La société a été déclarée en cessation de paiement.
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La société a été déclarée en cessation de paiement.
Nos sources précisent que le procès a été renvoyé au 24 avril prochain.
Coup dur pour la société Satrec, spécialisée dans la fabrication et le reconditionnement de produits laitiers.
Comme l'avait annoncé L'As dans sa livraison du vendredi 3 avril, la Société africaine de transformation, de reconditionnement et de commerce (Satrec) poursuit ses licenciements à tout va.
La société a été déclarée en cessation de paiement.
Nos sources précisent que le procès a été renvoyé au 24 avril prochain.
Coup dur pour la société Satrec, spécialisée dans la fabrication et le reconditionnement de produits laitiers.
Comme l'avait annoncé L'As dans sa livraison du vendredi 3 avril, la Société africaine de transformation, de reconditionnement et de commerce (Satrec) poursuit ses licenciements à tout va.
Selon les syndicalistes de l'entreprise, depuis plus de sept mois la Compagnie sucrière sénégalaise (Css) ne parvient pas à écouler sa production de sucre.
Un individu nommé Moustapha Ndiaye a tenté de s’immoler par le feu devant les grilles du Palais présidentiel hier, mardi 18 septembre. Selon le récit de L’Observateur, il s’est présenté sur les lieux vers 16 heures, s’est aspergé d’essence avant tenter d’allumer son briquet. Il sera stoppé net par les policiers en faction et conduit au commissariat central.
C’est un cri de désespoir qu’envoient les populations habitant les localités de Diass et environs, en proie à une spéculation foncière sans précédent. La ruée des hommes d’affaires vers ces terres; relativement à la construction de l’autoroute à péage Dakar-Mbour et le projet de la zone économique spéciale sonnent comme un permis d’occuper chez ces gros bonnets qui ne respirent que par le foncier, déterminés sont-ils à faire main basse sur des milliers d’hectares de terres appartenant aux paysans.
C’est avec de l’électricité trafiquée que le patron de Satrec Vitalait, Chaikou Haidouz, faisait fonctionner son unité industrielle, nous informe L’Observateur. Une pratique frauduleuse qui a coûté des milliards de FCfa de pertes à la Société nationale d’électricité.
Dakar, 5 nov (APS) – Le Conseil des ministres s’est réuni, le jeudi 5 novembre 2009, à partir de 10 heures, au Palais de la République, sous la présidence de Son Excellence Maître Abdoulaye Wade, Président de la République. Dans sa communication, le Président de la République a informé le Conseil des audiences qu’il a accordées à diverses personnalités parmi lesquelles • M. Mamadou Seck, Président de l’Assemblée Nationale ; • M. Balla Dièye, Champion de Taekwondo, Médaillé de bronze au Mondial de Copenhague ; • M. Chaouki Haidouss, PDG de SATREC VITALAIT ;
NETTALI - Le Secrétaire national à la Mobilisation et à la Propagande Farba Senghor s’est fendu d’un communiqué demandant énergiquement aux sociétés proches du pouvoir à se retirer de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes) dirigée par Mansour Kama. Farba Senghor a cité ds noms de sociétés en question. En effet, lit-on dans le communiqué mis à la disposition de presse "le Secrétaire national à la Mobilisation et à la Propagande du Pads, appelle les directeurs généraux des sociétés publiques et parapubliques (La Poste, Sénélec, Sonatel, Pad, Sde etc) et les sociétés privées dont les dirigeants sont proches de l’Etat (CCBM, Satrec...) qui sont membres de la Cnes à prendre leurs responsabilités en quittant cette organisation patronale".
Quelques rares Sénégalais sont allés aux urnes dimanche pour élire leurs députés. Dans cette bataille pour la conquête de la place Soweto, les soldats de l’Armée libérale ont progressé et « combattu » avec un théâtre sans combattants adverses, sans ennemis. Cette majorité écrasante que les libéraux ont obtenue à l’Assemblée « nationale » ressemble à un trophée de guerre acquis sans aucun coup de feu. Au contraire, les « Macky Boy’s » n’avaient comme armes de guerre que des tam-tams, des trompettes et banderoles, ainsi que des billets de banque ! histoire de pouvoir justifier les fonds soutirés au président Wade. Car, pour les besoins de cette campagne, les responsables libéraux ont apeuré le président de la République en lui disant qu’un faible taux de participation pourrait être interprété comme une défaite pour lui et une victoire pour l’opposition, vu que la frange représentative de celle-là avait appelé au boycott.