La réaction frappante de Khadija Mayecor sur Cheikh Bara: "liitax ma contaan(...)Plainte Ndour Faye
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La réaction frappante de Khadija Mayecor sur Cheikh Bara: "liitax ma contaan(...)Plainte Ndour Faye
Défense des polygames, rejet de la discrimination raciale, corruption d’un fonctionnaire du FMI, immigration, entre autres thèmes de société dont traite « Altercultures », le nouvel opus de l’écrivain sénégalais Asmalick Ndiaye, natif de la Casamance et professeur de littérature, langues et cultures francophones à l’université de Columbia à New York. Publié aux éditions Phoenix et préfacé du professeur Souleymane Bachir Diagne, l’ouvrage sera dédicacé ce samedi 25 juin à la librairie Athéna à Dakar.
Alors que des voix s’élevaient au Sénégal pour mettre en garde contre les risques de contagion du syndrome tunisien, les théoriciens du pouvoir et certains analystes indépendants ont trouvé que l’existence de libertés plaçait notre pays en dehors du périmètre à risques. En Tunisie, en Egypte, et présentement en Libye et dans d’autres pays arabes où le phénomène présente pour le moment moins d’ampleur et moins d’intensité, les populations, plus qu’une simple formulation de revendications de liberté, ont exprimé leur ferme détermination à accéder à un mieux-être se traduisant par une pleine jouissance des libertés citoyennes fondamentales, certes, mais aussi par une existence moins affectée par la misère économique et sociale provoquée ou accentuée par la mauvaise gouvernance, une existence davantage conforme à la dignité humaine.
Excellence, c’est étrange mais votre victoire à l’élection présidentielle ressemble à celle obtenue par les lions sur les fennecs d’Algérie à la veille de la tenue des assises. Une victoire aux forceps et dont l’heureux bénéficiaire ne fera jamais la fine bouche. Il empoche tranquillement la victoire mais refuse de jubiler. Car conscient de ses limites qui soulèvent beaucoup d’inquiétudes. Au soir de votre victoire aucun de vos partisans n’a osé jubiler. Etrange pour « une si belle victoire » ! Pourquoi ? Pourquoi cette inattendue mutité ? Parce que les résultats ont surpris plus d’un, car cette torpeur - j’allais dire stupeur – semble indiquer que les résultats sont très loin de refléter la réalité sur le terrain et que tous les camps confondus, les uns par leur silence inexplicable et les autres par leur véhémente contestation, semblent en être d’accord. Aucune rhétorique ne saurait contester ce constat. Que s’est –il donc passé ? La réponse – malaisée - n’est pas immédiatement intelligible. Elle est à chercher au cœur de l’appareil d’Etat et de processus électoral.