (Reuters) - La Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) a imposé lundi des sanctions à la Guinée-Bissau après l'échec de discussions avec la junte au pouvoir à Banjul, visant à rétablir l'ordre constitutionnel dans le pays.
La junte militaire qui a pris le pouvoir le 12 avril en Guinée-Bissau a annoncé, mercredi 25 avril, qu'elle ne sera pas en mesure de verser les salaires des agents de l'Etat, payés habituellement le 25 du mois. "En l'absence du gouvernement et dans les circonstances actuelles depuis le soulèvement militaire du 12 avril, le commandement militaire (junte)"
Les militaires qui ont pris le pouvoir en Guinée-Bissau et l'ex-opposition ont annoncé dimanche la dissolution des institutions et la création d'un "Conseil national de transition" (CNT), à la veille de l'arrivée d'une délégation ouest-africaine.
Le Secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), Abdou Diouf, a "condamné fermement" le coup d’Etat intervenu jeudi en Guinée-Bissau qu’il a qualifié de "violation flagrante de la Constitution", indique un communiqué transmis lundi à l’APS.
La résidence du chef du gouvernement, candidat à la présidentielle du 29 avril, a été attaquée jeudi soir à la roquette par des militaires, qui ont pris la radio nationale et bouclé la ville.
Les chefs d’Etat de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) ont décidé, lundi à Dakar, d’appliquer immédiatement un embargo diplomatique, politique et économique contre le Mali jusqu’au rétablissement de l’ordre constitutionnel, a annoncé le président ivoirien Alassane Ouattara.
Le président Macky Sall a quitté le Palais présidentiel pour retourner dans son domicile à Mermoz, lundi après-midi, peu après avoir prêté serment comme quatrième président de la République Sénégal et procédé à ce sujet avec son prédécesseur, Abdoulaye Wade, à une cérémonie de passation de service.
Le Conseil des Ministres s’est réuni le jeudi 02 février 2012, à partir de 11 heures, au Palais de la République, sous la présidence de Son Excellence Maître Abdoulaye WADE, Président de la République.
Après le décès du président bissau-guinéen Malam Bacaï Sanha, Raimundo Pereira, le président de l'Assemblée nationale, a été nommé président par intérim en vertu de la constitution.
La République Guinée-Bissau, à travers son ambassade à Paris, a entamé des discussions pour le rapatriement de la dépouille mortelle du président Malam Bacaï Sanhà, décédé lundi 09 janvier dans la capitale française des suites d'un "diabète aigu, a-t-on de sources concordantes dans la capitale française", rapporte une dépêche de la Pana datée du 09 janvier.
Un Collectif de quatorze partis d'opposition de Guinée-Bissau a annoncé mardi qu'il refusait que le président de l'Assemblée nationale, Raimundo Pereira, assure l'intérim du chef de l'Etat Malam Bacaï Sanha décédé lundi à Paris, comme le prévoit la Constitution."Le Collectif de l'opposition démocratique manifeste son total rejet à l'ascension de Raimundo Pereira, actuel président de l'Assemblée nationale, au poste de président intérimaire" de Guinée-Bissau, indique un communiqué transmis mardi à l'AFP à Bissau.
Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU), Ban Ki-moon, a exprimé lundi l’espoir que les dirigeants de la Guinée-Bissau transfèrent le pouvoir selon la constitution après la mort du président Malam Bacai Sanha, a appris l’APS.
La situation est toujours confuse à Bissau après la tentative de coup d’Etat avorté du lundi 26 décembre. S'agit-il d'un vrai ou d'un faux complot ? Le commandant de police Yaya Dabó, suspecté de mutinerie, a été abattu froidement au moment où il se livrait volontairement aux autorités. Les organisations des droits de l’homme et la société civile condamnent un acte « barbare » et pointent la responsabilité du ministre de l’Intérieur.